Samedi 29 août 6 29 /08 /Août 07:14

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par broceliandeO

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Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 10:43

Avatar fichefilm imagesfilmLe scénario est classique mais je ne l'ai pas trouvé mal traité. Oui on a déjà vu des centaines de fois, l'histoire façon Pocahontas, oui James Cameron nous fait une redite, mais il le fait bien. Bien que très prévisible, on se sent emporté dans le flux de l'histoire, on sait ce qui nous attends mais on veut savoir comment il va nous le montrer, c'est un peu la force du réalisateur.

Les critiques voient dans le film Avatar de James Cameron une épopée extraterrestre, une sorte de version fantastique de Danse avec les loups : l’histoire d’un mec blanc qui s’entiche d’indigènes et finit par devenir leur grand chef. Mais, en fait, Avatar est juste la dernière mouture SF d’un vieux fantasme de culpabilité blanche.

Ce film est un conte de science-fiction au sujet de la race. Plus précisément, c’est un fantasme sur les races raconté du point de vue de personnes de « race blanche ». Avatar et les films de S.F. comme celui-ci donnent l’occasion de se poser cette question : à quoi pensent les Blancs quand ils pensent à l’identité raciale ?

Avatar revisite avec imagination les lieux du crime du génocide originel sur lequel s’est fondé l’Amérique blanche, dans lequel d’entières civilisations et tribus indigènes furent anéanties par les européens immigrés vers le continent américain. Dans le film, un groupe de soldats et de scientifiques s’installent sur la lune verdoyante de Pandora, dont les paysages ressemblent à un croisement entre les forêts du parc national de Redwood (Californie du Nord) et la forêt tropicale du Brésil. Les habitants de la lune, les Na’vi, sont une version féline et bleue de peau des peuples autochtones : ils portent des plumes dans les cheveux, vouent un culte aux dieux de la nature, se peignent le visage pour la guerre, utilisent des arcs et des flèches, et vivent en tribus.

Il est impossible de se méprendre : il s’agit bien de versions extraterrestres des peuples autochtones stéréotypés tels que nous les avons vus dans les films d’ Hollywood depuis des décennies.

Ce sont des films sur la culpabilité blanche. Nos principaux personnages blancs se rendent compte qu’ils sont complices d’un système qui détruit les autres, c’est à dire les gens de couleur - leurs cultures, leurs habitats et leurs populations. Les Blancs le comprennent quand ils commencent à assimiler la culture de l’autre et acceptent de voir les choses sous un angle nouveau. Pour purger leur immense sentiment de culpabilité, ils changent de côté, deviennent des « traîtres à la race », et luttent contre leurs anciens camarades.

Mais à ce moment, ils vont bien au-delà de l’assimilation et deviennent carrément les chefs des peuples qu’ils ont autrefois opprimés. C’est l’essence même du fantasme de culpabilité blanche, mis à nu. Ce n’est pas seulement le souhait d’être déchargé de crimes que les Blancs ont commis contre les personnes de couleur, ce n’est pas seulement un désir de rejoindre au combat le camp de la justice morale. C’est un désir de diriger les gens de couleur de l’intérieur plutôt que de l’extérieur (blanc et oppresseur).

Avatar va un peu au-delà du scénario colonisateur de base. On nous dit sans ambages que c’est mal de coloniser les terres des populations indigènes. Notre héros choisit de se joindre aux Na’vi plutôt que de se plier à la culture raciste de son propre peuple. Mais ce n’en est pas moins une histoire qui revisite les mêmes vieux tropes de la colonisation. Les Blancs réussissent toujours à devenir les chefs des indigènes - juste de manière plus douce que dans un vieux Flash Gordon ou que dans les romans martiens d’Edgar Rice Burroughs.

À la fin du film, on se demande si le personnage de Jake Sully était nécessaire. Le film aurait pu tout aussi bien en mettant l’accent sur un vrai Na’vi se mettant en contact avec ces tarés d’humains qui n’ont aucun respect pour l’environnement. Je vois d’ici l’explication : « Eh bien, nous avions besoin de quelqu’un (un avatar) avec qui le public puisse s’identifier. Un mec normal marchera mieux qu’un de ces grands gaillards bleus ». Mais c’est précisément le genre d’idée qui fait que tous les rôles principaux sont des hommes blancs (des écrans vides sur lesquels le public se projette) à moins que vous vous appeliez Will Smith.

 

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Jeudi 24 décembre 4 24 /12 /Déc 16:45

noel sapinnoel-gif-006.gifPetit Papa Noël
si tu pouvais me donner des ailes
j'irai sur la plus haute des montagnes
pour y trouver le bonheur

Permet moi de m'envoler …

Et pour vous tous qui surfer sur mon blog, je vous souhaite en cette veille de nouvelle année beaucoup de bonheur

Chaque jour qui passe, ne laissez pas le malheur s’installer car il vous mangera comme une pomme et il ne recrachera que la tige et les pépins

Pensez cependant à récupérer la tige…. Et transformez la en badine !

Croyez au bonheur, installez le dans votre corps et votre cœur,

Les battements de la badine accompagneront la force dit croire et d’entendre battre en vous et « sur vous «  petit à petit votre bonheur !


3lrh7ii3.gif         
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Jeudi 24 décembre 4 24 /12 /Déc 15:45

noel rennesEn ce début de la grande distribution de jouets, tout allait bien pour le Père Noël et son équipage : pas d'embrouille dans la livraison des commandes, pas de retard sur l'horaire (pour une fois) parking possible sans péter les plombs pour garer le traineau... Bref, le Père Noël avait le sourire sous son nez rougi par le froid et le vent.
   

Oh bien sûr, il y avait les habituelles chamailleries des deux rennes ! "Ces deux là, alors !" rouspétait souvent le Père Noël, mais c'était sans importance tant que le travail était fait et que les enfants, endormis dans cette nuit magique, s'éblouissaient d'espoir au creux de leurs rêves. 


 pere noel cheminée    Donc le Père Noël souriait dans sa barbe blanche, près du lit d'une petite fille dont les 5 ans étaient embarqués dans un sommeil de plomb. Elle avait commandé, et c'était bien souligné dans sa lettre, le gentil dragon du film d'heroïc-fantasy qui venait de sortir pour les fêtes. Un dragon dont les compétences vraiment peu agressives avaient valu un "bof" dédaigneux de la part de Jeune Renne qui avait demandé qu'on lui rajoute au moins des griffes extensibles. "Il va finir par me faire douter de moi, ce petit et ses goûts manga" pensait le bon vieillard en fouillant dans sa hotte pour trouver le dragon. "Il ne peut pourtant pas me reprocher de ne pas évoluer, avec tout ce que je transporte dans mon traîneau ! Ça vole, ça s'éjecte, ça explose, ça tire, ça saute, ça ressuscite... Mais où je l'ai fichu ce dragon à la fin !... Je l'ai oublié dans le traîneau... C'est bon, j'y retourne !"

     Là, le Père y Noël trouva ses deux rennes en pleine zizanie, mais il préféra prendre l'air de celui qui n'a rien vu et il plongea la tête dans les sacs de jouets.


     C'est à ce moment que deux secousses ébranlèrent le traîneau.
― Par ma hotte ! Qu'est-ce que c'est ?
― Ce n’est pas moi, j'ai rien fait ! S’empressa de répondre Jeune Renne.
     Les deux mêmes secousses recommencèrent. Le Père Noël se retourna : un motard de la police vérifiait le traîneau en appuyant dessus à deux mains.
― Les suspensions sont un peu usées... M'a l'air bien vieux ce véhicule, non ?
― Ah ça ! Pour être vieux... répondit le Père Noël en essayant d'être conciliant pour s'éviter des ennuis. Bien que sa technique soit améliorée tous les deux ou trois ans....
― Justement, il est de quelle année ce 4 x 4 ?
― Oh mon jeune ami, vous n'étiez pas encore né ! J'en suis déjà à la version 3 rien que pour ce nouveau siècle, d'où son nom, le T3-XXI.
― Je vois... dit le policier d'un ton ironique.
     Il tournait autour du T3 comme un juge tourne autour d'un présumé coupable.
― Même pour un grand 4 x 4 comme le vôtre, je trouve que ça fait bien du poids toute cette marchandise... Vous devez avoir une famille nombreuse pour transporter autant de cadeaux... Ça ne serait pas en excès de charge par hasard ?
― En excès ! Mais qu'est-ce que vous me chantez là ! Depuis le temps que je distribue des jouets, vous pensez bien que j'ai de l'expérience, non ! D'ailleurs entre parenthèse, malgré ce que vous en pensez... et ce qu'en pense mon jeune renne... ce modèle ne date quand même pas de l'Homme de Cro-Magnon !... Alors croyez-moi, tout va bien !
     Le policier hochait moqueusement la tête.
― Jeune renne, hein !... C'est vrai que son déguisement est bien imité.
     Le Père Noël était scandalisé - encore un qui ne croyait pas ce qu'il voyait, c'est à dire le Père Noël en personne. Le vrai ! Et comment osait-il avec son air moqueur douter de l'efficacité de son traineau ; est-ce qu'il l'embêtait lui à propos de sa moto ?
― ... D'ailleurs, sachez aussi que les patins du T3 sont en fibre de verre ! Souples et résistants ! Et répondant au quart de tour au freinage des rennes, ce que votre moto ne fait peut-être pas, après tout !
― ... Au freinage des rennes ! Non en effet, ma moto n'y répond pas... Et combien y a-t-il de km au compteur ?
― Quand vous saurez jeune homme que chaque année je fais une fois le tour de la Terre avec, vous aurez une idée de ses performances ! Chantonna le Père Noël en gonflant son ventre de fierté.
― Veuillez me montrer le certificat de contrôle technique s'il vous plait.
― Le quoi ?
― Le contrôle technique... Il a été fait j'espère, vu l'âge du véhicule. Sinon, gare à la contravention !
     Le Père Noël en suffoqua d'indignation. 

    noel renne Trente secondes plus tard, son traîneau fendait l'air de la nuit la plus féerique de l'année. Il venait de s'envoler au nez et à la barbe du policier qui ne saura jamais comment et pourquoi un vieux bonhomme un peu délirant, tout habillé en rouge, dans un drôle d'engin tracté par deux complices déguisés en rennes, avait disparu de sa vue… "Disparu ni plus, ni moins !" comme il disait à ceux qui voulaient bien l'écouter.
    

 Il finit par conclure une fois pour toutes que le grand froid et la fatigue de sa nuit de travail n'étaient pas étrangers à ce qu'il avait vu. Et il n'en parla plus jamais. Le Père Noël non plus malgré les moqueries que Junior ne manqua pas de faire durant plusieurs années. Au point qu'il finit par se fâcher et lui faire astiquer le T3 à la fin de chaque tournée. L'affaire dura quatre ans !
― Ça t'apprendra, sifflotait Vieux Renne dans sa barbichette. Faut toujours que tu l'embêtes aussi !
― Toi l'Ancêtre canonique, on t'a rien demandé ! Méfie-toi plutôt de ne pas être mis au rebut, à force de souffler comme un vieux phoque pendant toute la tournée ! Ca s'entend, tu sais ! D'ailleurs je te signale que je ne fais pas qu'astiquer le fameux "4 x 4", je booste aussi le tableau de bord... Mais tu ne le diras pas à Papy Noël, hein ?
― Si tu me promets de ne plus te moquer de lui avec cette malheureuse affaire de contrôle technique, c'est d'accord, je me tairai.
― Cool ! Je promets.


     Quatre ans je vous dis, qu'elle a duré cette moquerie de Junior. Jusqu'à cette promesse. Mais le Père Noël n'oublia jamais l'offense faite par le policier... Un vieux véhicule son super traîneau ! Ça ne se pardonne pas !

 

 

Par broceliandeO
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Dimanche 13 décembre 7 13 /12 /Déc 10:45

La badine, la cravache et les masturbations se confondent et se transforment alors en ondes jouissives.

En harmonie nous jouons de beaux accords, il est l’archer moi les cordes. Mon corps devenu viole vibre sous ses arpèges.

Quelques bémols parfois si une note s’emballe…

Alors on répète les arpèges, les tierces, il déchiffre la partition, il échauffe ses doigts sur le clavier afin de pouvoir interpréter le morceau.

 

Un morceau de qualité mais une œuvre pathétique malgré tout !

 

Il a donc sorti sa baguette, a dirigé la musique, a fait ses gammes, j’ai alors chanté, j’ai suivi la cadence, j’ai été son instrument, sa mélodie aux variations de plaisir.

 

Mais l’accord final m’a laissé le goût de nostalgique d’une symphonie inachevée…

 

 Lignes-filantes-6.gif

Par broceliandeO - Publié dans : sortilège
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Mercredi 2 décembre 3 02 /12 /Déc 09:41
Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 15:28

Cette année, pour Noël, grande nouveauté sur l'Avenue des Champs-Élysées à Paris, une magnifique exposition de glace représentant les plus célèbres monuments de la capitale ainsi que les figures emblématiques de cette dernière.

ICE MAGIC est dans un décor entièrement façonné dans la neige et dans la glace. Les effets d’éclairage ajoutent à la magie du spectacle. Cette randonnée glaciale se termine au ICE BAR, où l’on peut consommer une boisson littéralement IN THE ROCKS.

 
Les visiteurs pourront donc rencontrer la Vénus de Milo,
la Joconde, Jeanne d’Arc à cheval ou encore Le Penseur de Rodin,
sourire à Quasimodo et Esméralda, se prendre en photo devant la Galerie
des Glaces, s’extasier devant le château de la Belle au bois dormant
illuminé et voyager à l’époque de la Révolution française.

"Les sculptures peuvent atteindre jusqu’à 5 mètres de hauteur.
16 artistes en provenance du Canada, d’Allemagne, d’Ukraine, de la
Pologne, de la Lituanie, de la Russie, de la Finlande, des Pays-Bas et
de la Belgique travaillent jour et nuit.
Glace naturelle : 420 tonnes de glace. 100 tonnes de neige.
Surface d’exposition : 500 m2.
Température : – 6°.

 

c'est magnifique, j'ai été enchantée et transportée ... et gelée...!!!

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Lundi 23 novembre 1 23 /11 /Nov 17:55

 

 

Tirée par la chaine fixée aux anneaux de son sexe, l’homme oblige la femme à monter sur la table et se mettre en position d’exposition. La voici en levrette, tête au sol, cuisses écartées, bien ouverte. Elle est à bonne hauteur pour profiter de toutes les parties de son corps.



Elle porte un collier et des bracelets en cuir enserrent ses poignets et ses chevilles.

Du bout de sa badine il tapote sa croupe, signe qu’elle doit rester parfaitement immobile.

 

Il observe sa vulve attentive, elle perle de manière indécente, elle « tète »… « Demande »...

Il malaxe sa croupe, ses mamelles, tire sévèrement sur les tétons, les étire avant d’y refermer des pinces. Il y accroche des poids, les globes se déforment, tirés vers le bas par la lourdeur et ressemblent à des poires.

Puis il déploie les lèvres intimes, le sexe devient obscène, déployé totalement. Il étire le clitoris, le décalotte. Il leste les anneaux des nymphes, elles sont voluptueusement et violement étirées et pendouillent à l’entrée du sanctuaire de plaisir.

Instinctivement elle écarte davantage les cuisses, elle accueille les prémices de douleur, sa chatte éperdument ouverte palpite comme une carpe, les disques suspendus tintent doucement avec éloquence.

 

Les lanières du martinet s’abattent sur les chairs frémissantes, lèchent dos, cul et cuisses, la marquent de stries rouges bien nettes. Elle sursaute sous le rythme des frappes, ondule de complaisance lorsque le cuir cinglant fait place à la main, elle accompagne chaque impact, chaque caresse sous le son des sonnailles et offre davantage ses dispositions animales.

Les cinglées se montrent plus intenses, elle râle, frotte ses mamelles, elle se cambre et son sexe s’offre comme un calice. Elle est sauvage, sans aucune retenue, indécente. Sa vulve bave, les coups sont espacés et lui arrachent de doux gémissements.

Il glisse sa main sur la fente débordante de toutes ses saveurs, pianote et introduit ses doigts dans la mouvance de sa grotte alors que de son autre main les ultimes frappes continuent de pleuvoir en harmonie avec le bruit obscène du clapotis de son ventre en émoi.

 

Son sexe nacré est un livre ouvert, le nodule de chair est érigé, la vulve est en quête de plaisir. Il plonge ses doigts puis sa main dans ce calice, se délecte à la source, s’enfonce au plus profond de son intimité pleine de promesse.

Il retire sa paume de l’antre chaude, ancre deux doigts dans l’anus tout en branlant le bourgeon et le met en extase. La chatte dégouline, le nodule de chair bande, la femme frétille et jouit copieusement régalée.

Des mouvements désordonnées la secouent et activent les étirements douloureux des poids suspendus et telle une bête elle s’abandonne dans cette posture animale au plaisir qui la submerge.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
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Samedi 14 novembre 6 14 /11 /Nov 19:53

moi

Moi ici, je songe à tout, l’idée,

Advenant … le retour en arrière

Advenant… l’éclosion soudaine de souffrir

Advenant … panique subite

Advenant …  l’efflorescence de lassitude

 

Je maudis mon espace

Je maudis ceux là, «  de là bas »

Je me maudis

 

Je rage de me soustraire à ‘l’espace temps »

Trop dur, trop d’obstacles pour que mon virtuel ne soit pas séparé du réel quoique irréel ou réel sais plus

Seule certitude le réel me hante me blesse, pourtant j’éprouve de la passion

 

Je laisse parfois passer les flux car ils rendent les parois poreuses.

 

Je suis un gyroscope dirigé par l’intérieur parfois un nouvel individu marchant au radar et alors c’est l’angoisse, la panique car rien ne frappe le radar.

 

Other directive je ne suis pas « branchée »

Le regard des autres et l’extérieur me renvoient à une rupture, je bascule, je suis en retard, je ne peux plus innover

 

Alors je glisse (avec bcp de S…) je surfe aux antennes et suis avalée par les flux

 

Est-ce que j’existe ??? Lorsque mes deux oreilles portent un casque ???

 

Je me fais JE par le JEU et je conçois un espace avec un centre et des zones de réseaux, je simule, j’invente, je refuse d’être « entuyautée » alors je surf et fabrique ma différence…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par broceliandeO
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Mercredi 11 novembre 3 11 /11 /Nov 08:57

Dans la rubrique Littérature : Signification

* * * * * * * Balle (C'est de la) :
Exprime l'enthousiasme, quelque chose de bien, de beau, de positif. Cette meuf, c'est de la balle (Je ne suis pas insensible aux charmes de cette demoiselle).

* * * * * * * Bouffon :
Qui ne s'apparente pas au clan.
Nique lui sa race à ce bouffon ! (Rabats lui son caquet à cet individu qui ne s'apparente pas à notre milieu !).

* * * * * * * Carotte :
Du verbe carotter (extorquer, voler), mais dans une forme invariable. Il m'a carotte un zedou de teuchi, l'bâtard, tu vas voir comment je vais le niquer grave (Le scélérat m'a dérobé douze grammes de cannabis, il va s'en mordre les doigts).

* * * * * * * Chelou :
Bizarre, inhabituel. Par extension, qui ne s'apparente pas au clan. La prof d'anglais elle a des veuch tout chelous (Ce n'est pas tous les jours que l'on voit une coupe de cheveux aussi inhabituelle et cocasse que celle de la professeur d'anglais, qui par extension ne s'apparente pas à notre milieu).

* * * * * * * Comment :
Exprime l'intensité. Comment je lui ai niqué sa race à ce bouffon ! (Je sors indéniablement vainqueur du combat qui m'a opposé à cet individu qui ne s'apparente pas à notre style de vie, ceci dit en toute modestie, s'entend, et avec la sportivité qui s'impose en de pareilles circonstances).

* * * * * * * Foncedé :
Se dit d'une personne qui vient de consommer du cannabis. Je suis foncedé (Mon regard est vitreux, je perds mes mots, un mince filet de bave s'écoule sur mon menton et je rigole comme un décérébré, sans aucune raison. J'ai payé assez cher pour me mettre dans cet état. Bref: je viens de consommer du cannabis).

* * * * * * * Kiff (er) :
Apprécier. Comment je kiffe trop son cul (Le sien postérieur n'est pas sans éveiller chez moi des pulsions bien naturelles, qui me mettent dans une humeur joviale, pour ne pas oser dire gauloise).

* * * * * * * Mortel :
Bien, beau, dont on peut se réjouir (invariable). Elles sont trop mortelles tes Nike (Vos chausses s'entendraient fort bien avec mes pieds, aussi vous demanderai-je de m'en faire l'offrande sans opposer de résistance).

* * * * * * * Mito:
Mensonge. Dérivé de mythomane (menteur). On me fait pas des mitos à moi, bouffon ! (Je ne suis pas le genre de crédule à qui vous ferez gober vos sornettes, individu qui n'appartient pas à notre milieu !).

* * * * * * * Race (sa) :
Exprime le mécontentement. Sa race ! (Je suis d'humeur maussade). Sa race, c'bouffon ! (Mon anneau pylorique est complètement fermé. C'est le résultat de la proximité de cet individu).

* * * * * * * Sérieux :
Indique que le propos est grave, solennel, et qu'il faut donc lui accorder le plus grand crédit. Sérieux, j'kiffe trop son cul à votre fille (Monsieur, j'ai l'honneur de vous demander la main de votre fille).

* * * * * * * Tèj :
Jeter, refuser, réfuter, envoyer, promener. T'aurais vu comment Jamel il a tèj la prof d'anglais ! (Le facétieux Jamel ne s'est pas laissé démonter face aux réprimandes de la professeur d'anglais !).

* * * * * * * Trop :
Exprime l'intensité. En cela, synonyme de comment. Trop et comment peuvent éventuellement cohabiter dans la même phrase, pour exprimer une intensité très élevée. Trop la honte, ce blouson (Ce blouson est ridicule, et dans des proportions considérables).
Trop comment je suis foncedé ! (J'ai fumé une quantité déraisonnable de cannabis. Je crains que mon acuité intellectuelle en pâtisse pour la paire d'heures à venir).

* * * * * * * Truc-de-ouf :
Désigne une chose peu commune, qui dépasse l'entendement.
C'est un truc de ouf ! (Mon dieu, mon entendement est tout dépassé !).

* * * * * * * Zyva :
Indique que la demande est pressante.
Zyva, fait méfu, sale chacal (Ne sois donc pas si avare de ta cigarette purgative, et fais en profiter ton vieil ami qui trépigne d'impatience).


Par broceliandeO
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  • 05/02/1958
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  • sensible, ludique, lubrique, maso, épicurienne, curieuse. aime : voyages, la mer, l'art, jeux RP en réseau, mon nounours doudou, le chocolat, la vodka... et ma progéniture adorée : mon fils !
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