Le blog de broceliandeO

La voici attachée et maintenue ouverte par des sangles qui tiennent ouvertes ses cuisses. L’homme pose sa main sur la croupe exposée sans défense, passe un doigt dans la fente gourmande, elle mouille et sa vulve resplendit comme une source.

La femme se laisse transporter dans un monde de plaisir de démence, de douleur et de perversité, totalement offerte à ses envies.

Les coups et les caresses alternent, son Bourreau joue avec le martinet. Les lanières zèbrent ses fesses rebondies, les lanières s’insinuent sur ses courbes entre ses jambes, lèchent son sexe, l’irradient de mille piquants jouissifs, elle se laisse fouetter, elle crie de plaisir douloureux, le martinet rebondit encore et encore avant de laisser la place à cette main apaisante, reconnaissante qui glisse sur les chairs à vif. La danse des lanières reprend et mord son corps qui se cabre. Le cuir brule le cul dénudé, lacère les reins en mouvement souple et vise la chair tendre de l’entrejambe. La femelle tremble, danse, frémit sous le zéphir voluptueux des impacts, un filet de mouille coule telle une rivière entre ses lèvres gorgées de désir d’où pointe un bouton avide de branlade.

Son tortionnaire frappe de plus en plus rapidement se réjouissant de ses plaintes, de ce corps tendu entravé dans les liens dont il use à son gré. Il lui assène ensuite des claques magistrales sur les globes striés qui déjà bien rouges deviennent écarlates et brulants.  Le cul est couvert de zébrures fines et rouges. La femme pousse de petits cris entrecoupés de soupir lorsque les cinglées sont remplacées par les caresses gourmandes.

Il fouille le petit anneau plissé sans ménagement, elle tressaute, se crispe, ses pleurs se font supplications. Elle a l’horrible impression d’être pourfendue et brulée. Les doigts sont pesants sur le rectum timide et force l’entrée étroite. Les sphincters cèdent sous la pression. Il la pilonne malgré les gémissements implorants. Il enduit l’anus froncé de gel, écarte davantage les lobes fessiers, titille maintenant l’orifice avec un gode « généreux » et l’appuie fortement. Le conduit lubrifié capitule sous la pression, l’intrus s’enfonce jusqu’à la garde impitoyablement, perfore son fondement jusqu’au tréfonds de ses reins.

Elle se débat inutilement sous la douleur, l’homme calme de son autre main libre, ce corps en alerte et en émoi.

Jeu 11 jun 2009 3 commentaires
j'adore la manière dont les liens sont posés sur ce dessin... j'aurais voulu savoir fair des noeuds.
kelkunkelbaiz - le 11/06/2009 à 23h23
et que ces derniers coulissent sur la peau !
broceliandeO
que ces liens glissent oui...
kelkunkelfrustr - le 24/06/2009 à 18h40
et qu'ils laissent leurs traces...
broceliandeO
hmmm, j'ai bien fait de revenir lire ça... tu crois qu'il faut beaucoup de fil pour ça..? j'ai envie d'attacher ma cop, ce week-end... le temps d'une sodomie.. ou plus
kelkunkyadorsa - le 28/08/2009 à 03h25
bcp non  (a moins d'une surface énorme lol je taquine là !) 
un lien, deux lien et trois je te tiens !
broceliandeO