Le blog de broceliandeO

Pendue au plafonnier la suppliciée tend son corps à son Bourreau. Son « Maitre de tourments » promène sa longue badine souple sur elle, soupèse sa poitrine et s’assure de la lubrification de son sexe. Elle est sa chose créée dans la douleur et pour son plaisir qui le pousse à aller de plus en plus loin. Il veut qu’elle se soumette à ses caprices, l’entraine à ce que son corps ne soit plus qu’un terrain de jeux.

La flagellation débute doucement, les coups rebondissent  sur les rondeurs offertes. Peu à peu la cadence s’accélère, les morsures s’amplifient, la pauvresse tourne sur elle-même, la douleur se diffuse, les premières marquent apparaissent sur la peau blanche. Les fourmillements cuisants diffusent sournoisement dans les chairs frémissantes. La femelle s’offre aux coups, râle et  pleure. L’excitation monte, fait raidir la queue de la main tortionnaire tandis que la suppliciée ruisselle entre ses cuisses.

Chaque impact l’oblige à avancer et donner son corps davantage. Les coups sont précis, pleuvent sur toute partie du corps jusqu’à s’égarer aux endroits les plus intimes. La douleur est aigue, vive mais la main apaise, se fait douceur… avant de redevenir tortionnaire…

Douleur et vague de plaisir alternent là où le gout de l’horreur laisse place aux perles de plaisir.

Les cinglées s’abattent, la font tournoyer, plier, céder. La peau est couverte de zébrures, elle est lacérée. Les chairs martyrisées, sensibles à l’extrême se colorent, c’est ainsi qu’il la veut, striée, boursoufflée, décorée par ses soins.

L’homme accentue ses coups, ca claque sèchement, ça pleure fort !

Le Bourreau accompagne chaque frappe de sa paume bienfaisante, elle gémit alors de soulagement avant de rependre sa danse effrénée en rythme avec la cadence imposée des frappes. Le « flageleur « continue de lever son bâton souple et d’atteindre sa victime. Larmes et cyprine dégoulinent de ce corps offert. Les stries rouges violacées recouvrent les rondeurs de l’élève.

Il aime ainsi ce corps marbré aux sucs prometteurs, il aime la voir se muer en serpent de douleur pour devenir louve en chaleur, il aime savoir qu’elle ne peut lui échapper, qu’elle n’est plus que sa création esclave de son plaisir.

Dim 2 aoû 2009 1 commentaire
hmmmm je lis là un doux retour sur tes bonnes vieilles amours???
kelkunkyadorsa - le 28/08/2009 à 03h23
amour amour bien vite dit..; parlons plutot de passion

bisous
broceliandeO