Le blog de broceliandeO

Les poignets et chevilles enserrés dans un bracelet en cuir, la femelle est allongée sur la table de travail, ses membres sont étirés en croix afin de permettre que le compas de ses cuisses soit parfaitement ouvert et à portée de son entraineur.

 

  

 

Une chaine est passée dans les anneaux de ses lèvres intimes afin d’écarter ces dernières pour avoir un accès plus aisé à son abricot gonflé.

 

L’homme commence par flageller son élève et le martinet s’abat sur le corps en extension. Il veut que ses chairs soient très sensibles et que les frappes régulières la fassent mouiller. Le corps de l’élève tressaille sous les cinglées, rougit et se couvrent de stries régulières. Les seins gonflent et les tétons s’érigent fièrement. Les lanières du martinet continuent de s’abattre jusqu’à ce que l’homme juge la couleur de la peau correcte.

 

Il étire alors les tétons de la poitrine devenue pourpre, la femelle sous la douleur gonfle son torse.

L’homme place un tire- lait sur les aréoles et aspire les bouts qui emplissent rapidement les tubes en verre. Il tire sur le piston, les élongations successives entrainent une souffrance dans toute la poitrine, fait gonfler et crisper le torse de l’élève. Il veut que ses tétons deviennent plus gros et longs. Le bruit de succion le ravit ainsi que la vue des tétons qui ont désormais doublé de volume. Une fois les embouts retirés, il peut profiter au mieux des nouvelles dimensions des bouts. Après avoir orné les mamelles de pinces colorées il s’attaque aux bouts. Muni d’une pince il les étire et y place une pince à clochette.

 

Il s’attaque ensuite au clitoris qui subit le même traitement. Il étire à l’aide du piston le petit organe, la torture répétée des étirements fait gémir l’élève. Elle se tord dans ses liens, essaie un mouvement de fuite en vain. Le bourgeon libéré du tube en verre est en pleine érection, l’homme le maintient par une pince pour conserver cette nouvelle « extension » du clitoris.

 

Il fouille ensuite la matrice de son élève et félicite cette dernière pour son état de liquéfaction.

 

-       C’est ainsi que vous devez être en permanence, bien ouverte, bien lubrifiée et tous vos organes développés. Si je devais constater que mes exercices et traitements ne donnent pas le résultat voulu, vous serez punie et le travail serait doublé. Je considérerai que vous faites de la résistance. Votre corps doit devenir un parfait terrain de jeu ainsi qu’un objet pour me divertir !

 

Puis il écarte fente et anus afin d’investir sans ménagement les orifices à sa portée. Il la pilonne pour qu’elle soit bien ouverte et disponible. Il la travaille avec ses doigts, enfonce au plus loin en elle doigts, main, divers objets, il la fouille au plus profond afin qu’elle comprenne qu’il la possède et qu’elle n’est qu’une chose réactive.

Son élève sous les investigations et tortures oscillent entre plaisir et douleur, ses cris et gémissements ravissent son Dresseur qui satisfait lui accorde une jouissance.

Sam 10 oct 2009 1 commentaire
N'est-ce pasun peu trop?
patrick - le 11/10/2009 à 09h04
trop de quoi ? 
broceliandeO