Se jouant de moi, de
ma peau, de mes rêves
Elle passe, narguant le jour qui se lève
Insaisissable, noire ou étoilée
Elle se gorge des secrets dont elle est peuplée
J’attends patiemment que se nourrissent
mes songes
De ses conseils sans tourment ni voile ni mensonge
Mais souriante, sarcastique cette nuit
Me refuse la paix du corps et de l’esprit
Dans les draps, je tourne, elle, ironique
Me regarde de son bleu charismatique
Elle se moque la nuit de mon insomnie
Passant ses heures en lenteur infinie
Douce nuit, berceau violeur de mon sommeil
Motivée, attendant l’aube qui se réveille
Ombres voilées qui se rient de mes yeux ouverts
J’allume la lumière et je te chasse
Février 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | |||||||||
3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | ||||
10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | ||||
17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | ||||
24 | 25 | 26 | 27 | 28 | ||||||
|