ami

Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 08:45

Je ne suis pas d’un rose pâle comme mes compagnons.

J’ai la peau parme.
Ma texture est douce au toucher.
Je suis dur et long mais pas trop.
Ma base est ronde, pour que tu me tiennes bien en main.
J’ai un mécanisme de vibration qui me permet de vibrer à ta demande !
Je n’ai pas d’odeur comme de celles qu’on trouve en magasin !
Pour toi mon odeur sera neutre, pour ne pas t’incommoder

Je suis un gode exceptionnel, puisque tu m’as choisi.
Nous sommes le soir, sur ton lit, je suis près de toi.
De ta main droite, tu es allée à ton intimité, pour commencer à te caresser doucement, j’en suis jaloux, mais je comprends !
Je ne peux pas te pénétrer alors que tu n’es pas prête, je te ferai plus de mal qu’autre chose, je ne veux être que plaisir à ton contact !
Au bout d’un moment, je sens que tu te contractes.
Je suis bien là contre toi, j’attends que tu veuilles bien reprendre ton imaginaire !
Si je pouvais, je me mettrais à vibrer de moi-même, mais je ne le peux !
De ta fine main droite tu me prends.

Ta progression reprend, tu m’approches délicatement de ton doux sexe humide, par le plaisir énoncé de tes fantasmes.
"Il" me nargue comme s’il voulait me prouver, qu’il était plus beau que moi ! Cela est sans conteste puisque tu es de chair et de sang, ton corps palpite par le rapide flux sanguin qui ne fait que confirmer ton désir !
Il est vrai, que bientôt il m’enviera le sort que tu me réserves, par moi il ne sera plus qu’un jouet au gré de mes vibrations et de ta main libre.
Nous passons, à tes lèvres douces et délicates, je les sens si fragiles à mon contact et si précieuses.
Tu approches délicatement mon gland de plastique sur ton bouton de rose.

Je rencontre l’anneau de ton petit nodule qui se dresse impudemment.

Je peux enfin être tout contre toi, ton miel est chaud, ton odeur est neutre.
Tu fais bouger mon gland doucement sur ton bouton, pour que ton corps m’accepte !

De ta main gauche, tu mets en route mon mécanisme de vibration.

Je sens ton clitoris gonfler, durcir sous mes roulements

Des vagues de plaisir t’emportent dans un flot d’ivresse

Puis tu descends à l’entrée de ton jardin secret ! Tu me pousses progressivement en toi, tu es chaude, je sens toutes tes muqueuses qui font que tu es femme ! A mon contact, tu commences à te détendre, petit à petit tu m’acceptes.
Tu commences un mouvement de va et vient, ton bassin ondule doucement.
Tu me pousses délicatement, contre ton entrée, doucement tu me pousses en toi !
Une petite résistance se fait.
Je suis inquiet de savoir si tu ne vas pas souffrir ?
Pourquoi je me pose cette question ? Puisque, je ne suis que de plastique, de fils conducteur de polarités différentes et de piles.
Juste, un objet de plaisirs entre tes mains fines et froides.
Je n’ai pas d’âme puisque pas de sang, ni de chaleur, ni de battement de cœur pour me faire vivre ! Je ne vis que par tes fantasmes !
Mon gland est passé, ta main reste là sans bouger, quelques secondes pour t’habituer à moi !
Ces quelques secondes passées, tu continues en m’enfonçant plus profondément…
Je suis en toi !
Mon mécanisme de vibration petit à petit augmente à tes ordres, puisque que ma commande de fonctionnement est dans ta main libre.
Tu poses ce mécanisme de commande à ma base, pour reprendre ce mouvement que tu aimes tant !
Tu te contractes, je le sens !
Tu m’enserres plus encore, comme si tu ne voulais plus que je sorte !
Ton plaisir augmente !
Ton corps est convulsé sous l’assaut du plaisir qui prend possession de ton être !
Je vibre de toute mon entité de plastique, pour ton seul plaisir !
D’un dernier soubresaut ton corps se tend, tu m’enserres plus violemment encore, tu jouis, un petit gémissement s’évade enfin de ta bouche.
J’aurai aimé être le prolongement de ton orgasme !
Je sais que tu vas me retirer de toi et me poser de nouveau sur ton lit, si froid.
Que m’arrive t-il ? Me voilà  philosophe, alors que je ne suis que de plastique !
Silence ! Tu ne bouges plus.
Je suis là inerte, puisque tu as arrêté les vibrations !
Quelques secondes plus tard, tu m'ôtes de ton corps et tu te lèves pour me laver.
Tu effaces toutes les traces de ton intimité qui sont sur moi, comme si tu m'avais souillé, alors que je ne suis fait que pour ton plaisir !
J’ai bien froid tout à coup, me voilà à nouveau dans un sac.
Je rêve, d’être un homme, de chair et de sang, pour pouvoir rester en toi sans te laisser la possibilité de me retirer de toi.
Je continuerais à te faire l’amour, pour que tu jouisses encore et encore, je te parlerai doucement pour pourvoir t’apprivoiser.
Je te ferais dépasser tes limites à chaque fois !
Je te ferais jouir, sans que tu te caresses, juste parce que je serai en toi !
Ton bassin ondulera sous mes assauts, de ma voix j’apaiserai ton âme !
Je serai, pour toi ce que tu recherches et celui que tu attends !
Je n’ai pas d’âme, puisque pas de sang ni de chaleur pour me faire vivre, ni de battement de cœur.
Je vis grâce à tes pensées et tes fantasmes.
Parfois je voudrais être tout autre.
Je suis si heureux de t’avoir procuré du plaisir et d’avoir réalisé ton fantasme.
Je ne pourrais toutefois jamais prendre possession de toi, comme cet homme dont tu rêves.
Pourtant j’ai imaginé être cet homme ! 

 

 
Par broceliandeO - Publié dans : ami
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Mercredi 21 janvier 3 21 /01 /Jan 07:19

TIBERE, MON SPITZ IRRESISTIBLE !

 

Mon Tibère, mon irrésistible séducteur qui  a réchauffé durant toutes ces années mon cœur et qui m’a vouée un amour passionné !

 

Tu es arrivé dans ma vie, fragile, petite boule de poils blanc, tout doux avec un duvet de phoque. C’est si loin et il me semble pourtant que c’était hier.

Tibère tu as comblé ma vie, nous étions amoureux… et tu me portais une affection démesurée, un amour exclusif !

Tu étais fier, joueur, tu avais l’esprit vif, toujours en éveil, en alerte, les yeux pétillants de malice. Tu étais espiègle, hardi, coquin, effronté enfin une présence de tous les instants !

Tu étais très élégant, avec une allure vive et déliée et une tête de chien de traîneaux. Ta fourrure était exceptionnelle, chatoyante, opulente, épaisse, plantée « debout » de couleur uniforme blanche et tu portais orgueilleusement ta queue en panache. Tu étais le plus beau…

Dès le premier jour tu avais dédaigné ton panier sinon pour le mettre en miettes et mon lit était devenu le tien. Bon gardien tu t’inquiétais du moindre bruit inhabituel, insolite et t’empressais d’avertir de ta petite voix haut perchée : « attention danger ! ». Tu savais me protéger malgré ta petite taille, « nous protéger » car à la venue de Yann il n’était pas question alors de laisser quelqu’un approcher le bébé.

Petit mais quelle vitalité ! Moto, vélo, bateau, avion, voiture tu me suivais partout même au travail. Rien ne t’effrayait. Que d’aventures avons-nous partagées mon compagnon de tous les instants de bonheur ou de galère. Tu étais là fidèle, cabochard, tu m’aimais, je t’aimais.

 

Mon Don Juan… tu me manques…

 

 

 

 

Par broceliandeO - Publié dans : ami
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Vendredi 17 octobre 5 17 /10 /Oct 06:27

Le sourire est contagieux, tu l'attrapes comme un rhume.
Quand quelqu'un me sourit aujourd'hui, je souris aussi
je tourne le coin et quelqu'un voit mon petit sourire,
quand il a sourit, j'ai réalisé que je venais de lui passer mon sourire, j’ai pensé à ce sourire et j'ai réalisé la valeur qu’un simple sourire comme le mien pouvait voyager à travers les contrées.
Alors si tu sens le début d'un sourire ne le camoufle pas !


Par broceliandeO - Publié dans : ami
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Samedi 19 juillet 6 19 /07 /Juil 08:34

20 août 2004 : dernier voyage de mon compagnon

Il n'y a rien de plus triste que de voir son fier compagnon malade et être impuissant envers le mal qui le ronge et l’emporte à jamais.
Oméga a du mourir mais il est demeuré jusqu'aux dernières semaines, voire jusqu'aux derniers jours, mon gentilhomme campagnard,
mon chien que j’ai toujours connu et aimé.
Son temps de passage près de moi me laissera un souvenir de chien m’ayant comblé. Gentilhomme, il l'était jusqu'au bout de l'ongle de son double ergot.
Il fallait le voir fièrement campé près de moi afin de se rendre compte de sa noblesse.
C'était un chien "qui ne mentait pas" et son apparence de fierté traduisait réellement le fond de son caractère.
Campagnard, il l'était aussi par sa rusticité, sa réserve, son attachement profond, son sérieux.
Mon beau beauceron, grand, puissant, ton regard foncé était franc, loyal, sévère, voire dur mais si amoureux !
J’adorais quand tu devenais " tout bête " avec moi, avec les enfants ou autre chien auxquels tu ne savais comment montrer ton affection.
Oh bien sur ta taille imposante alors que tu te prenais pour un petit a parfois entraîné quelques catastrophes…
Tu n’as jamais compris pourquoi tu ne pouvais venir sur mes genoux…
Mais Oméga il fallait te voir avec tes 40 kilos de muscles…
Combien de fois avec ta grosse patoune sur moi je me suis retrouvée prisonnière…
Et aussi que de chutes…
Non non on ne jouait pas à la bagarre simplement tu me montrais ton affection, sautais sur moi et hop je me retrouvais à terre…
Ce que tu étais pataud… même dans les escaliers tu tombais…
Et je ne parle pas de tes prises de virages… tu ne connaissais ni frein et étais un pro des glissades…
Tu étais vite devenu mon compagnon irremplaçable.
J’aimais ta fière d'allure, fier de caractère où toute contrainte injustifiée t’était inacceptable.
Tu m’as toujours fait, le maximum pour me donner satisfaction.
Tu étais le chien d'un seul maître, nous nous sommes adoptés en fait !
Et voila tu es parti et m’a laissé abattue mais heureuse du bonheur que tu m’as apporté.

Alors pour cela je te dis merci Oméga mon ami pour la vie !

 

Elle est à toi cette chanson
Toi Omega qui sans façon

M'as donné tendresse et câlins
Quand dans ma vie j'eu du chagrin
Toi qui m'as donné sourire quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
N'avaient pas vu mes peines renfermées
Ce n'était rien qu'un peu de joie
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manière d'un feu de joie

Toi Omega qui n'est plus la
Sache lorsque tu nous entendras
Nous te souhaitons en haut du ciel
un repos éternel

 

Par broceliandeO - Publié dans : ami
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