Vendredi 17 avril
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16:55
J’ai été ce jour l’agnelle de mon Dresseur, sacrifiée
à l’autel de ses désirs et je suis fière d’avoir eu une place importante et symbolique entre ses mains. Les cloches de ses fustigations cinglantes ont sonné dès son arrivée ce matin et après
m’avoir « bénie » m’ont apporté jouissance, douleur et œuf en chocolat ! Ainsi mon Dresseur a célébré « l’arrivage » de ma bonne conduite et m’a donné en cadeau toute la
puissance de ses sévices voluptueux. Aussi je me suis abandonnée avec envoûtement à toutes ses attentions : Après m’avoir réveillée et gratifiée d’un bonjour de sa badine souple
laissant mon corps endolori et mon sexe en émoi, il m’a fait boire mon lait. Puis toujours mise à quatre pattes, il entreprit d’investir mes orifices. D’une main de fer il pénétra mon vagin
et glissa dans ma grotte. Il se mit à fouiller ma vulve, étirât mes nymphes et sa paume s’enfonça en douceur dans mon antre. Il s’enfonçait au plus profond de ma caverne, me remplit le ventre
tandis que je retenais mes cris de douleur. J’étais entraînée dans un vertige de souffrance alors que sans concession sa main s’avançait en moi et me déchirait les muqueuses. Je sentis ensuite le
plug se poser sur mon anus et commençait à le forer. Mon Dresseur effectuait des va et vient et les poussées devenaient de plus en plus fortes. Je m’ouvrais, je cédais. Mon « violeur »
remplaça le Priape artificiel par ses doigts les tournant dans mon fondement. J’étais tendue, fichée à lui. Il me flatta la croupe. Il entreprit avant ma toilette de faire travailler mes
lèvres avec les anneaux. Je me retrouvais avec des ficelles accrochées à ces derniers et fixées à mes cuisses et aux lanières du harnais. Les liens tiraient atrocement sur mes nymphes traumatisées.
C’est avec beaucoup de difficultés que je me rendis dans la salle de bains, mes corolles étaient écartelées et le moindre mouvement accusait encore plus cette sensation de déchirure. Il
m’ôta le harnais et les cordes et je me lavais les dents sous le rythme soutenu du martinet qui flagellait impitoyablement mon dos, mes fesses et mon cul. Une fois revenue de la douche, je
reprenais ma place à ses pieds. Il gonfla le plug progressivement pour dilater mes entrailles. Mon anus déprimait alors que le gonflement pesait douloureusement. J’étais creusée dilatée et
impossible de me clore. Une véritable langue de feu déchirait mes entrailles. J’avais la veille préparé le couvert et pendant que mon plat cuisait au four Il me prépara afin que je puisse
partager à sa table, le repas. Les liens de modelage soulignaient les moindres détails de mon corps. Les cordes serrées exerçaient une forte pression, elle empêchaient le plug qui investissait mon
canal étroit de glisser et écartaient mes lèvres intimes. Le chanvre pénétrait mes chairs embrasées par les séances de flagellations précédentes. Le moindre mouvement se transformait en serpent
venimeux. Mes seins étaient marqués par les cordes faisant pointer mes bouts turgescents. La spirale des cordes s’enroulaient autour de mon ventre, s’insinuait entre mes corolles étirées. L’ourlet
de mes nymphes laissait apparaître mon bourgeon palpitant. Il ajouta des cadenas à mes anneaux, qui pesèrent douloureusement sur mon sexe. Ainsi vêtue, mon Dresseur me fit gémir et tressaillir sur
touts les cotés en abattant sa badine sur mon corps tendu, le chanvre râpait de plus en plus mes chairs en duo avec les coups qui cinglaient ma peau. Ma peau s’embrasait de plus en plus, les cordes
rentraient dans mes chairs, les larmes embuaient mes yeux, j’avais le corps et le souffle coupés ! Alors que j’étais assise à table pour le déjeuner, il compléta sa préparation en
emprisonnant mes aréoles dans des pinces colorées. Je me tenais raide sur ma chaise, le plug enfoncé comme un pieu me sciait, mes lèvres intimes s’écartaient davantage avec les cordes attachées
dans un savant jeu de nœuds. Après le plat principal il me fit manger le gâteau. Il me présentait chaque bouchée en s’emparant de mes mamelons de son autre main afin de les étirer. Il pétrissait
mes tétons, les allongeait alors que je devais présenter ma bouche vers le gâteau et qu’il tirait mes seins de l’autre coté. Il retira les pinces, ma poitrine bandait, ma chatte coulait, je me
léchais les babines. Une fois le repas terminé, je me retrouvais à savourer le dessert de mon Bienfaiteur, debout attachée à la chaise, mains liées dans le dos prête pour recevoir le fouet.
Il avait accroché une cloche entre mes cuisses ouvertes. Le cuir commença à marteler mes seins, mon ventre, mes cuisses et mon sexe. Il espaçait les coups, passait sa main avant de continuer
d’appliquer les frappes. Le cuir me hachait et portait à l’incandescence mon corps. Le fouet s’abattait comme des coups de poignard et me pinçait cruellement. La douleur montait profonde, diffuse
et alternativement complétée soit par un autre coup, soit par la caresse bienfaisante de la paume de mon Bourreau. Je frémissais, je sursautais et la cloche tintait joyeusement ! Mes chairs
devenaient rouges, striées, les impacts m’arrachaient des rugissements, le fouet continuait de claquer sur ma peau zébrée comme des tenailles rougies. Plusieurs fois mon Dresseur m’a fait
jouir, récompensant ainsi mon obéissance et ma bonne volonté à réussir les exercices qu’il me dispensait. Il descendait alors vers ma fente découvrant la moiteur de mes tissus. J’écartais les
jambes tandis qu’il me godait ou ancrait ses doigts dans mon cul. Je me livrais à ses doigts titillant mon bourgeon. Je gémissais doucement tandis que le désir montait et grandissait dans mon
bas ventre. Mon intimité était offerte et je m’abandonnais peu à peu aux ondes voluptueuses. Empalée par mon entrée prohibée, masturbée par ses doigts maléfiques, mon nodule de chair bondissant,
écrasé, malmené, j’ondulais, les reins broyés mais mes jouissances duraient de longues minutes merveilleuses.
C’est donc avec bonheur et délice que j’ai apprécié ce retour "de cloches carillonnantes" d’aujourd’hui !
Par broceliandeO
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Publié dans : mon espace "moi"
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