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Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 10:43

Avatar fichefilm imagesfilmLe scénario est classique mais je ne l'ai pas trouvé mal traité. Oui on a déjà vu des centaines de fois, l'histoire façon Pocahontas, oui James Cameron nous fait une redite, mais il le fait bien. Bien que très prévisible, on se sent emporté dans le flux de l'histoire, on sait ce qui nous attends mais on veut savoir comment il va nous le montrer, c'est un peu la force du réalisateur.

Les critiques voient dans le film Avatar de James Cameron une épopée extraterrestre, une sorte de version fantastique de Danse avec les loups : l’histoire d’un mec blanc qui s’entiche d’indigènes et finit par devenir leur grand chef. Mais, en fait, Avatar est juste la dernière mouture SF d’un vieux fantasme de culpabilité blanche.

Ce film est un conte de science-fiction au sujet de la race. Plus précisément, c’est un fantasme sur les races raconté du point de vue de personnes de « race blanche ». Avatar et les films de S.F. comme celui-ci donnent l’occasion de se poser cette question : à quoi pensent les Blancs quand ils pensent à l’identité raciale ?

Avatar revisite avec imagination les lieux du crime du génocide originel sur lequel s’est fondé l’Amérique blanche, dans lequel d’entières civilisations et tribus indigènes furent anéanties par les européens immigrés vers le continent américain. Dans le film, un groupe de soldats et de scientifiques s’installent sur la lune verdoyante de Pandora, dont les paysages ressemblent à un croisement entre les forêts du parc national de Redwood (Californie du Nord) et la forêt tropicale du Brésil. Les habitants de la lune, les Na’vi, sont une version féline et bleue de peau des peuples autochtones : ils portent des plumes dans les cheveux, vouent un culte aux dieux de la nature, se peignent le visage pour la guerre, utilisent des arcs et des flèches, et vivent en tribus.

Il est impossible de se méprendre : il s’agit bien de versions extraterrestres des peuples autochtones stéréotypés tels que nous les avons vus dans les films d’ Hollywood depuis des décennies.

Ce sont des films sur la culpabilité blanche. Nos principaux personnages blancs se rendent compte qu’ils sont complices d’un système qui détruit les autres, c’est à dire les gens de couleur - leurs cultures, leurs habitats et leurs populations. Les Blancs le comprennent quand ils commencent à assimiler la culture de l’autre et acceptent de voir les choses sous un angle nouveau. Pour purger leur immense sentiment de culpabilité, ils changent de côté, deviennent des « traîtres à la race », et luttent contre leurs anciens camarades.

Mais à ce moment, ils vont bien au-delà de l’assimilation et deviennent carrément les chefs des peuples qu’ils ont autrefois opprimés. C’est l’essence même du fantasme de culpabilité blanche, mis à nu. Ce n’est pas seulement le souhait d’être déchargé de crimes que les Blancs ont commis contre les personnes de couleur, ce n’est pas seulement un désir de rejoindre au combat le camp de la justice morale. C’est un désir de diriger les gens de couleur de l’intérieur plutôt que de l’extérieur (blanc et oppresseur).

Avatar va un peu au-delà du scénario colonisateur de base. On nous dit sans ambages que c’est mal de coloniser les terres des populations indigènes. Notre héros choisit de se joindre aux Na’vi plutôt que de se plier à la culture raciste de son propre peuple. Mais ce n’en est pas moins une histoire qui revisite les mêmes vieux tropes de la colonisation. Les Blancs réussissent toujours à devenir les chefs des indigènes - juste de manière plus douce que dans un vieux Flash Gordon ou que dans les romans martiens d’Edgar Rice Burroughs.

À la fin du film, on se demande si le personnage de Jake Sully était nécessaire. Le film aurait pu tout aussi bien en mettant l’accent sur un vrai Na’vi se mettant en contact avec ces tarés d’humains qui n’ont aucun respect pour l’environnement. Je vois d’ici l’explication : « Eh bien, nous avions besoin de quelqu’un (un avatar) avec qui le public puisse s’identifier. Un mec normal marchera mieux qu’un de ces grands gaillards bleus ». Mais c’est précisément le genre d’idée qui fait que tous les rôles principaux sont des hommes blancs (des écrans vides sur lesquels le public se projette) à moins que vous vous appeliez Will Smith.

 

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Jeudi 24 décembre 4 24 /12 /Déc 16:45

noel sapinnoel-gif-006.gifPetit Papa Noël
si tu pouvais me donner des ailes
j'irai sur la plus haute des montagnes
pour y trouver le bonheur

Permet moi de m'envoler …

Et pour vous tous qui surfer sur mon blog, je vous souhaite en cette veille de nouvelle année beaucoup de bonheur

Chaque jour qui passe, ne laissez pas le malheur s’installer car il vous mangera comme une pomme et il ne recrachera que la tige et les pépins

Pensez cependant à récupérer la tige…. Et transformez la en badine !

Croyez au bonheur, installez le dans votre corps et votre cœur,

Les battements de la badine accompagneront la force dit croire et d’entendre battre en vous et « sur vous «  petit à petit votre bonheur !


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Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 15:28

Cette année, pour Noël, grande nouveauté sur l'Avenue des Champs-Élysées à Paris, une magnifique exposition de glace représentant les plus célèbres monuments de la capitale ainsi que les figures emblématiques de cette dernière.

ICE MAGIC est dans un décor entièrement façonné dans la neige et dans la glace. Les effets d’éclairage ajoutent à la magie du spectacle. Cette randonnée glaciale se termine au ICE BAR, où l’on peut consommer une boisson littéralement IN THE ROCKS.

 
Les visiteurs pourront donc rencontrer la Vénus de Milo,
la Joconde, Jeanne d’Arc à cheval ou encore Le Penseur de Rodin,
sourire à Quasimodo et Esméralda, se prendre en photo devant la Galerie
des Glaces, s’extasier devant le château de la Belle au bois dormant
illuminé et voyager à l’époque de la Révolution française.

"Les sculptures peuvent atteindre jusqu’à 5 mètres de hauteur.
16 artistes en provenance du Canada, d’Allemagne, d’Ukraine, de la
Pologne, de la Lituanie, de la Russie, de la Finlande, des Pays-Bas et
de la Belgique travaillent jour et nuit.
Glace naturelle : 420 tonnes de glace. 100 tonnes de neige.
Surface d’exposition : 500 m2.
Température : – 6°.

 

c'est magnifique, j'ai été enchantée et transportée ... et gelée...!!!

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Mercredi 21 octobre 3 21 /10 /Oct 09:54

Si vous avez suivi l’actu durant l’été, un des sujets fut la vague de suicides dans les prisons françaises.

Comme d’habitude le gouvernement brasse de l’air, cherche les caméras… Prison égale violence, promiscuité, surpopulation, crasse, racisme, corruption, trafic, drogue, viol… le film d’Audiard présente un aspect très  documentaire !

Le Prohète nous fait suivre la métamorphose de ce jeune Malik, illettré, seul, fragile qui dès les premiers jours de son incarcération, devient la victime d’un des clans celui des corses et qui de sujétion/soumission  débouchera sur une terrible ascension de ce dernier.

Un film sur le pouvoir, celui des plus forts !

J'ai aimé ce film... même si persiste un certain malaise : quel impact sur les jeunes délinquants ? Malik vat-il devenir un référant pour eux ?....
et dehors c'est comment ? ben c'est plus grand ! mieux vaut ne pas être faible...

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Samedi 10 octobre 6 10 /10 /Oct 20:48
La sensation enivrante d'un plongeon inversé, mon corps qui nage dans les remous du plaisir et de la douleur, portée par le courant bouillonnant coulant dans mes veines, me laisse ouverte, offerte, sans résistance, avec une faim inassouvie dans les entraves du désir jusqu’à me perdre dans l’inexplicable…



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Mercredi 17 juin 3 17 /06 /Juin 18:51

Je contemple mon corps marbré qui garde ces marques laissées par cette flagellation voluptueuse. Ces traces devenues violacées et ce sexe encore en émoi, voir tout « retourné » d’avoir été maltraité avec tendresse, sont mes délices comme lui son plaisir sadique et jouissif de me voir me tordre sous les coups et onduler de plaisir… lui qui veut me faire mal, lui qui me fait tant jouir et moi qui souhaite qu’il me fouette, qu’il me caresse…

Alors je lui offre ma souffrance, ma jouissance car cela me rend heureuse jusqu’à vouloir être vouée au fouet et à tous autres traitements jugés utiles qu’ils soient cruels, dégradants, excitants dès l’instant que les deux parties soient prenantes…


 

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Vendredi 17 avril 5 17 /04 /Avr 16:55
J’ai été ce jour l’agnelle de mon Dresseur, sacrifiée à l’autel de ses désirs et je suis fière d’avoir eu une place importante et symbolique entre ses mains. Les cloches de ses fustigations cinglantes ont sonné dès son arrivée ce matin et après m’avoir « bénie » m’ont apporté jouissance, douleur et œuf en chocolat ! Ainsi mon Dresseur a célébré « l’arrivage » de ma bonne conduite et m’a donné en cadeau toute la puissance de ses sévices voluptueux.   Aussi je me suis abandonnée avec envoûtement à toutes ses attentions :   Après m’avoir réveillée et gratifiée d’un bonjour de sa badine souple laissant mon corps endolori et mon sexe en émoi, il m’a fait boire mon lait.   Puis toujours mise à quatre pattes, il entreprit d’investir mes orifices. D’une main de fer il pénétra mon vagin et glissa dans ma grotte. Il se mit à fouiller ma vulve, étirât mes nymphes et sa paume s’enfonça en douceur dans mon antre. Il s’enfonçait au plus profond de ma caverne, me remplit le ventre tandis que je retenais mes cris de douleur. J’étais entraînée dans un vertige de souffrance alors que sans concession sa main s’avançait en moi et me déchirait les muqueuses. Je sentis ensuite le plug se poser sur mon anus et commençait à le forer. Mon Dresseur effectuait des va et vient et les poussées devenaient de plus en plus fortes. Je m’ouvrais, je cédais. Mon « violeur » remplaça le Priape artificiel par ses doigts les tournant dans mon fondement. J’étais tendue, fichée à lui. Il me flatta la croupe.   Il entreprit avant ma toilette de faire travailler mes lèvres avec les anneaux. Je me retrouvais avec des ficelles accrochées à ces derniers et fixées à mes cuisses et aux lanières du harnais. Les liens tiraient atrocement sur mes nymphes traumatisées. C’est avec beaucoup de difficultés que je me rendis dans la salle de bains, mes corolles étaient écartelées et le moindre mouvement accusait encore plus cette sensation de déchirure.   Il m’ôta le harnais et les cordes et je me lavais les dents sous le rythme soutenu du martinet qui flagellait impitoyablement mon dos, mes fesses et mon cul.   Une fois revenue de la douche, je reprenais ma place à ses pieds. Il gonfla le plug progressivement pour dilater mes entrailles. Mon anus déprimait alors que le gonflement pesait douloureusement. J’étais creusée dilatée et impossible de me clore. Une véritable langue de feu déchirait mes entrailles.   J’avais la veille préparé le couvert et pendant que mon plat cuisait au four Il me prépara afin que je puisse partager à sa table, le repas. Les liens de modelage soulignaient les moindres détails de mon corps. Les cordes serrées exerçaient une forte pression, elle empêchaient le plug qui investissait mon canal étroit de glisser et écartaient mes lèvres intimes. Le chanvre pénétrait mes chairs embrasées par les séances de flagellations précédentes. Le moindre mouvement se transformait en serpent venimeux. Mes seins étaient marqués par les cordes faisant pointer mes bouts turgescents. La spirale des cordes s’enroulaient autour de mon ventre, s’insinuait entre mes corolles étirées. L’ourlet de mes nymphes laissait apparaître mon bourgeon palpitant. Il ajouta des cadenas à mes anneaux, qui pesèrent douloureusement sur mon sexe. Ainsi vêtue, mon Dresseur me fit gémir et tressaillir sur touts les cotés en abattant sa badine sur mon corps tendu, le chanvre râpait de plus en plus mes chairs en duo avec les coups qui cinglaient ma peau. Ma peau s’embrasait de plus en plus, les cordes rentraient dans mes chairs, les larmes embuaient mes yeux, j’avais le corps et le souffle coupés !   Alors que j’étais assise à table pour le déjeuner, il compléta sa préparation en emprisonnant mes aréoles dans des pinces colorées. Je me tenais raide sur ma chaise, le plug enfoncé comme un pieu me sciait, mes lèvres intimes s’écartaient davantage avec les cordes attachées dans un savant jeu de nœuds. Après le plat principal il me fit manger le gâteau. Il me présentait chaque bouchée en s’emparant de mes mamelons de son autre main afin de les étirer. Il pétrissait mes tétons, les allongeait alors que je devais présenter ma bouche vers le gâteau et qu’il tirait mes seins de l’autre coté. Il retira les pinces, ma poitrine bandait, ma chatte coulait, je me léchais les babines.   Une fois le repas terminé, je me retrouvais à savourer le dessert de mon Bienfaiteur, debout attachée à la chaise, mains liées dans le dos prête pour recevoir le fouet. Il avait accroché une cloche entre mes cuisses ouvertes. Le cuir commença à marteler mes seins, mon ventre, mes cuisses et mon sexe. Il espaçait les coups, passait sa main avant de continuer d’appliquer les frappes. Le cuir me hachait et portait à l’incandescence mon corps. Le fouet s’abattait comme des coups de poignard et me pinçait cruellement. La douleur montait profonde, diffuse et alternativement complétée soit par un autre coup, soit par la caresse bienfaisante de la paume de mon Bourreau. Je frémissais, je sursautais et la cloche tintait joyeusement ! Mes chairs devenaient rouges, striées, les impacts m’arrachaient des rugissements, le fouet continuait de claquer sur ma peau zébrée comme des tenailles rougies.   Plusieurs fois mon Dresseur m’a fait jouir, récompensant ainsi mon obéissance et ma bonne volonté à réussir les exercices qu’il me dispensait. Il descendait alors vers ma fente découvrant la moiteur de mes tissus.  J’écartais les jambes tandis qu’il me godait  ou ancrait ses doigts dans mon cul. Je me livrais à ses doigts titillant mon bourgeon. Je gémissais doucement tandis que le désir montait et grandissait dans mon bas ventre. Mon intimité était offerte et je m’abandonnais peu à peu aux ondes voluptueuses. Empalée par mon entrée prohibée, masturbée par ses doigts maléfiques, mon nodule de chair bondissant, écrasé, malmené, j’ondulais, les reins broyés mais mes jouissances duraient de longues minutes merveilleuses.

C’est donc avec bonheur et délice que j’ai apprécié ce retour "de cloches carillonnantes" d’aujourd’hui !
   
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Mercredi 18 mars 3 18 /03 /Mars 10:17

Entre mes lèvres décloses, mes doigts cabotins errent entre le lys et les roses,

J’ai le désir au ventre, ma vulve perle ses fleurons sucrés,

J’ai envie de douces caresses cinglantes,
Mes lèvres vermeilles brillent de cet humus juteux,

Alors je me ferai l’amante
Mon corps s’enflammera
d’agrumes brûlants mes chairs,

Voyage jouissif,

Je m’égarerai !

 

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Mercredi 11 mars 3 11 /03 /Mars 07:23

Don

Faire cadeau de ma douleur

A celui qui m’offre cette douleur

Pour me donner du plaisir…



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Mercredi 25 février 3 25 /02 /Fév 07:09

La nuit n’en finit pas, noir est sa couleur, terne celle de mon âme, lait caillé celle de mon corps

Seules panacées sont les perles de roses, seules sources sont me larmes

Puits d’angoisse vaginal et cérébral !!!!!!!!!!!!!!!!

Un doigt à la dérobée, une pensée qui fuit…..

Je reste prisonnière de ma détresse, je me dessèche en langueur, je suis baisée dans l’âme de ce « vit » ravageuse qui comble mon isolement et se pavane

Mon visage ruisselle de ces larmes salées et acides

Je me vide

Je suis vide

J’en ai marre


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