Entraînée régulièrement, elle prend de plus en plus de plaisir à jouir dans les souffrances extrêmes, aussi confie-t-elle son corps à cet homme satanique qui sait tirer le meilleur profit de son envie de plaisir. Elle qui désire devenir objet r, jouet, asservie par le plaisir, par la souffrance entre ses mains sadiques.
La voici installée sur la table de travail, pieds et mains liés dans des fers, tenailles, pinces et poids préparés sur la table de desserte.
L’homme caresse la poitrine, presse les lourdes mamelles, tire sur les tétons, teste leur élasticité, pince les bouts roses. Sauvagement il prend les seins dans la mâchoire d’une énorme pince comme un forceps. Il saisit la pointe de chaque globe, la fait rouler et referme une pince à molette dont il tourne la vis, la compression progressive et les dents acérées des mâchoires métalliques crachent leurs étincelles douloureuses sur les chairs fragiles.
Les tétons gonflent, la douleur titanesque fait cabrer la maso tandis que d’autres pinces écrasent les globes mammaires. Des poids sont accrochés afin de faciliter l’allongement des tétines. Le tortionnaire se sert d’une ficelle reliée aux étaux acérés qui lui permet ainsi de faire bouger les seins martyrisés.
Il vérifie l’état de la chatte et place entre les lèvres baveuses une scie à dents. Elle ne doit pas prendre de plaisir pendant le travail.
Le travail de vissage continue et l’élongation se poursuit. Les mamelons sont de plus en plus érectiles, la chair tendre des seins est comme gorgée de sève, les dards des mâchoires mordent cruellement la tendre poitrine tendue. Il la libère des poids et des pinces et recouvre les aréoles dans un tire-lait. Le bourreau tire sur le piston et aspire les bouts érigés à souhait. Des élongations sont pratiquées méthodiquement et chaque aspiration fait gonfler le torse de la femme qui se crispe sous la douleur. Les tétons emplissent les tubes à moitié et en épousent la forme. Ils ont doublé de volume, le bruit de succion se mêle aux gémissement de la suppliciée.
L’homme palpe les seins, fouille le vagin dont l’état de liquéfaction confirme les tendances masochistes de son spécimen. Il retire les tubes en verres, les bouts gardent la forme étirée imposée, la femme ondule dans ses liens.
Le supplice voluptueux prend fin, l’homme connaît l’abnégation et le don du corps de cette femme qui accepte de lui offrir.
Février 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | |||||||||
3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | ||||
10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | ||||
17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | ||||
24 | 25 | 26 | 27 | 28 | ||||||
|