foret

Lundi 23 novembre 1 23 /11 /Nov 17:55

 

 

Tirée par la chaine fixée aux anneaux de son sexe, l’homme oblige la femme à monter sur la table et se mettre en position d’exposition. La voici en levrette, tête au sol, cuisses écartées, bien ouverte. Elle est à bonne hauteur pour profiter de toutes les parties de son corps.



Elle porte un collier et des bracelets en cuir enserrent ses poignets et ses chevilles.

Du bout de sa badine il tapote sa croupe, signe qu’elle doit rester parfaitement immobile.

 

Il observe sa vulve attentive, elle perle de manière indécente, elle « tète »… « Demande »...

Il malaxe sa croupe, ses mamelles, tire sévèrement sur les tétons, les étire avant d’y refermer des pinces. Il y accroche des poids, les globes se déforment, tirés vers le bas par la lourdeur et ressemblent à des poires.

Puis il déploie les lèvres intimes, le sexe devient obscène, déployé totalement. Il étire le clitoris, le décalotte. Il leste les anneaux des nymphes, elles sont voluptueusement et violement étirées et pendouillent à l’entrée du sanctuaire de plaisir.

Instinctivement elle écarte davantage les cuisses, elle accueille les prémices de douleur, sa chatte éperdument ouverte palpite comme une carpe, les disques suspendus tintent doucement avec éloquence.

 

Les lanières du martinet s’abattent sur les chairs frémissantes, lèchent dos, cul et cuisses, la marquent de stries rouges bien nettes. Elle sursaute sous le rythme des frappes, ondule de complaisance lorsque le cuir cinglant fait place à la main, elle accompagne chaque impact, chaque caresse sous le son des sonnailles et offre davantage ses dispositions animales.

Les cinglées se montrent plus intenses, elle râle, frotte ses mamelles, elle se cambre et son sexe s’offre comme un calice. Elle est sauvage, sans aucune retenue, indécente. Sa vulve bave, les coups sont espacés et lui arrachent de doux gémissements.

Il glisse sa main sur la fente débordante de toutes ses saveurs, pianote et introduit ses doigts dans la mouvance de sa grotte alors que de son autre main les ultimes frappes continuent de pleuvoir en harmonie avec le bruit obscène du clapotis de son ventre en émoi.

 

Son sexe nacré est un livre ouvert, le nodule de chair est érigé, la vulve est en quête de plaisir. Il plonge ses doigts puis sa main dans ce calice, se délecte à la source, s’enfonce au plus profond de son intimité pleine de promesse.

Il retire sa paume de l’antre chaude, ancre deux doigts dans l’anus tout en branlant le bourgeon et le met en extase. La chatte dégouline, le nodule de chair bande, la femme frétille et jouit copieusement régalée.

Des mouvements désordonnées la secouent et activent les étirements douloureux des poids suspendus et telle une bête elle s’abandonne dans cette posture animale au plaisir qui la submerge.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Samedi 10 octobre 6 10 /10 /Oct 20:52

Les poignets et chevilles enserrés dans un bracelet en cuir, la femelle est allongée sur la table de travail, ses membres sont étirés en croix afin de permettre que le compas de ses cuisses soit parfaitement ouvert et à portée de son entraineur.

 

  

 

Une chaine est passée dans les anneaux de ses lèvres intimes afin d’écarter ces dernières pour avoir un accès plus aisé à son abricot gonflé.

 

L’homme commence par flageller son élève et le martinet s’abat sur le corps en extension. Il veut que ses chairs soient très sensibles et que les frappes régulières la fassent mouiller. Le corps de l’élève tressaille sous les cinglées, rougit et se couvrent de stries régulières. Les seins gonflent et les tétons s’érigent fièrement. Les lanières du martinet continuent de s’abattre jusqu’à ce que l’homme juge la couleur de la peau correcte.

 

Il étire alors les tétons de la poitrine devenue pourpre, la femelle sous la douleur gonfle son torse.

L’homme place un tire- lait sur les aréoles et aspire les bouts qui emplissent rapidement les tubes en verre. Il tire sur le piston, les élongations successives entrainent une souffrance dans toute la poitrine, fait gonfler et crisper le torse de l’élève. Il veut que ses tétons deviennent plus gros et longs. Le bruit de succion le ravit ainsi que la vue des tétons qui ont désormais doublé de volume. Une fois les embouts retirés, il peut profiter au mieux des nouvelles dimensions des bouts. Après avoir orné les mamelles de pinces colorées il s’attaque aux bouts. Muni d’une pince il les étire et y place une pince à clochette.

 

Il s’attaque ensuite au clitoris qui subit le même traitement. Il étire à l’aide du piston le petit organe, la torture répétée des étirements fait gémir l’élève. Elle se tord dans ses liens, essaie un mouvement de fuite en vain. Le bourgeon libéré du tube en verre est en pleine érection, l’homme le maintient par une pince pour conserver cette nouvelle « extension » du clitoris.

 

Il fouille ensuite la matrice de son élève et félicite cette dernière pour son état de liquéfaction.

 

-       C’est ainsi que vous devez être en permanence, bien ouverte, bien lubrifiée et tous vos organes développés. Si je devais constater que mes exercices et traitements ne donnent pas le résultat voulu, vous serez punie et le travail serait doublé. Je considérerai que vous faites de la résistance. Votre corps doit devenir un parfait terrain de jeu ainsi qu’un objet pour me divertir !

 

Puis il écarte fente et anus afin d’investir sans ménagement les orifices à sa portée. Il la pilonne pour qu’elle soit bien ouverte et disponible. Il la travaille avec ses doigts, enfonce au plus loin en elle doigts, main, divers objets, il la fouille au plus profond afin qu’elle comprenne qu’il la possède et qu’elle n’est qu’une chose réactive.

Son élève sous les investigations et tortures oscillent entre plaisir et douleur, ses cris et gémissements ravissent son Dresseur qui satisfait lui accorde une jouissance.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 2 août 7 02 /08 /Août 15:07

Pendue au plafonnier la suppliciée tend son corps à son Bourreau. Son « Maitre de tourments » promène sa longue badine souple sur elle, soupèse sa poitrine et s’assure de la lubrification de son sexe. Elle est sa chose créée dans la douleur et pour son plaisir qui le pousse à aller de plus en plus loin. Il veut qu’elle se soumette à ses caprices, l’entraine à ce que son corps ne soit plus qu’un terrain de jeux.

La flagellation débute doucement, les coups rebondissent  sur les rondeurs offertes. Peu à peu la cadence s’accélère, les morsures s’amplifient, la pauvresse tourne sur elle-même, la douleur se diffuse, les premières marquent apparaissent sur la peau blanche. Les fourmillements cuisants diffusent sournoisement dans les chairs frémissantes. La femelle s’offre aux coups, râle et  pleure. L’excitation monte, fait raidir la queue de la main tortionnaire tandis que la suppliciée ruisselle entre ses cuisses.

Chaque impact l’oblige à avancer et donner son corps davantage. Les coups sont précis, pleuvent sur toute partie du corps jusqu’à s’égarer aux endroits les plus intimes. La douleur est aigue, vive mais la main apaise, se fait douceur… avant de redevenir tortionnaire…

Douleur et vague de plaisir alternent là où le gout de l’horreur laisse place aux perles de plaisir.

Les cinglées s’abattent, la font tournoyer, plier, céder. La peau est couverte de zébrures, elle est lacérée. Les chairs martyrisées, sensibles à l’extrême se colorent, c’est ainsi qu’il la veut, striée, boursoufflée, décorée par ses soins.

L’homme accentue ses coups, ca claque sèchement, ça pleure fort !

Le Bourreau accompagne chaque frappe de sa paume bienfaisante, elle gémit alors de soulagement avant de rependre sa danse effrénée en rythme avec la cadence imposée des frappes. Le « flageleur « continue de lever son bâton souple et d’atteindre sa victime. Larmes et cyprine dégoulinent de ce corps offert. Les stries rouges violacées recouvrent les rondeurs de l’élève.

Il aime ainsi ce corps marbré aux sucs prometteurs, il aime la voir se muer en serpent de douleur pour devenir louve en chaleur, il aime savoir qu’elle ne peut lui échapper, qu’elle n’est plus que sa création esclave de son plaisir.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 11 juin 4 11 /06 /Juin 19:53

La voici attachée et maintenue ouverte par des sangles qui tiennent ouvertes ses cuisses. L’homme pose sa main sur la croupe exposée sans défense, passe un doigt dans la fente gourmande, elle mouille et sa vulve resplendit comme une source.

La femme se laisse transporter dans un monde de plaisir de démence, de douleur et de perversité, totalement offerte à ses envies.

Les coups et les caresses alternent, son Bourreau joue avec le martinet. Les lanières zèbrent ses fesses rebondies, les lanières s’insinuent sur ses courbes entre ses jambes, lèchent son sexe, l’irradient de mille piquants jouissifs, elle se laisse fouetter, elle crie de plaisir douloureux, le martinet rebondit encore et encore avant de laisser la place à cette main apaisante, reconnaissante qui glisse sur les chairs à vif. La danse des lanières reprend et mord son corps qui se cabre. Le cuir brule le cul dénudé, lacère les reins en mouvement souple et vise la chair tendre de l’entrejambe. La femelle tremble, danse, frémit sous le zéphir voluptueux des impacts, un filet de mouille coule telle une rivière entre ses lèvres gorgées de désir d’où pointe un bouton avide de branlade.

Son tortionnaire frappe de plus en plus rapidement se réjouissant de ses plaintes, de ce corps tendu entravé dans les liens dont il use à son gré. Il lui assène ensuite des claques magistrales sur les globes striés qui déjà bien rouges deviennent écarlates et brulants.  Le cul est couvert de zébrures fines et rouges. La femme pousse de petits cris entrecoupés de soupir lorsque les cinglées sont remplacées par les caresses gourmandes.

Il fouille le petit anneau plissé sans ménagement, elle tressaute, se crispe, ses pleurs se font supplications. Elle a l’horrible impression d’être pourfendue et brulée. Les doigts sont pesants sur le rectum timide et force l’entrée étroite. Les sphincters cèdent sous la pression. Il la pilonne malgré les gémissements implorants. Il enduit l’anus froncé de gel, écarte davantage les lobes fessiers, titille maintenant l’orifice avec un gode « généreux » et l’appuie fortement. Le conduit lubrifié capitule sous la pression, l’intrus s’enfonce jusqu’à la garde impitoyablement, perfore son fondement jusqu’au tréfonds de ses reins.

Elle se débat inutilement sous la douleur, l’homme calme de son autre main libre, ce corps en alerte et en émoi.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Lundi 11 mai 1 11 /05 /Mai 17:32

  Entraînée régulièrement, elle prend de plus en plus de plaisir à jouir dans les souffrances extrêmes, aussi confie-t-elle son corps à cet homme satanique qui sait tirer le meilleur profit de son envie de plaisir. Elle qui désire devenir objet r, jouet, asservie par le plaisir, par la souffrance entre ses mains sadiques.

 

La voici installée sur la table de travail, pieds et mains liés dans des fers, tenailles, pinces et poids préparés sur la table de desserte.

L’homme caresse la poitrine, presse les lourdes mamelles, tire sur les tétons, teste leur élasticité, pince les bouts roses. Sauvagement il prend les seins dans la mâchoire d’une énorme pince comme un forceps. Il saisit la pointe de chaque globe, la fait rouler et referme une pince à molette dont il tourne la vis, la compression progressive et les dents acérées des mâchoires métalliques crachent leurs étincelles douloureuses sur les chairs fragiles.

Les tétons gonflent, la douleur titanesque fait cabrer la maso tandis que d’autres pinces écrasent les globes mammaires. Des poids sont accrochés afin de faciliter l’allongement des tétines. Le tortionnaire se sert d’une ficelle reliée aux étaux acérés qui lui permet ainsi de faire bouger les seins martyrisés.

Il vérifie l’état de la chatte et place entre les lèvres baveuses une scie à dents. Elle ne doit pas prendre de plaisir pendant le travail.

Le travail de vissage continue et l’élongation se poursuit. Les mamelons sont de plus en plus érectiles, la chair tendre des seins est comme gorgée de sève, les dards des mâchoires mordent cruellement la tendre poitrine tendue. Il la libère des poids et des pinces et recouvre les aréoles dans un tire-lait. Le bourreau tire sur le piston et aspire les bouts érigés à souhait. Des élongations sont pratiquées méthodiquement et chaque aspiration fait gonfler le torse de la femme qui se crispe sous la douleur. Les tétons emplissent les tubes à moitié et en épousent la forme. Ils ont doublé de volume, le bruit de succion se mêle aux gémissement de la suppliciée.

L’homme palpe les seins, fouille le vagin dont l’état de liquéfaction confirme les tendances masochistes de son spécimen. Il retire les tubes en verres, les bouts gardent la forme étirée imposée, la femme ondule dans ses liens.

 

Le supplice voluptueux prend fin, l’homme connaît l’abnégation et le don du corps de cette femme qui accepte de lui offrir.

 

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 30 avril 4 30 /04 /Avr 15:55

   Plante à clochettes

 

Sous une averse de cinglées, elle chante, elle danse, les pieds nues, les mains liées à cette chaîne qui pend de l’anneau fixé au plafond.

Le cuir siffle en bise cuisante sur sa peau blanche. Son bourgeon sort de « terre » en riant !

Sa sève coule entre ses cuisses, source de renaissance.

 

« Carillonne frêle tigelle sous le martinet qui lèche tes rondeurs et muguette face à ton Maître ! »

 

Les tétons pincés, les lèvres intimes étirées par de petites pinces munies de clochettes qui symbolisent le muguet et tintent sous la danse de la « plante ». Elle se tortille et s’ouvre comme une fleur, à la merci du cuir.

Chaque brin de son corps s’embrase sous les lanières. Les chairs deviennent écarlates. La chaleur se dégage de son corps empourpré. Elle ferme les yeux, les mèches l’atteignent sans violence mais avec sensualité, elles se font souffle brûlant. Les seins frémissent  et se couvrent d’échancrures violacées. Elle valse sur elle-même offrant son corps à la volée des coups. Le martinet parfois s’insinue entre ses jambes et recueille les sucs des pétales. Quelques coups appliqués font éclater le fruit mur, elle crie. Son ventre se serre, ses cuisses s’ouvrent sous les mèches de cuir insinue uses.

 

Les yeux brillants, les nymphes ruisselantes elle s’en va rejoindre la ronde des plaisirs, car il l’amène au moment des accordailles où la douleur et le plaisir la déchire en orgasmes fulgurants.

 

Puis il la positionne au sol les orifices largement exposés.

 

-                             joli vase dit-il ironiquement en lui fourrant du muguet dans ses orifices gourmands.

 

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 3 mars 2 03 /03 /Mars 17:59

J’étais réveillée lorsqu'il est arrivé ce matin, impatiente ma vessie m’ayant tirée de mon lit. J’avais essayé de patienter en attendant tout en serrant les fesses !

J’adoptais la position afin de l’accueillir alors qu’il s’installait, mon ventre me torturait et sa badine et son pied pesants renforcèrent mon « supplice ». Il me fit déjeuner non sans avoir gratifié mon corps de cinglées mordantes suivies de l’apaisement de sa main. Enfin il m’autorisa à uriner et je ne me fis pas prier, c’est avec un réel soulagement et satisfaction que je lâchais dans la petite bassine un jet puissant !

Il m’emmena ensuite dans la salle de bains, je me lavais les dents sous son regard et sa badine qui frappait mes chairs frémissantes.

Il m’obligea à le supplier de me faire laver enfin de me faire un lavement et je me résignais docilement à tendre mon cul après qu’il m’ait fait lui présenter mon corps. C’était l’horreur, je sentais l’eau pénétrer mes intestins, gonfler mon ventre et malgré moi mon anus projeta le tuyau de douche, l’eau sale s’évacua. Je craignais qu’il ne se fâche et me corrige mais il me remit le tuyau l’enfonçant cette fois-ci plus profondément et me demandant de le garder. De nouveau l’eau envahit mon ventre, je serrais les fesses, j’avais mal mais je résistais et finissais par garder l’eau avant de pouvoir sous son ordre et après des minutes qui me parurent une éternité le supplier de me laisser me soulager. Il avait préparé la bassine, je pus alors me vider devant lui. Je devais lever la tête, être fière d’être ainsi sous son contrôle dans cette situation dégradante. Je restais longtemps à me vider, le lavement avait été très efficace et j’avais l’impression que cela n’en finissait pas. Ironiquement il me fit remarquer que j’aurai ainsi un anus bien propre pour lui afin qu’il puisse jouer et qu’ainsi cela était plus agréable il ne se salirait pas les mains. Je me sentais bien honteuse et étais dépitée mais consciente qu’il prenait le temps de me préparer et que je devais lui en être reconnaissante.

Il me laissa prendre ma douche, l’eau chaude coulait réconfortante sur moi, je la laissais longtemps comme pour me laver comme pour effacer toute trace d’impudeur et d’humiliation.

Il m’aida à me sécher à la fin de la douche avec son martinet, les cinglées sur ma peau mouillée me faisaient me tortiller. J’avais mal.

Mais mon ventre ballonné gargouillait encore et je le priais de me laisser me soulager. Il m’autorisa à aller sur les toilettes, me laissa s’apprêtant à autre chose mais il me surveillait, j’avais les mains sur la tête, je continuais de me vider encore et encore et je l’appelais lorsque j’eu fini afin de m’essuyer et d’aller avec lui dans la petite pièce.

 

Je me retrouvais à ses pieds, croupe relevée, attendant presque frétillement les coups qui me semblaient plus agréables que ce que je venais de subir.

Il me fit jouir, ses doigts glissèrent vers ma fente gourmande, s’occupèrent de mettre en extase mon bourgeon alors que d’autres doigts s’ancraient dans mon fondement « propre ». J’étais « revigorée » par les ondes voluptueuses qui traversèrent tout mon corps jusqu’à la moelle.

 

Puis il me fustigea alors que le café passait, j’ondulais sous les frappes précises qui m’électrisaient et laissaient après chaque impact leurs traces rouges. Il se servit de moi comme table pour sa tasse, la chaleur du petit récipient sur mes chairs sensibles et fragilisées diffusait douloureusement sur moi et je tentais en tant que table à supporter. Il me permit de boire un café avant de m’appliquer la correction que je méritais pour n’avoir pas précédemment fait mon compte-rendu en temps et en heure et que je l’avais donc imploré de m’accorder une correction.

C’est ainsi qu’il décida de me donner vint cinq coups de fouet sur le devant. Je me retrouvais debout, attachée, en équilibre sur un pied, le mors me faisant baver abondamment, une ceinture m’écrasait la poitrine et était serrée fortement sur mon buste ce qui me faisait mal et j’avais les yeux bandés car il avait dit que c’était une punition et que je ne devais pas voir. Ainsi je guettais le moindre bruit, le moindre « frôlement » dans l’air du cuir. Je me retrouvais pénitente selon sa volonté et me cambra au premier coup. La douleur était fulgurante, il prenait son temps et déposa un deuxième coup parallèle au premier sur mes cuisses. Il appliqua le châtiment déposant les coups régulièrement et n’épargna pas mon sexe et mon ventre. Je devinais les rayures qui devaient empourprer ma peau, je me tordais de douleur, je gémissais, je pleurais, mes poings frappaient désespérément l’air ou la porte, je ne savais plus, seule les brûlures de la mèche en cuir qui mordaient cruellement mes chairs me rappelaient à la réalité. Il répétait « aucune tolérance et que j’avais montré un relâchement ces temps derniers ». Il s’appliquait à porter ses frappes avec régularité passant d’une cuisse à l’autre, atteignant mon sexe je bondissais dans mes liens à chaque impact. Ma salive dégoulinait jusqu’au sol maudit mors qui m’obligeait à avoir les mâchoires ouvertes et qui me faisait baver salement.

Il me libera à la fin de la correction, je me sentais fébrile et j’avais le corps endolori alors que je lui léchais les pieds pour le remercier. Je gémissais doucement il passait sa main sur mon sexe j’avais malgré la fustigation subie les cuisses qui luisaient de sécrétions de plaisir.

        «  Je devrais vous corriger plus souvent, vous êtes une vraie fontaine » ! Cela ne lui avait pas échappé !

En fait je ne savais pourquoi ma cyprine coulait, pourtant le fouet avait été pénible et douloureux… mais je pensais silencieusement que le plaisir que j’avais éprouvé n’était du qu’au fait qu’il s’occupait de moi.

 

Il me fit travailler mon anus me traitant de « belle enculée ». Il fouillait mon anneau plissé et ses doigts s’insinuaient dans mon fondement. Il remplaça ses doigts par je pense un olisbo. Ce dernier était pesant sur mon rectum, je râlais fortement alors que l’intrus insistait et forçait mon anus. Mon étroit passage cédait, mes sphincters rendaient grâce alors qu’il me pistonnait. J’étais fouillée sans ménagement, les va et vient dans mon cul étaient pénibles. Plusieurs fois ses doigts s’introduirent dans mon canal étroit m’arrachant de petits cris, il les tournait et il me semblait être déchirée. Il continuait ses rotations alternant objet et doigts, je ne n’arrivais pas à suivre, je ne sentais que la dilatation douloureuse de mon canal  qui me pourfendait. Je n’osais imaginer mon anneau se refermant sur les intrus alors qu’il continuait de me besogner afin de rendre plus aisé les mouvements, de me dilater et m’ouvrir a lui.

Je retenais mes cris de douleur alors qu’ensuite il ouvrit mes lèvres et fit pénétrer sa main dans ma grotte. Il la plongea dans mon torrent de sève et à contre courant nagea dans mon intimité. Il râpait mes parois, les phalanges telles des tentacules investissaient mon ventre et lâchèrent leur venin.

 

Puis après cette nouvelle épreuve le reste de la journée fut qu’alternance de douceur cinglante et de plaisir.

Ainsi même si les coups pleuvaient il m’offrit des jouissances explosives. Je ne sais combien de fois ses doigts se transformèrent en caressent, câlinèrent mon ergot. Je m’ouvrais à lui et ma rosée m’inondait. Les ondes pulsatives diffusaient de plus en plus intenses. Je bandais, je me lâchais, j’éclatais !

Petite pause, champagne, déjeuner où il m’accorda d’être à table avec lui « comme une grande », café, « fumette »…

Ah que j’étais bien, table, cendrier à ses pieds, puis le cul tendu, le sexe gourmand, le cul ouvert… envie de plaisir, envie…. Tout simplement à lui !

 

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mercredi 31 décembre 3 31 /12 /Déc 08:11

Quatre bracelets sont ajustés aux extrémités des membres et un lourd collier d’où pend une chaîne en acier donne un port altier à cette femme. Elle a les jambes écartées et la croupe relevée.

Un savant jeu de cordes met en valeur ses courbes. Une corde serre son buste et finit sa course entre ses cuisses. Les lèvres intimes sont étirées et le chanvre s’insinue entre les corolles luisantes. Les seins gonflés laissent pointer les tétons arrogants.

Le chanvre serré rentre dans les chairs, son corps lui échappe, ses membres perdent leur liberté, ses sens sont aiguisés. La douleur des liens circule à travers elle et chaque parcelle de son corps est surexposée.

Elle brille sous les reflets nacrés de ses liqueurs intimes, calice de cette soirée de réveillon !

Sa vulve resplendit alors que les premiers coups flattent sa croupe afin de parfaire son « habit de soirée ». Elle râle comme une bête, frotte ses seins à terre.  Elle s’ouvre totalement et se cambre de manière indécente. Sa grotte déborde de toutes ses saveurs et les frappes espacées lui arrachent des gémissements de désir. Les rondeurs de son cul, ses cuisses ouvertes et son clitoris écrasé sous le chanvre sont comme un atlas ouvert. Sa chatte coule et à chaque mouvement laisse échapper son nectar. La corde est trempée de ses saveurs. Sa peau se pare de belles stries colorées.

Elle est prête pour les festivités du réveillon…

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Mercredi 24 décembre 3 24 /12 /Déc 10:47

decoration-noel-20-29-.gifJours courts. Nuits longues. Froid. Pluie.

Bref… c'est l'hiver, c'est décembre et comme cela ne suffit pas à démoraliser n'importe quel humain normalement constitué, c'est Noël !

Le 25, plaf, Noël !

"Beeeeelle nuit" ou "pe-tit-pa-pa-No-ël".

Alors tradition oblige : petit conte noëlleux.

 

 

noel rennesC'est le début du mois de Décembre, partout les préparatifs pour les fêtes de fin d'années vont bon train, en particulier dans une petite maison située au Pole Nord....

Le Père Noël est parti faire la révision annuelle de son traîneau, tout doit y passer, les patins, les amortisseurs, le coffre, la clim, les fers des rennes etc... Il ne faut rien oublier, car le traîneau faisant sa plus grande sortie dans la nuit du 24 au 25 Décembre, il ne doit surtout pas tomber en panne, ce serait une catastrophe mondiale. Le père Noël qui a déjà une grande habitude de l’entretien de son traîneau donne un coup de main à son garagiste, pour ne pas perdre de temps. Pendant ce temps là, la Mère Noël est restée seule avec le père Fouettard, un parfum de liberté souffle dans cette maison, la Mère Noël a sorti ses plus beaux vêtements, ceux qu'elle ne sort que pour Noël habituellement.

Le père Fouettard, émerveillé par cette femme aux apparats aussi alléchants ne pu se retenir bien longtemps et alla prestement faire des avances à la belle. Celle-ci fit semblant de s'indigner, de le repousser, mais insensiblement dirigeait les mains de son "tortionnaire" pour qu'il la déshabille davantage, lui permettant ainsi d'abuser de sa nature généreuse. Rapidement la Mère Noël se retrouva attachée sur la table, fesses offertes à son séduisant ravisseur. Il commence par la fesser doucement, en alternant fessée vigoureuse et douce caresse...La mère ne dit rien, déjà entre ses cuisses apparaît le signe du désir naissant... Le père Fouettard, amadoué par ce beau spectacle commença à la caresser partout, puis la bâillonna, doucement, mais fermement, en l'embrassant dans le cou puis la fouetta doucement, il avait pris soin de retirer la mèche du fouet auparavant, car son intention n'étais pas de la blesser, non, il voulait quelle sente son emprise sur elle. Très vite des zébrures apparurent dans son dos, elle souffrait, rageait d'être à la merci de cet homme, mais son bâillon l'empêchait de protester. Soudain, il s'arrêta, et commença à masser les rougeurs avec une crème cicatrisante, elle était froide et piquait, mais il faut avouer que ce massage soulageait beaucoup, la Mère Noël sentit une explosion de désir monter en elle, puis le massage terminé, le Père Fouettard retira le bâillon, et la masturba. Ses doigts s’incrustaient dans son intimé et il la pistonnait dans un va et vient à la fois doux et ferme. Elle était sa chose fragile, totalement à sa merci, et elle aimait appartenir à cet homme, le rythme allait crescendo, elle sentait le plaisir l'envahir, dans un gémissement de soulagement, une explosion des sens, l'apothéose la libéra enfin. Quand le père Fouettard libéra sa charmante captive, il y avait de la reconnaissance dans ces yeux, ils s'enlacèrent et s'embrassèrent tendrement, comme deux amants qui ne s'étaient pas vu depuis longtemps...

 

Moralité : Quand on est le Père Noël, il vaut mieux ne pas avoir d'autres chattes à fouetter....

 

 

 

 

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 24 décembre 3 24 /12 /Déc 09:35

noel sapinL’homme décorait son arbre frémissant.

 

Il avait passé des guirlandes de cordes serrées fortement tout autour du tronc. Le chanvre s’insinuait profondément dans les chairs, les seins étaient gonflés de sève. L’écorce était comprimée et les nervures du feuillage brûlaient sous le frottement du cordage.

 

Il para alors, le support immobilisé avec les autres décorations.

 

Des pinces de couleur étaient disposées diaboliquement sur les branches souples. Des boules et des clochettes pendaient dans un joyeux tintement. Les lèvres intimes étaient ornées des plus beaux scintillements et baillaient. La résine suintait, les branches s’agitaient sous le vent devenu bise tortionnaire. L’étoile brillait en haut de la cime du petit bourgeon, frêle tigelle piquée à vif !

 

L’arbre n’avait jamais vu autant d’ornements et se tenait en l’air dans la rougeur des zébrures laissées par le fouet.

 

L’illumination pouvait commencer. Le Décorateur enfonça des chandelles dans les bougeoirs naturels de son végétal improvisé. Les flammes oscillaient et la cire coulait le long de l’écorce.

 

Les artifices douloureux rendaient magique le résineux. La fleur émotive s’épanouissait, ses pétales s’ouvraient, la ramure frémissait.

 

La magie du sapin prenait vie !

 

L’épicéa enfantait dans la souffrance voluptueuse, solstice de jouissance…

                                                            

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés