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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 08:25

Hier soir j’ai passé une bonne soirée : fraîcheur et rire étaient au RDV avec Sanaka qui nous a livré son show, cet humoriste de la nouvelle vague, pur concentré d’énergie qu’il partage avec son public ! Je vous conseille d’aller le voir c’est un pur moment de détente…

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Vendredi 31 octobre 5 31 /10 /Oct 11:09

Ecrire sur RIEN… Ecrire juste pour mettre des mots les uns après les autres dans une incohérence totale, des mots en vrac, des mots contradictoires, des mots qui s’autodétruisent…. Difficile !!! Y’a rien à faire… Ces mots arrivent toujours à dire quelque chose ! Pas grand-chose piètre, des bêtises mais à leur lecture on arrive à en saisir un sens si minime soit-il puisqu’on se les approprie.

Alors faire l’éloge de RIEN n’est possible que si on ne parle pas, on n’écrit pas, si on ne bouge pas car il en faut peu pour que RIEN devienne quelque chose…

Mais comment pourrais-je faire pour ne donc parler de RIEN ?

Lisez donc ce livre : ELOGE DE RIEN  C’est sublime

(L’éloge : genre littéraire initialement associé à l’oraison funèbre et dédié donc à la personne défunte).

Ici l’éloge est dédié à RIEN.  Faire l’éloge de rien est un exercice particulièrement difficile. Exercice que réussit avec brio cet anonyme en 1730, mystère dévoilé par une notice en fin de l’ouvrage puisqu’il s’agit de Louis Coquelet (on lui doit également un éloge de quelque chose dédié à quelqu’un). Ce livre est une dédicace sarcastique que je vous recommande, c’est un vrai régal.

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Dimanche 26 octobre 7 26 /10 /Oct 18:59

 

Hier le toutou de Dame Amazone est venu me chercher pour aller passer une soirée donc chez sa Maîtresse. (À l’origine cela devait être une soirée dominas soumis mais désistement des personnes donc programme changé cela devenait une soirée »privée » intimiste !)

 Toutou a eu chaud car arrivé en bas de chez moi il fallait que je le rejoigne direct !!! Heuuuuuuuuuu oui  mais bon j’avais deux sacs, scotch (mon toutou à moi ) qui tire comme un ouf sur sa laisse, je devais fermer la porte, ouvrir les portes ascenseur et entrée du hall… c’était pas mon pbm si il avait garé  à la sauvage sur le trottoir sa voiture mdr… il a du entendre ses oreilles siffler (Amazone venait de me phone pour me dire donc de descendre, que cela lui vaudrait une punition) car en fait il est quand même monté à l’appartement et s’est montré un bien galant serviteur. Cela passera donc pour cette fois-ci car je fondais sur sa gentillesse et sa serviabilité et sous ses yeux de chien battu sisi je vous assure ce gars a des yeux qui vous font fondre… on dirait mon scotch ! Et vous connaissez le regard des chiens, même lorsqu’ils remuent leur queue ben on croit toujours que ce sont de pauvres petites bêtes !

 Donc nous voici en route… un peu de circulation pour rejoindre l’autoroute, soleil présent, chauffeur super (même pas eu peur) et nous arrivions chez Amazone.

 La soirée fut fort plaisante, Amazone avait organisé une raclette. c’est conviviale et pratique, recette idéale pour ne pas se prendre la tête dans les fourneaux !

 Avant de dîner, toutou était à poil enfin presque il avait gardé ses chaussettes (y devait avoir froid à ses petits petons piètre…) et son collier, en fait comme scotch qui avait lui aussi son collier et était à poil.

Ben oui vous moquez pas de moi grrrrrrrrrr je n’ai pas de soumis mais j’ai un chien qui certes ne m’obéit guère mais est fidèle… et puis lui il ne réclame rien…il trouve tout ce que je fais « bien » ; il est un bon public ! Les autres soumis hummmmm c’est encore à voir ! Aussi avec mon chien ben je n’ai pas de soucis.

 Toutou a allumé les bougies histoire de créer une lumière tamisée, cool

 Amazone a réchauffé son toutou avec sa chambrière et son fouet. Eh c’est qu’on prend soin de toutou. Ahhhh la chambrière et dire que la mienne elle a le bout cassé… enfin ce n’était pas la peine de songer à piquer celle-ci, elle rentre pas dans mon sac, ce ne serait pas discret… et puis c’est ma copinette je ne pourrai pas faire ça ! (Je plaisante). Mais il est vrai que cet instrument élancé, long, fin,  fort souple avec ce bout tout plein de « poil » soyeux est une baguette plaisante à manier qui se veut être caressante, chatouilleuse de son bout donc, mais aussi très cinglante lorsqu’elle est maniée d’un poignet souple permettant ainsi ces petits coups à rebondissement dans un rythme soutenu comme si c’était sur un ressort… ou bien elle peut également fustiger en coups amples doux ou appuyés … bref un régal d’utilisation. Le dos de toutou se zébrait peu à peu, la chambrière laissait de fines stries régulières dessinant ainsi une série de traits réguliers. Amazone finit sa décoration avec quelques coups de son fouet, bien appuyés qui firent sursauter le toutou, le firent « haleter » de douleur et de plaisir.

 Bien passons ensuite au choses sérieuses : le DINER. A table ! Nous avions faim et nous nous sommes régalés. Papotage et « repapotage » entre deux bouchées… puis repus nous  quittions la table et toutou débarrassait.

 Puisque les bougies illuminaient si bien la pièce, Amazone en profita pour « mouler » avec la cire la « queue » de son toutou. Scotch compatissant s’était couché à la tête de toutou et n’en perdait pas une « goutte » (moi non plus).

La cravache ôta doucement le petit monceau de cire figée, toutou apprécia (le gourmand).

 Scotch ne quittait pas toutou, ils se connaissent depuis quelques mois et sont très copains. Enfin scotch se montre tout de même jaloux lorsque toutou s’approche de moi… ben oui quoi il va quand même pas lui piquer sa Maîtresse, "on est copain mais y’a des limites !"

 Voila petit résumé d’une soirée fort agréable, toujours bien reçu chez mon amie et entourée de bons toutous !

 

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Vendredi 24 octobre 5 24 /10 /Oct 20:17

Mon Dresseur venu en fin de matinée aujourd’hui m’a offert un apéritif. Ce fut un moment de grand plaisir, l’envie était forte, un verre de vin rouge (j'adore un bon  vin rouge) quelques chips, le temps passait et je n’avais pas envie d’arrêter ce moment si sympathique.

Là ce n’était pas mon estomac avant le repas qui se rebellait en criant famine, c’était mon corps en duo avec mon sexe qui hurlait son « appétit », son désir, le désir d’être marqué, le désir de jouir !

Ce moment de simple apéritif se transforma en apéritif voluptueux où douleur et jouissance devenaient de savoureux cocktails. Mon Dresseur me proposa des séries de fustigations intenses, douces mais ponctuées également de coups appuyés avec la cravache et la badine. Il accompagna ses frappes incendiaires en concoctant des plaisirs fulgurants dont il a la recette.

C’était avec délectation que j’étalais mon corps, offerte aux coups tandis que la baguette ou le cuir venaient doucement puis de plus en plus ardemment caresser ma peau. A ses pieds « déposée », je sentais les vibrations des ondes cuisantes… doucement, petit à petit je chavirais, je partais à la dérive et déjà s’éloignait de mon esprit la souffrance lorsque sa main parcourait mes chairs torturées puis me masturbait.

Il aimait s’attardait sur mes seins. Ma poitrine se couvrait de zébrures violacées, je frémissais, je poussais de petits cris à chaque impact qui mordait ma peau. Mes globes mammaires rebondissaient au contact de la cravache, je tendais mon buste torturé et après je fermais les yeux pour me concentrer au passage de la paume apaisante. Je bondissais, me raidissais, pleurais et hurlais alors qu’il frappait ma vulve rebondie et sans défense. Le cuir cinglait ma chatte en coups secs et précis, j’étais électrisée, tétanisée sous ce brasier dévastateur. Ce n’était plus seulement mes chairs transies qui vibraient ensuite mais tout mon corps sous ses doigts diaboliques qui me fouillaient, me trifouillaient et m’assuraient mon bonheur.

Ma peau chauffait et mon antre se réchauffait à m’en brûler et ce n’était pas le fluide qui en découlait qui venait me refroidir car ce n’était pas un fluide glacial mais un miel savoureux et qui lui permettait aisément de pénétrer mon dédale.

Ma peau n’était plus qu’un cuir tanné et mon ventre un volcan en éruption véritable geyser de jouissance !

 

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Jeudi 23 octobre 4 23 /10 /Oct 19:16

Et si je parlais de moi !

Je ne vous ai jamais vraiment parlé de mon corps

Vous l’ayant offert aveuglément

Cependant je vous le dépeins

Je vous le peints

 
Vous connaissez mes yeux

Mes yeux câlins  pour la tendresse

Mes yeux humides pour l’extase

Mes yeux larmoyants pour la souffrance

Prisme d’yeux sous votre bandeau

Me voici plongée dans la nuit

 

Mon visage vous le connaissez

Ridules de sourires

Ridules de douleur

Et ma bouche vermeille

Restée sans voix

Juste pour vous embrasser

 

Mes mains que je veux

Friponnes et polissonnes

Je les aime comme elles sont

Mes mains, car sans elles

Jamais vous ne me liriez !

 

Mes seins généreux et pleins

Pointant vers vous

Lorsque vous approchez

Provocateur ce buste droit

Sous vos mains

 

Et du reste, il faut bien parler

Comme je l’entends

De ces hanches et cuisses callipyges

Rondeurs généreuses

Offertes effrontement

À votre loi

 

Je garde pour la fin ce que vous préférez

Ce ventre désir

Ventre marqué hier de la naissance

Traces laissées

Aujourd’hui par les vôtres

Et ce sexe pour vous y enivrer

En cueillir les saveurs

 

Mystère toujours et encore

Que ce corps à chaque fois

Que vous venez vers lui

Soit aimanté, soudé, lové

Artefact d’histoire d’O

Mais ce corps

Il sera à... et pour qui...?

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Mercredi 22 octobre 3 22 /10 /Oct 08:39

Ce que ma tête contient, ce que mes lèvres parlent, ne sont pas pour faire plaisir ou pas, pour me comprendre ou non « à vous » car trop souvent le même mot ne représente  pas pour nous la même signification.

 

Aujourd’hui il existe une personne qui espère en moi !

-         « je vous regarde en dedans et je vous comprends et vous viendrez à moi »

Il n’est autre que celui que je regarde en dedans et que je vois : mon Mentor

  Ainsi mon obédience envers ce Mentor n’est pas gratuite, elle est échange, je ne renonce en rien à mon « moi », à ma qualité de femme, car si telle était cette renonciation, ce ne serait qu’esclavage et asservissement. Bien au contraire mon acquiescement,  mon allégeance sont les principaux qualificatifs, mais un tel acte pour le commun est illégitime et nul pour beaucoup. Bien évidemment nous ne parlons pas la même langue…

 Mon allégeance n’est pas de m’abaisser, elle me permet de ne pas abandonner le combat. Ainsi je ne m’accommode pas, je ne m’adapte pas, j’obéis car je le veux à celui qui me captive, ne m’opprime pas mais  me fait m’accepter, m’agenouiller, obtempérer pour aller vers le transformisme : mon évolutionnisme.

Bien d’autres n’y verraient que domination, être sous la dépendance, subir l’autorité…au premier degré. Un(e) Dominant(e) apprivoise, assouplit, attache, charme, transforme en « agrandissant », métamorphose, remanie, « rénove » sa dominée, son dominé, pour ne jamais l’altérer, la, le déformer, la, le dénaturer, la, le diminuer.

 Mais qui peut comprendre que le désir de mes pulsions, le désir de me laisser aller me pousse à cette dépendance consciente et ne fait pas de moi un simple objet (que ce soit sexuel ou non), même si le dominateur me pousse jusqu’aux humiliations… mais m’apporte mon plaisir, me fait vibrer, me fait exister?

 Ceci de nos jours communément nommé « sadomasochisme » est devenu la forme présente et commune dans la liste des fantasmes récurrents et qui constitue une part du marché d’un commerce sexuel mais a totalement ignoré sa première vocation : la beauté, l’évolution de la personne, sa grandeur !

Ce terme de sadomasochiste existe depuis la définition de « psychopathologie » mot inventé par des hommes qui eux sont résignés, craignent et refoulent toute pulsion car ils n’y voient que fantasme, libido et lascivité mais ne connaissent rien de l’érotisme, de l’évolutionnisme et restent hypocrites. Ils ne savent pas penser et agir cérébralement, ils restent petits, coincés. Alors ce sont eux qui présentent des « perversions pathologiques »…

 Mes pulsions d’asservissement, d’égocentrisme masochiste sont canalisées par la docilité, la fidélité, l’humilité, l’obédience pourquoi pas, car toujours échange entre les deux personnes. L’un ne peut se passer de l’autre, ils évoluent ensemble pour leur mieux être et mon épanouissement, mon « devenir moi, aimée, considérée,  grande »

Je ne suis pas en demande d’humiliations toujours plus intimes, plus cruelles, je jouis de pouvoir être une « victime » consentante, prête à pousser toujours plus loin mes limites.

(Ainsi j’évite le stade anal et mes pulsions de mort afin de me dévoiler, de me découvrir, d’innover, de vivre pour moi-même. Je ne reviendrai pas sur mon syndrome de cette cible. Rappelons simplement que ma culpabilité infantile, mes premières tentatives de maîtrise de mon corps (ex : contracter son sphincter afin de gérer sa propre évacuation) sont mes origines de force envers moi-même et envers autrui).

 

 

 

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Mardi 21 octobre 2 21 /10 /Oct 20:01

Chaque jour un peu plus lasse…


Pffffff au cimetière de mon âme s'entassent des idées mortes
Puit asséché où je viens pleurer

Jardin jonché de roses décapitées

Où la moindre corneille n'a plus de tête
Claquent alors dans mon cerveau disjoncté les coups de fouets
si seulement je savais pourquoi on me flagelle
si seulement... je n'étais qu'un jouet ?
mais je suis toujours vivante par force de l'instinct
le coeur chargé de manque, de la vase plein la bouche
plus de force pour s'opposer au destin
plus d'armure
frêle !
cascades de larmes qui résonnent
chant d'une damnée sans brasier
j'ai mal de ce manque
j'ai mal de ce désir d'aimer
je n'entends nul conseil
cris poignants sans écoute
sur le chemin où les hommes sont des loups
qui vous égorgent sans bruit
les hommes où se brisent mes rayons
marre d'encaisser coup sur coup
toujours vivante par force d'habitude
le coeur oxydé d'éponger trop de pleurs
perdue, emmurée
chaque jour un peu plus morte, tuée par le manque d’amour
perdue dans un monde devenu fou par trop d'humanité
alors espérer m'extraire des décombres de notre société ?
Oublier les sévices ?
Aujourd’hui l'espoir n'est plus qu'un artifice !
Et si je voulais devenir dure, cornée
et si j'avais à mes pieds ceux qui réduisent ma vie à l'état d'inconsciente qui me détruit
et si je voulais brûler cette terre et l'offrir au passé? 
 Mais je reste "nue"
le coeur désagrégé
comme une "déesse" sans servant
comme un "corps" sans membre
chaque jour un peu plus lasse d'attendre « TA VE
NUE  « 
.

 

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Samedi 18 octobre 6 18 /10 /Oct 18:56

Dans mes plaies

Bougent dans mes plaies

Prêts à péter

Mes souffrances et larmes

Et cris, et pleurs, et gémissements

Ces "pieds" qui bougent

S’amusent à bouger qui se passionnent

Ses sadiques petits pieds de satin blanc

Dans mes plaies mortelles de sang rouge

Ganglions crevés 

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Lundi 13 octobre 1 13 /10 /Oct 20:14

Laisser mon corps réagir, avoir la tête « embrumée », planer dans mes liens, vibrer sous les « doigts » cinglants ou caressants du « Mentor » et me voilà concentrée sur l’émoi où les douleurs sensuelles m’entraînent vers le plaisir. Je me focalise, chaque partie de mon corps se focalise, il n’est plus qu’une immense zone érogène, il glisse, je glisse vers des sensations de délices, je m’abandonne, j’explose, j’implose… c’est le bonheur… je me plais bien dans mon masochisme...

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Mercredi 8 octobre 3 08 /10 /Oct 15:36

Vider le fond de son tiroir

Ouvrir la boite aux idées noires

Regardez les s’envoler

Comptez les petits bouts de papiers

Recenser le passé

Je me vois me battre au loin

Contre une horde de démons

J’ai la fureur dans les mains

Je brille au milieu du fracas

Des terribles combats

Mes yeux sont des lasers

Je tiens en respect les sinistres guerriers

Et voila un bouchon de champagne

Souvenir d‘un mat de cocagne

Episode

Repas gourmand et friandises ?

Anniversaire et fête ?

Quel bric à bras, la vie c’est çà

Mon bric à brac

Je m’arrête là

Mon tiroir est vide…

 

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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