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Jeudi 2 octobre 4 02 /10 /Oct 20:44

Je tenais à faire partager mes angoisses, interrogations et diverses stupidités qui reflétaient mes débuts de jeu online avec DAOC lorsque j’étais une newbie !

 

Voici mon état suite à ma première « entrée » dans ce monde virtuel :

 

<baille… eh oui même les héros sont fatigués.

La nuit qui suivit ma première expérience de jeu ne fut pas aisée… forte de mon nouveau statut quasi divin, je refis les combats sous ma couette en pensant déjà aux stratégies que je mettrai en place dès le lendemain.

Stratégies auxquelles personne jusqu’ici n’aurait pensé évidemment !

Enfin épuisée par les batailles titanesques que j’avais livrées, je m’enfonçais dans un sommeil réparateur.

 

Le lendemain, à peine réveillée je n’avais qu’une envie : trouver des infos pour résoudre toutes les questions qui me taraudaient depuis la nuit dernière.

Lessivée par ma nuit au final peu reposante durant laquelle j’avais passé mon temps à ne rien comprendre aux autres personnages, je ressemblais plus à une pôv guenille misérable qu’à une fière guérisseuse naine. (Eh oui mon premier perso était une naine capable de soigner ses compagnons)

Le petit déjeuner moment de pur bonheur familial… moi devant mon bol, cheveux ébouriffés et mon fils grincheux, tombé du lit me boudant pour ne pas lui avoir laissé le PC la veille.

J’étais plongé dans ma documentation avec assiduité et demeurais imperméable aux questions de mon fiston.

«  Ben dis donc maman, tu trouves ce jeu passionnant pour que tu te couches à une heure pareille ! »

« ummmpf » je ne vais tout de même pas me laisser saouler alors que je consulte religieusement ma doc.

« Maman, je pourrais jouer ce soir ? »

« Toi le gnome tu la mets en veilleuse avec les notes que tu rapportes à la maison tu devrais plutôt étudier tes cours sinon ça va maxer à coups d’épée à deux mains dans pas longtemps ! »

 

une fois le fiston parti au lycée, je passais la majorité de mon temps à surfer sur le net à la recherche des sites les plus pertinents traitant du mystère de DAOC au détriment des taches ménagères et professionnelles.


Je tombais alors sur les liens du site officiel. En quelques cliques habiles, prétentieuse débutante que j’étais, je me trouvais propulsée sur les sites persos, les sites de guilde, les aides techniques, les glossaires, les cartes de zone et autres forums tous plus riches les uns que les autres.
Si riches que complètement « stun » je fus prise de frénésie : je gavais mon imprimante de papier et au final je me retrouvais avec six brouettes de documentations diverses et variées – souvent peu pertinentes et dans les langues les plus variées.

 


Je passais le reste de la journée à réorganiser ces montagnes d’informations en vue de la soirée !

Car maintenant je savais tout. Je n’avais absolument rien glandé de la journée et j’étais enfermée dans un mutisme proche de l’autisme aggravé. A ce stade je venais de subir ma première métamorphose car je passée du stade de newbie 1er niveau à newbie spécialisé boulet.

Le soir le dîner fut envoyé plus vite qu’une lettre de relance par le service des impôts ;

 

Yann (mon fils) mielleux : » j’ai réussi à télécharger le film que tu tenais à voir maman »

Moi me baffant la tête dans l’assiette : « peu pô, pendant que tu t’amuses, j’ai le monde à sauver, moi, et puis prends tes stylos et cahiers et va pexer plutôt très cours ! »

 

Et je plantais là ma marmaille adorée en me scotchant devant le PC.

Armée de trois paquets de cigarettes, six litres de café à réveiller une armée de koalas sous barbituriques et surtout l’intégralité de ma documentation disposée par petits tas approximativement structurés et j’allumais la machine.

 

Je n’avais jamais été aussi prête et j’allais le prouver.

 

 


Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Jeudi 2 octobre 4 02 /10 /Oct 10:07

Sorti en 2001, Dark Age of Camelot (DAOC) est un jeu de rôle massivement multi joueur, placé dans un univers médiéval fantastique. On s’y trouve plongé dans des combats entre trois royaumes légendaires, la magie y est omniprésente, on s’y affronte pour la possession de forts et de reliques.

Alors bouleversement dans mon quotidien !!! Si c’était la « bataille » dans ce jeu, la course à l’armement ce fut la guerre à la maison. Mon fils commença donc à jouer… jusqu’à présent perso je m’étais bien essayée à ses consoles de jeux voir même Counter strike mais sans véritablement adhérer. En « bonne maman » s’intéressant aux activités de son fiston je le regardais donc s’éclater sur ce jeu et prenait part à son plaisir. Quel ne fut pas l’erreur alors lorsqu’un jour il me dit : « maman lance toi, crée toi un perso … » et me voilà derrière l’écran, pianotant sur le clavier (arf que j’avais bien du mal avec toutes ses commandes) à me lancer dans l’aventure. Yann patient était mon guide… bien sur au début je jouais solo car je ne vous dit pas la lenteur de mes réflexes… le temps de non seulement de voir le mob qui m’attaquait, trouver la commande pour sortir mon arme ben j’étais morte ! Mais bon mon perso tout doucement grandit et prit de l’expérience. Hardie de ma toute nouvelle expérience je commençais à jouer en groupe et partais à la conquête de ces contrées sauvages. Enfin tout cela pour dire que j’avais pris goût à cet univers si bien qu’à la maison ben la guerre était déclarée entre mon fils et moi. Je squattais le PC, mon fils ne pouvait plus jouer. Normal d’abord, il était au lycée et suivait ses études !!! Z’êtes pas ok avec moi ????

Je jouais de l’autorité parentale prétextant que lui devait bosser ses cours avant de pouvoir jouer etc.… et hop je restais scotchée devant l’écran.

Je finis par acheter un deuxième PC ayant pitié du désarroi de ma progéniture et là le délire débuta ! On racheta un deuxième jeu car il nous fallait deux comptes afin que chacun de nous puisse jouer ensemble en réseau. Ce fut des heures de jeu, no life j’étais devenue une pro (enfin presque)… lui dans sa chambre, moi dans la mienne… à en arriver à communiquer à travers le jeu  en s’envoyant des messages personnels : du style : « t’as faim ??? On se fait livrer une pizza ?... vas te coucher t’as cours demain… etc. » Mais que de folles expéditions, on s’éclatait tous les deux, on se faisait plein de copains IG (in game), on était les « maîtres » de cet univers !!! Bon j’exagère un peu… je sais.

Si bien qu’on finit par se rencontrer à la maison avec nos compagnons d’aventures. Deux fois par an on se réunissait, on festoyait entre nous et je me retrouvais avec des gamins dont l’âge oscillait entre 18 et 30 ans. Bien sur au début j’hésitais moi la vieille mais ils me mirent de suite à l’aise, trouvant trop fun qu’une maman puisse ainsi jouer et s’éclater… et puis après tout derrière mon écran mes persos n’avaient pas d’âge !

Et c’est ainsi que je suis devenue une accro de ces jeux en ligne.

 

Et voilà après trois ou quatre années (je ne sais plus trop bien mon neurone mémoire faiblit) de DAOC « frénétiques » je cessais ce jeu pour découvrir World of Warcraft (WOW) venant de sortir en France.

Même esprit que DAOC, je partais dans une nouvelle aventure, à explorer un monde immense. Je me plongeais à donf dans un nouvel univers, un monde virtuel pour devenir un « héros ».

Et voilà j’adore rejoindre des milliers d’autres puissants héros dans ces royaumes de mythes, de magie et d’aventures sans limites. (Cimes enneigées, forteresses perdues dans les montagnes, ravins profonds, zeppelins survolant des champs de batailles dévastés, sièges épiques - un nombre illimité d'expériences s'offrent à vous.)

Je me suis tout de même assagie, je suis devenue raisonnable (quoique) et je ne joue plus tous les jours.




Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Vendredi 26 septembre 5 26 /09 /Sep 09:09

« PREMIERE BOUM »

 

 

 

Il m’avait laissé un message sur mon répondeur : j’ai une surprise pour vous, rappelez moi d’urgence »

 

Nous étions vendredi soir. Je n’osais même pas espérer mais allait-il enfin me sortir ?

 

Le téléphone, c’est lui.

-         tenez vous prête pour vingt deux heures au feu rouge au bar près de chez vous. Vous aurez votre corset.

 

A peine a-t-il raccroché, que mon visage s’illumine… puis bien vite l’anxiété m’envahit. Où va-t-il m’emmener ? Saurai-je bien me tenir ? Je sentais déjà l’humidité naissante.

 

Je suis alors comme l’adolescente lors de sa première « boum » accompagnée par son grand frère. Fébrilement je passe un temps infini à me préparer. Ouf je me suis épilée ce matin. Côté vestimentaire je n’ai pas à  décider, il a choisi, comme du reste toujours il choisit, me guide, me protège, m’enseigne. C’est vrai que « Monsieur » O…, n’est pas mon Maître, il est plus c’est comme un grand frère, un référant qui me guide, me conseille et ce soir il sort sa « jeune sœur » dans la cour des grands. Alors plus de crainte, je suis en confiance, il me connaît.

 

 Très excitée à l’idée de sortir je me dirige vers le lieu de rencontre. J’ai pris soin de fermer mon manteau, cachant ainsi ma jupe moulante et courte, j’ai noué une écharpe pour ne pas laisser apparaître mon collier et je l’attends en retrait, de crainte qu’ainsi vêtue, maquillée un peu plus que d’habitude les voitures ne puissent me remarquer et supposer…

 

Une voiture ralentit, je ne puis deviner le visage du conducteur… j’hésite mais c’est bien lui.

 

Je me retiens de lui montrer mon enjouement mais après tout cela n’est pas nécessaire, il le sait bien …

 

Impossible de me souvenir de notre conversation durant le trajet, mon esprit vagabonde et une seule pensée, être digne de lui !

 

Youhaaaaaaaaaa le bonheur, pour cette première sortie, il m’emmène chez Cris et Chuchotements, savait-il donc que je le souhaitais tant ? Cet endroit magique, mystique, cette nuit j’évoluerai dans ce lieu.

 

Porte discrète, O… sonne, Jeff nous ouvre, je sais que c’est lui car O… a pris le temps de me donner quelques indications.

Nous sommes accueillis comme si nous étions attendus. Notre hôte se montre prévenant, il connaît bien mon chevalier servant. Mes yeux sont grands ouverts la porte passée, je suis plongée dans un autre monde. O… me présente.

-         voici BrocéliandeO, c’est sa première sortie. Dit-il d’un ton protecteur comme si il prenait son rôle de grand frère au sérieux !

 

Quelques paroles rassurantes, mise en confiance de la part de Jeff et je suis invitée à découvrir les lieux.

 

Je précède O…, qui tient à la main son fouet et descend l’escalier de pierre. La cave, première pièce, le salon, les lumières tamisées, je sais que des personnes sont assises mais tête bien haute mes yeux fixent le décor, de crainte de croiser leur regard me dévisageant.

 

 La visite commence, j’ai droit aux commentaires techniques. Les petites lumières dessinent au travers des ténèbres, une scène de théâtre mettant en valeur le décor.

 

Au fond, au bout de cette première salle, deux petites salles, comme l’autre, pierres apparentes, avec toujours cette lumière comme celle de chandeliers illuminant l’appareillage de chaînes fixées à la voûte des murs, la croix saint-andré. Je caresse cette dernière comme une enfant qui découvre enfin un merveilleux jouet jusqu’à alors tant convoité dans les catalogues.

Puis c’est au tour d’une table de fessée, le sling, un curieux tabouret, un fauteuil en suspension… je ne sais quoi encore…

 

O… me guide, matérialisant mon rêve. Progressivement, l’âme secrète, captive, suinte de ce lieu, et s’empare de mon esprit.

 

Je me retrouve debout, attachée à la croix. C’est délicieux. Il place les menottes à mes poignets et chevilles, je vacille dans les entraves rien qu’à l’idée qu’il va me caresser de ses lanières de cuir. Je suis offerte, écartelée, au rythme des cliquetis métalliques qui accompagnent ma crucifixion.

 

De l’extrémité de son fouet il caresse mon corps, ma respiration s’accélère. Esclave de mes rêves, de mes désirs.

Esclave de ses rêves, de ses désirs fous.

 

Je voulais voir ma jouissance mais Jeff me passe un bandeau. Je proteste mais en vain.

 

Je suis totalement sous l’emprise de mon « grand frère », je sais qu’il se recule, qu’il me regarde… moi sa captive d’un soir !

 

Il a son fouet aux lanières souples, doucement il entame la sonate de cuir, il me caresse du haut vers le bas, lèche en amples mouvements à gauche, à droite mes rondeurs, ponctue de coups plus vifs mon corps me faisant ainsi onduler sous les frappes délicieuses.

Il surprend ma fourche enchaînée de mes cuisses, me fait sursauter et frémir.

Il me semble qu’il joue ainsi longtemps.

Il ajoute à ma peur du noir, ces mots qui me troublent.

-         il y a là un homme qui vous admire depuis un moment…

 

La sueur perle sur ma peau et lorsque le cuir s’oublie sur mes seins, sur mes jambes, mes bras, mes doigts, des gémissements rauques feulent du fond de ma gorge.

Cuir noir et acier.

Aria fauve aux fragrances moites.

 

J’imagine dans la lueur pale qui baigne la cave, les froissements et les glissements, les claquements et les aplats mats, les soupirs et les murmures, les tintements et les résonances métalliques qui se mêlent en mode mineur dans une passion selon le plaisir.

 

Je vacille sur mes jambes, je dégouline de plaisir. O…  m’effleure et glisse sa main sur mon intimité.

 

Je tremble lorsque le fouet déchire l’air autour de moi. Je tressaute lorsque le cuir se fait insistant, peu à peu je sens le désir m’inonder, ouvrant ainsi la voie de mon plaisir…

Je m’abandonne alors en plaintes voluptueuses... Je parachève ma jouissance sous le rythme caressant des cinglées. J’exalte et laisse échapper mon plaisir. Je n’entends plus rien, je suis seule avec mon orgasme qui me ravage le ventre.

 

Puis plus rien. Mes membres sont engourdis, ma peau me chauffe, ma vulve pleure.

 

-         je vous la laisse.

 

 

Silence…

 

J’essaie de me ressaisir, de me redresser, j’entends le bruit d’acier, la crainte m’envahit…

-         inquiétant de ne pas voir mais excitant, non ?  cette voix rauque, un inconnu, je sens son souffle sur mon cou. Ses doigts me caressent. Il me questionne. Ai-je été sage cette semaine. Je me sens dans l’obligation de lui avouer, non sans une certaine fierté, la satisfaction de savoir que j’avais excité « Monsieur » alors qu’il se trouvait seul à l’hôtel.

 

Il me répond que c’est mal et qu’il me faut être corrigée.

 

Enfin le foulard est retiré, O… est là et se délecte de voir mon air inquiet et mes joues rougies de honte ou bien de plaisir ? J’hésite à poser le regard sur cet homme. O… me présente un verre avec une paille afin que je puisse ainsi m’abreuver, je suis rassurée de savoir qu’il est resté présent à mes côtés.

 

P…, c’est le nom de cet inconnu, me détache de façon asymétrique. Un vicieux celui la. Je dois donc finir de me détacher. Cela amuse les deux hommes.

 

Je reçois l’ordre de m’installer sur la table à fessée.

-         retroussez vous et prenez place ! prononce O… le ton est sec et sans appel

 

P… commence alors à me corriger. J’offre ainsi ma croupe, mon pubis et mon anus aux regards. Monsieur commente cette vue.

 

Il prend la relève et il faut dire que j’adore ses mains, le ballet qu’il exerce sur mes formes, il sait si bien jouer de ses paumes.

-         P… a une très belle vue sur vous chère « petite sœur ». Il décrit mon oeillet, obstrué par mon bijou rosebud et il précise que j’ai comme des petites lèvres en corolle tout autour de ce dernier.

 

Je ne suis alors qu’un morceau de chair à la vue de tous et j’avoue aimer.

 

Des frissons me parcourent alors que la paume de Monsieur me claque. Mes muscles se tendent, il me claque bien fort. Je dois avouer que j’exorcise ces jours de frustration et de désirs…

 

O… ne se prive pas de faire remarquer à l’assemblée que ma chatte est bien ouverte et baveuse.

 

Le fouet a marqué mon corps de belles stries régulières, la fessée a plus qu’échauffé et rougi mes globes fessiers. Mise en scène, moi au centre de l’arène sous les « projecteurs », où je me livre, où je me laisse emporter par le Maelström du plaisir des sens…

 

Je me remets difficilement de mes émotions tant la tension fut forte. Je me blottis près d’O…, j’ai besoin de tendresse.  Nous sommes maintenant dans le premier salon, le bar.

 

J’ai l’impression de voguer. Pascal le Maître des lieux, m’apporte un jus d’orange. Je me sens bien …

 

Ce soir j’ai vécu une forte expérience, une sensation torride, un brasier de sexualité dans cet antre.

 

Je répète ces images, ces instants passés, qui ont précédé le véritable désir, qui s’estompe dans les limbes.

 

Cette nuit là le plaisir a été un ouragan qui m’a emporté dans les abîmes du plaisir.

 

Je suis encore plus la petite sœur, heureuse de sa première sortie accompagnée par son frère et j’en fais part à Monsieur.

 

Les réverbères de la ville défilent dans mon regard, la nuit de l’asphalte s’engouffre sous les roues… les raies de lumière blafardes glissent… je me jette dans les bras de « mon grand frère » pour le remercier.

 

Quelle belle première sortie je suis fière d’avoir grandi !

 

 

 

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Mercredi 24 septembre 3 24 /09 /Sep 17:43

Hier je me suis retrouvée à faire de la figuration pour canal plus (groeland magazine) et j'ai passé un super moment. C'était tres amusant et je me suis prise au jeu, même qu'il y a eut une prise de "vue" où j'embrasse la star !!!
L'ambiance était sympa, on a tous bien ri ...

Amy Winehouse c’est des poumons de chanteuse black dans un corps frêle(de petite anglaise 100% blanche. C’est une voix chaude et puissante capable de nous faire frissonner. Dans une certaine mesure bien sûr, on aime son look dégingandé, mi pin’up, mi rockeuse. On adopte son trait d’eye-liner, en plus fin tout de même, pour ne pas donner l’impression qu’on s’est « ratée ». Et puis on ose la choucroute, réduite de moitié.  

Elle abuse plus que de raison des substances illicites et de l’alcool.
Foire régulièrement ses concerts, laissant ses fans sur leur faim.

ainsi j'ai pu faire la connaissance de son sosie !!!  link

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Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 17:38

Etre maso ne me fait pas rejeter mes sentiments : mon désir d’aimer, d’être aimée… c’est même cela qui fera que je puisse m’abandonner totalement vers l’Elu de mon corps certes mais aussi de celui qui saura conquérir mon coeur !

 Et puis vous autres Dominant(e)s  ne réfutaient pas vos sentiments, ne pensez pas à tort que cela pourrait amoindrir votre « autorité » et songez que vous avez là une personne unique et si règles doivent être établies elles se doivent aussi d’être uniques comme les sentiments partagés !

 

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Mardi 9 septembre 2 09 /09 /Sep 14:45
  ah l'espace d'une soirée j'ai cru avoir 20 ans !!!

nonon je vous assure y'avait pas que la boisson, certes elle coulait à flot, ni la fumette, sisi on allait dehors entre deux plats pour aller faire des ronds de fumée, mais tout simplement invitée pour l'anniversaire de mon fiston, je me suis retrouvée avec sa bande de copains et j'ai oublié mon age...
meme que je parlais le même langage qu'eux , je comprenais tout ce qu'ils disaient !!!

Yann avait réservé pour fêter ses 21 ans chez un ami restaurateur sur les bords de marne et tous, en fins gourmets, avons fait honneur aux plaisirs de la table. Bonne hunmeur, joie, rires, chansons accompagnaient les assiettes et les verres.

et puis délire dans la voiture au retour, avec kerry james en musique de fond, tous entassés dans la petite twingo, en route pour la maison , eh oui en chevaliers galants ces gentils garçons ne voulaient pas voir "moman" rentrer seule... mdr.... je me sentais "légère"... enfin peut-être un peu trop quand même... chuttttttttt mais croyez-moi j'ai jamais fait un créno aussi réussi les yeux fermés !!!!

Merci à mon fils pour cette superbe soirée !!!

Mais je n'attendrai pas une bougie supplémentaire pour recommencer... après tout on peut fêter notre non anini tous les jours !

bon ok j'ai comaté le lendemain et là j'ai réalisé que j'avais plus 20 ans...
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Mardi 9 septembre 2 09 /09 /Sep 06:04
J'ai perdu ma muse
si je ne m'abuse
j'ai perdu ma muse
ma muse est partie...
jouer, faire mumuse
dans le bois joli
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Mardi 9 septembre 2 09 /09 /Sep 05:44
Pourquoi ouvrir les souvenirs, si le matin doit oublier les caresses, si mes yeux doivent fermer le regard comme l'étincelle du guerrier asperge les tranchées de son sang !
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Vendredi 5 septembre 5 05 /09 /Sep 00:00

Je vous regarde en dedans

Je ne vous comprends pas

Vous qui êtes autour

Dans le mouvement

Dans le prononcement

Dans le conditionnement

Je suis au dessus du mouvement de ces gens

Qui ne sont autre chose

Que des gens qui regardent en dedans

 

 

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Jeudi 4 septembre 4 04 /09 /Sep 11:49

J’ai des fois comme çà 

Où tout est à refaire

A être dégoûtée de l’extra ordinaire

Je deviens banale, voire inintéressante

Mmm, c’est bon le gouffre a un petit goût de sang

Elles vont être contentes les blouses blanches

Je coule et la vie n’est pas étanche

Si même au paradis il faut faire la queue

Je peux attendre un peu

Ecoute ce message qui passe sur les ondes

La vie est un poème

Qui donne même des couleurs à un front blême

La vie est un joli tapis de fleurs

Qui prend même la place dans un p’ti cœur

Tout a son importance

Dans la ronde à répétition qui est cette danse

Y’a aussi des jours comme çà

Où je suis fatiguée

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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