Jeudi 5 novembre 4 05 /11 /Nov 17:17

Trois petites chattes perdues dans la ville par une nuit bien noire décident de traverser; Il y a une flaque d'eau. Arf !!!  il ne faut pas se mouiller les petites patounes;.. attention !

 

La première petite chatte regarde à droite, à gauche, rien.. avance une patte prudemment...   flashhhhhhhhhh une voiture passe , elle monte au ciel.

Saint Pierre : "ma petite chatte ce n'est pas bien grave, tu iras au paradis"

 

oops se dit la deuxième gaff... elle regarde à droite, à gauche..; rien.... avance une patte, une deuxième..; une... flashhhhhhhhhhhhhhhhhhhh une voiture passe.... elle monte au ciel.

saint Pierrre : " hum tu as tout de même pris tes précautions, tu iras au purgatoire"

 

oh lala la toisième petite chatte a peur... regarde à droite... à gauche;.. la voie est libre...   une patte;.. une deuxième;... silence.... une troisième;.... oufffffffffff .... une quatriiiiiiiii /flashhhhhhhhhhhhhhhhhhhh une voiture passe, elle monte au ciel !

 

Saint Pierre : " arfffffffff   tu n'as pas été assez prudente... tu iras en enfer !

 

Moralité de l'histoire : Plus la chatte mouille plus les saints sont durs...

 

 

 

 

Par broceliandeO - Publié dans : Délire
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 26 octobre 1 26 /10 /Oct 17:11

Comment caresser une femme en parcourant 21 départements français ?

Il faut d'abord s'en faire une Allier

S’assurer qu'elle est Seine

Et bien en Cher

Et que Savoie

Lorsqu'on sent son Eure venue,

On commence par lui caresser le Haut-Rhin

Puis on descend vers le Bas-Rhin.

On contourne alors l'Aisne

Pour entrer dans la Creuse

La, ça se Corse,

On trouve quelque chose de bien Doubs.

Sans perdre le Nord,

Et pour gagner ce Paris,

On attend que ça Vienne

Et si on ne se débrouille pas comme un Manche,

On peut entrer en Gard

Et y rester jusqu'à l'Aube.

En Somme, il ne s'agit Pas-de-Calais

Ni de s'endormir comme un Loire

Si l'on veut devenir un Hérault…

 

 

 Conclusion

Trouver une Moselle, s'assurer qu'elle est bien en Cher et Seine. Quand son Eure est venue, lui caresser le Haut-Rhin, puis descendre vers le Bas-Rhin avant de contourner l'Aisne pour entrer dans la Creuse. On trouvera là quelque chose de très Doubs...
Sans perdre le Nord, attendre que ça Vienne.
Si on ne se débrouille pas comme un Manche, on peut y rester jusqu'à l'Aube. En somme, il ne s'agit Pas-de-Calais pour un Hérault.

 

 

 

 

 

Par broceliandeO - Publié dans : Délire
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 21 octobre 3 21 /10 /Oct 09:54

Si vous avez suivi l’actu durant l’été, un des sujets fut la vague de suicides dans les prisons françaises.

Comme d’habitude le gouvernement brasse de l’air, cherche les caméras… Prison égale violence, promiscuité, surpopulation, crasse, racisme, corruption, trafic, drogue, viol… le film d’Audiard présente un aspect très  documentaire !

Le Prohète nous fait suivre la métamorphose de ce jeune Malik, illettré, seul, fragile qui dès les premiers jours de son incarcération, devient la victime d’un des clans celui des corses et qui de sujétion/soumission  débouchera sur une terrible ascension de ce dernier.

Un film sur le pouvoir, celui des plus forts !

J'ai aimé ce film... même si persiste un certain malaise : quel impact sur les jeunes délinquants ? Malik vat-il devenir un référant pour eux ?....
et dehors c'est comment ? ben c'est plus grand ! mieux vaut ne pas être faible...

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 10 octobre 6 10 /10 /Oct 20:52

Les poignets et chevilles enserrés dans un bracelet en cuir, la femelle est allongée sur la table de travail, ses membres sont étirés en croix afin de permettre que le compas de ses cuisses soit parfaitement ouvert et à portée de son entraineur.

 

  

 

Une chaine est passée dans les anneaux de ses lèvres intimes afin d’écarter ces dernières pour avoir un accès plus aisé à son abricot gonflé.

 

L’homme commence par flageller son élève et le martinet s’abat sur le corps en extension. Il veut que ses chairs soient très sensibles et que les frappes régulières la fassent mouiller. Le corps de l’élève tressaille sous les cinglées, rougit et se couvrent de stries régulières. Les seins gonflent et les tétons s’érigent fièrement. Les lanières du martinet continuent de s’abattre jusqu’à ce que l’homme juge la couleur de la peau correcte.

 

Il étire alors les tétons de la poitrine devenue pourpre, la femelle sous la douleur gonfle son torse.

L’homme place un tire- lait sur les aréoles et aspire les bouts qui emplissent rapidement les tubes en verre. Il tire sur le piston, les élongations successives entrainent une souffrance dans toute la poitrine, fait gonfler et crisper le torse de l’élève. Il veut que ses tétons deviennent plus gros et longs. Le bruit de succion le ravit ainsi que la vue des tétons qui ont désormais doublé de volume. Une fois les embouts retirés, il peut profiter au mieux des nouvelles dimensions des bouts. Après avoir orné les mamelles de pinces colorées il s’attaque aux bouts. Muni d’une pince il les étire et y place une pince à clochette.

 

Il s’attaque ensuite au clitoris qui subit le même traitement. Il étire à l’aide du piston le petit organe, la torture répétée des étirements fait gémir l’élève. Elle se tord dans ses liens, essaie un mouvement de fuite en vain. Le bourgeon libéré du tube en verre est en pleine érection, l’homme le maintient par une pince pour conserver cette nouvelle « extension » du clitoris.

 

Il fouille ensuite la matrice de son élève et félicite cette dernière pour son état de liquéfaction.

 

-       C’est ainsi que vous devez être en permanence, bien ouverte, bien lubrifiée et tous vos organes développés. Si je devais constater que mes exercices et traitements ne donnent pas le résultat voulu, vous serez punie et le travail serait doublé. Je considérerai que vous faites de la résistance. Votre corps doit devenir un parfait terrain de jeu ainsi qu’un objet pour me divertir !

 

Puis il écarte fente et anus afin d’investir sans ménagement les orifices à sa portée. Il la pilonne pour qu’elle soit bien ouverte et disponible. Il la travaille avec ses doigts, enfonce au plus loin en elle doigts, main, divers objets, il la fouille au plus profond afin qu’elle comprenne qu’il la possède et qu’elle n’est qu’une chose réactive.

Son élève sous les investigations et tortures oscillent entre plaisir et douleur, ses cris et gémissements ravissent son Dresseur qui satisfait lui accorde une jouissance.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 10 octobre 6 10 /10 /Oct 20:48
La sensation enivrante d'un plongeon inversé, mon corps qui nage dans les remous du plaisir et de la douleur, portée par le courant bouillonnant coulant dans mes veines, me laisse ouverte, offerte, sans résistance, avec une faim inassouvie dans les entraves du désir jusqu’à me perdre dans l’inexplicable…



Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 2 août 7 02 /08 /Août 15:07

Pendue au plafonnier la suppliciée tend son corps à son Bourreau. Son « Maitre de tourments » promène sa longue badine souple sur elle, soupèse sa poitrine et s’assure de la lubrification de son sexe. Elle est sa chose créée dans la douleur et pour son plaisir qui le pousse à aller de plus en plus loin. Il veut qu’elle se soumette à ses caprices, l’entraine à ce que son corps ne soit plus qu’un terrain de jeux.

La flagellation débute doucement, les coups rebondissent  sur les rondeurs offertes. Peu à peu la cadence s’accélère, les morsures s’amplifient, la pauvresse tourne sur elle-même, la douleur se diffuse, les premières marquent apparaissent sur la peau blanche. Les fourmillements cuisants diffusent sournoisement dans les chairs frémissantes. La femelle s’offre aux coups, râle et  pleure. L’excitation monte, fait raidir la queue de la main tortionnaire tandis que la suppliciée ruisselle entre ses cuisses.

Chaque impact l’oblige à avancer et donner son corps davantage. Les coups sont précis, pleuvent sur toute partie du corps jusqu’à s’égarer aux endroits les plus intimes. La douleur est aigue, vive mais la main apaise, se fait douceur… avant de redevenir tortionnaire…

Douleur et vague de plaisir alternent là où le gout de l’horreur laisse place aux perles de plaisir.

Les cinglées s’abattent, la font tournoyer, plier, céder. La peau est couverte de zébrures, elle est lacérée. Les chairs martyrisées, sensibles à l’extrême se colorent, c’est ainsi qu’il la veut, striée, boursoufflée, décorée par ses soins.

L’homme accentue ses coups, ca claque sèchement, ça pleure fort !

Le Bourreau accompagne chaque frappe de sa paume bienfaisante, elle gémit alors de soulagement avant de rependre sa danse effrénée en rythme avec la cadence imposée des frappes. Le « flageleur « continue de lever son bâton souple et d’atteindre sa victime. Larmes et cyprine dégoulinent de ce corps offert. Les stries rouges violacées recouvrent les rondeurs de l’élève.

Il aime ainsi ce corps marbré aux sucs prometteurs, il aime la voir se muer en serpent de douleur pour devenir louve en chaleur, il aime savoir qu’elle ne peut lui échapper, qu’elle n’est plus que sa création esclave de son plaisir.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 16:47

Crois-tu que je sois une femme oiseau ?

Non plus depuis que je suis rentrée dans ta cage dorée

Ma tête maintenant est faite pour notre plaisir

A toi qui est régulier

Et à moi qui fait l’oiseau

Qui guimbarde

Qui rêve

Et qui voyage vers toi

Sans penser

Qu’il n’y a pas de rêve

Pour ceux qui connaissent l’oiseau

Qui l’ont aimé

Qui l’ont accueilli

Car il y eu pour eux cauchemar

Le jour où tu m’as ouvert la porte

Il y a eu chagrin

Car l’oiseau s’est posé sur ton perchoir

Il y a eu désespoir

Quand on sait que l’oiseau

Repartira bagué

Comme le pigeon voyageur

Est devenu régulier

 

Par broceliandeO - Publié dans : sortilège
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 17 juin 3 17 /06 /Juin 18:51

Je contemple mon corps marbré qui garde ces marques laissées par cette flagellation voluptueuse. Ces traces devenues violacées et ce sexe encore en émoi, voir tout « retourné » d’avoir été maltraité avec tendresse, sont mes délices comme lui son plaisir sadique et jouissif de me voir me tordre sous les coups et onduler de plaisir… lui qui veut me faire mal, lui qui me fait tant jouir et moi qui souhaite qu’il me fouette, qu’il me caresse…

Alors je lui offre ma souffrance, ma jouissance car cela me rend heureuse jusqu’à vouloir être vouée au fouet et à tous autres traitements jugés utiles qu’ils soient cruels, dégradants, excitants dès l’instant que les deux parties soient prenantes…


 

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Jeudi 11 juin 4 11 /06 /Juin 19:53

La voici attachée et maintenue ouverte par des sangles qui tiennent ouvertes ses cuisses. L’homme pose sa main sur la croupe exposée sans défense, passe un doigt dans la fente gourmande, elle mouille et sa vulve resplendit comme une source.

La femme se laisse transporter dans un monde de plaisir de démence, de douleur et de perversité, totalement offerte à ses envies.

Les coups et les caresses alternent, son Bourreau joue avec le martinet. Les lanières zèbrent ses fesses rebondies, les lanières s’insinuent sur ses courbes entre ses jambes, lèchent son sexe, l’irradient de mille piquants jouissifs, elle se laisse fouetter, elle crie de plaisir douloureux, le martinet rebondit encore et encore avant de laisser la place à cette main apaisante, reconnaissante qui glisse sur les chairs à vif. La danse des lanières reprend et mord son corps qui se cabre. Le cuir brule le cul dénudé, lacère les reins en mouvement souple et vise la chair tendre de l’entrejambe. La femelle tremble, danse, frémit sous le zéphir voluptueux des impacts, un filet de mouille coule telle une rivière entre ses lèvres gorgées de désir d’où pointe un bouton avide de branlade.

Son tortionnaire frappe de plus en plus rapidement se réjouissant de ses plaintes, de ce corps tendu entravé dans les liens dont il use à son gré. Il lui assène ensuite des claques magistrales sur les globes striés qui déjà bien rouges deviennent écarlates et brulants.  Le cul est couvert de zébrures fines et rouges. La femme pousse de petits cris entrecoupés de soupir lorsque les cinglées sont remplacées par les caresses gourmandes.

Il fouille le petit anneau plissé sans ménagement, elle tressaute, se crispe, ses pleurs se font supplications. Elle a l’horrible impression d’être pourfendue et brulée. Les doigts sont pesants sur le rectum timide et force l’entrée étroite. Les sphincters cèdent sous la pression. Il la pilonne malgré les gémissements implorants. Il enduit l’anus froncé de gel, écarte davantage les lobes fessiers, titille maintenant l’orifice avec un gode « généreux » et l’appuie fortement. Le conduit lubrifié capitule sous la pression, l’intrus s’enfonce jusqu’à la garde impitoyablement, perfore son fondement jusqu’au tréfonds de ses reins.

Elle se débat inutilement sous la douleur, l’homme calme de son autre main libre, ce corps en alerte et en émoi.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Jeudi 11 juin 4 11 /06 /Juin 19:45

Entrer dans « Millénium » de Stieg Larsson, c'est plonger en apnée dans une histoire à la tension irrésistible.

Trois pavés qui m’ont fait haleter, un héros pur et dur, pour une fois pas un flic mais un journaliste, une héroïne dure et impure, tueuse et géniale hacker.

L'adaptation du premier tome de la trilogie de Stieg Larsson, « les hommes qui n’aimaient pas les femmes » a été tournée par le réalisateur danois Niels Arden Opley, superbe film bien cousu du début à la fin, deux acteurs principaux qui jouent très bien. Ce film reflète ce que j’ai lu, excellent du début jusqu’à la fin.

Stieg Larsson est décédé d'une crise cardiaque à l'âge de cinquante ans, juste après avoir remis à son éditeur la précieuse trilogie. Larsson était un journaliste brillant, célèbre dans son pays, ancien reporter de guerre en Afrique, et surtout rédacteur en chef d'Expo, revue luttant contre l'extrême droite.

(Les deux autres volets, La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette et La Reine dans le palais des courants d'air, sont destinés à la télévision).

Par broceliandeO
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Profil

  • Le blog de broceliandeO
  • broceliandeO
  • 05/02/1958
  • Célibataire
  • sensible, ludique, lubrique, maso, épicurienne, curieuse. aime : voyages, la mer, l'art, jeux RP en réseau, mon nounours doudou, le chocolat, la vodka... et ma progéniture adorée : mon fils !
  • Femme

Liberté

A comme...

Flash !

  • amour-PB.jpg
  • keryjames15.jpg
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés