les trois royaumes, un fim super ! je vous conseille d'aller le voir
John Woo adapte au cinéma une histoire
inspirée d'un roman écrit au XIIIe siècle et qui fascine tout le continent asiatique.
Une sorte de retour aux sources pour le réalisateur de Volte Face qui n’avait pas tourné en Chine depuis 1992. Il revient également au "wu xia pan", (le film de sabre chinois), un genre qu’il n’avait pas abordé depuis La Dernière Chevalerie en 1978. Pour John Woo, «le cinéma chinois expose de nombreux aspects de notre héritage culturel (...) à travers nos films nous pouvons faire partager notre culture».
Mais il insiste surtout sur l’universalisme des valeurs délivrés dans son dernier film. «L’aspect le plus intéressant de l’histoire des 3 royaumes n’est pas le côté idéalisé et surhumain de son héros,…, mais l’héroïsme véritable dont font preuve ses personnages.» Et, en guise de conclusion: «Le courage, le sens moral et l’amitié sont respectés et glorifiés en Orient comme en Occident».
Entre mes lèvres décloses, mes doigts cabotins errent entre le lys et les roses,
J’ai le désir au ventre, ma vulve perle ses fleurons sucrés,
J’ai envie de douces caresses
cinglantes,
Mes lèvres vermeilles brillent de cet humus juteux,
Alors je me ferai l’amante
Mon corps s’enflammera d’agrumes brûlants mes
chairs,
Voyage jouissif,
Je m’égarerai !
Tout douce je vais
Cabotine je vagabonde
Sur mes lèvres décloses
J’erre entre le lys et les roses
Je m’égare près de l’œillet
J’hume les parfums
Arrosés de l’humus juteux
Perlant sur les fleurons vulvaires
Désir cher
Émoi cher
Épris de ma vulve
De saveurs répandues
Douce caresse
Doux baiser
Amante aux lèvres vermeilles
De mes doigts sucés
Recueille ma manne
Amazone d’agapes abdominales
Aux amples aréoles appétissantes
Amoureuse d’agrumes aciculaires
Au bourgeon éclos
Aux corolles décollées
Ramure attisée de sensations animales
Je voyage assoiffée par tant de plaisir
Faire cadeau de ma douleur
A celui qui m’offre cette douleur
Pour me donner du plaisir…
J’étais réveillée lorsqu'il est arrivé ce matin, impatiente ma vessie m’ayant tirée de mon lit. J’avais essayé de patienter en attendant tout en serrant les fesses !
J’adoptais la position afin de l’accueillir alors qu’il s’installait, mon ventre me torturait et sa badine et son pied pesants renforcèrent mon « supplice ». Il me fit déjeuner non sans avoir gratifié mon corps de cinglées mordantes suivies de l’apaisement de sa main. Enfin il m’autorisa à uriner et je ne me fis pas prier, c’est avec un réel soulagement et satisfaction que je lâchais dans la petite bassine un jet puissant !
Il m’emmena ensuite dans la salle de bains, je me lavais les dents sous son regard et sa badine qui frappait mes chairs frémissantes.
Il m’obligea à le supplier de me faire laver enfin de me faire un lavement et je me résignais docilement à tendre mon cul après qu’il m’ait fait lui présenter mon corps. C’était l’horreur, je sentais l’eau pénétrer mes intestins, gonfler mon ventre et malgré moi mon anus projeta le tuyau de douche, l’eau sale s’évacua. Je craignais qu’il ne se fâche et me corrige mais il me remit le tuyau l’enfonçant cette fois-ci plus profondément et me demandant de le garder. De nouveau l’eau envahit mon ventre, je serrais les fesses, j’avais mal mais je résistais et finissais par garder l’eau avant de pouvoir sous son ordre et après des minutes qui me parurent une éternité le supplier de me laisser me soulager. Il avait préparé la bassine, je pus alors me vider devant lui. Je devais lever la tête, être fière d’être ainsi sous son contrôle dans cette situation dégradante. Je restais longtemps à me vider, le lavement avait été très efficace et j’avais l’impression que cela n’en finissait pas. Ironiquement il me fit remarquer que j’aurai ainsi un anus bien propre pour lui afin qu’il puisse jouer et qu’ainsi cela était plus agréable il ne se salirait pas les mains. Je me sentais bien honteuse et étais dépitée mais consciente qu’il prenait le temps de me préparer et que je devais lui en être reconnaissante.
Il me laissa prendre ma douche, l’eau chaude coulait réconfortante sur moi, je la laissais longtemps comme pour me laver comme pour effacer toute trace d’impudeur et d’humiliation.
Il m’aida à me sécher à la fin de la douche avec son martinet, les cinglées sur ma peau mouillée me faisaient me tortiller. J’avais mal.
Mais mon ventre ballonné gargouillait encore et je le priais de me laisser me soulager. Il m’autorisa à aller sur les toilettes, me laissa s’apprêtant à autre chose mais il me surveillait, j’avais les mains sur la tête, je continuais de me vider encore et encore et je l’appelais lorsque j’eu fini afin de m’essuyer et d’aller avec lui dans la petite pièce.
Je me retrouvais à ses pieds, croupe relevée, attendant presque frétillement les coups qui me semblaient plus agréables que ce que je venais de subir.
Il me fit jouir, ses doigts glissèrent vers ma fente gourmande, s’occupèrent de mettre en extase mon bourgeon alors que d’autres doigts s’ancraient dans mon fondement « propre ». J’étais « revigorée » par les ondes voluptueuses qui traversèrent tout mon corps jusqu’à la moelle.
Puis il me fustigea alors que le café passait, j’ondulais sous les frappes précises qui m’électrisaient et laissaient après chaque impact leurs traces rouges. Il se servit de moi comme table pour sa tasse, la chaleur du petit récipient sur mes chairs sensibles et fragilisées diffusait douloureusement sur moi et je tentais en tant que table à supporter. Il me permit de boire un café avant de m’appliquer la correction que je méritais pour n’avoir pas précédemment fait mon compte-rendu en temps et en heure et que je l’avais donc imploré de m’accorder une correction.
C’est ainsi qu’il décida de me donner vint cinq coups de fouet sur le devant. Je me retrouvais debout, attachée, en équilibre sur un pied, le mors me faisant baver abondamment, une ceinture m’écrasait la poitrine et était serrée fortement sur mon buste ce qui me faisait mal et j’avais les yeux bandés car il avait dit que c’était une punition et que je ne devais pas voir. Ainsi je guettais le moindre bruit, le moindre « frôlement » dans l’air du cuir. Je me retrouvais pénitente selon sa volonté et me cambra au premier coup. La douleur était fulgurante, il prenait son temps et déposa un deuxième coup parallèle au premier sur mes cuisses. Il appliqua le châtiment déposant les coups régulièrement et n’épargna pas mon sexe et mon ventre. Je devinais les rayures qui devaient empourprer ma peau, je me tordais de douleur, je gémissais, je pleurais, mes poings frappaient désespérément l’air ou la porte, je ne savais plus, seule les brûlures de la mèche en cuir qui mordaient cruellement mes chairs me rappelaient à la réalité. Il répétait « aucune tolérance et que j’avais montré un relâchement ces temps derniers ». Il s’appliquait à porter ses frappes avec régularité passant d’une cuisse à l’autre, atteignant mon sexe je bondissais dans mes liens à chaque impact. Ma salive dégoulinait jusqu’au sol maudit mors qui m’obligeait à avoir les mâchoires ouvertes et qui me faisait baver salement.
Il me libera à la fin de la correction, je me sentais fébrile et j’avais le corps endolori alors que je lui léchais les pieds pour le remercier. Je gémissais doucement il passait sa main sur mon sexe j’avais malgré la fustigation subie les cuisses qui luisaient de sécrétions de plaisir.
« Je devrais vous corriger plus souvent, vous êtes une vraie fontaine » ! Cela ne lui avait pas échappé !
En fait je ne savais pourquoi ma cyprine coulait, pourtant le fouet avait été pénible et douloureux… mais je pensais silencieusement que le plaisir que j’avais éprouvé n’était du qu’au fait qu’il s’occupait de moi.
Il me fit travailler mon anus me traitant de « belle enculée ». Il fouillait mon anneau plissé et ses doigts s’insinuaient dans mon fondement. Il remplaça ses doigts par je pense un olisbo. Ce dernier était pesant sur mon rectum, je râlais fortement alors que l’intrus insistait et forçait mon anus. Mon étroit passage cédait, mes sphincters rendaient grâce alors qu’il me pistonnait. J’étais fouillée sans ménagement, les va et vient dans mon cul étaient pénibles. Plusieurs fois ses doigts s’introduirent dans mon canal étroit m’arrachant de petits cris, il les tournait et il me semblait être déchirée. Il continuait ses rotations alternant objet et doigts, je ne n’arrivais pas à suivre, je ne sentais que la dilatation douloureuse de mon canal qui me pourfendait. Je n’osais imaginer mon anneau se refermant sur les intrus alors qu’il continuait de me besogner afin de rendre plus aisé les mouvements, de me dilater et m’ouvrir a lui.
Je retenais mes cris de douleur alors qu’ensuite il ouvrit mes lèvres et fit pénétrer sa main dans ma grotte. Il la plongea dans mon torrent de sève et à contre courant nagea dans mon intimité. Il râpait mes parois, les phalanges telles des tentacules investissaient mon ventre et lâchèrent leur venin.
Puis après cette nouvelle épreuve le reste de la journée fut qu’alternance de douceur cinglante et de plaisir.
Ainsi même si les coups pleuvaient il m’offrit des jouissances explosives. Je ne sais combien de fois ses doigts se transformèrent en caressent, câlinèrent mon ergot. Je m’ouvrais à lui et ma rosée m’inondait. Les ondes pulsatives diffusaient de plus en plus intenses. Je bandais, je me lâchais, j’éclatais !
Petite pause, champagne, déjeuner où il m’accorda d’être à table avec lui « comme une grande », café, « fumette »…
Ah que j’étais bien, table, cendrier à ses pieds, puis le cul tendu, le sexe gourmand, le cul ouvert… envie de plaisir, envie…. Tout simplement à lui !
La nuit n’en finit pas, noir est sa couleur, terne celle de mon âme, lait caillé celle de mon corps
Seules panacées sont les perles de roses, seules sources sont me larmes
Puits d’angoisse vaginal et cérébral !!!!!!!!!!!!!!!!
Un doigt à la dérobée, une pensée qui fuit…..
Je reste prisonnière de ma détresse, je me dessèche en langueur, je suis baisée dans l’âme de ce « vit » ravageuse qui comble mon isolement et se pavane
Mon visage ruisselle de ces larmes salées et acides
Je me vide
Je suis vide
J’en ai marre
Herbes
Brins d’herbes
Marché aux herbes
Herbes folles d’hirondelles à hameçonner
Herbacés faciles à humer
Herbage d’hydres hilares
Mauvaises herbes
Herbes pour pauvres hères
Herbes salines câlines
Herbes vierges
Herbes mièvres
Herbes folles
Herbes odorantes…odorables
Herbes sauvages…sauvageonnes
Herbes…fines
Herbes sauvages
Herbes volages
Herbes ramages
Herbes anthropophages
Herbes femmes
Femmes sages
Femmes mirages
Femmes sarcophages
Femmes herbages
La Femme !
Qu’il perde la raison
Qu’il vende son âme
Dans ma cour de prison
Qu’est mon cœur
Qu’il devienne fou
Qu’il rende sa conscience
D’avoir été trop doux,
D’avoir trop fait confiance.
Lapidé par mes mots,
Flagellé de mes yeux,
D’avoir voulu trop tôt
Exaucer tous mes vœux.
Brisé sur les rochers
Des cotes de la passion
Abandonné, pillé,
Usé sans concession,
Qu’il mouille entre deux eaux
Mollement brinquebalé
Epave au gré des flots
Qui s’enfonce sans couler.
Je viendrai en « capitaine »
Aux allures de sirène,
Peut-être le renflouer
Je saurai l’amadouer.
Moi qui serait Reine,
Et lui le valet.
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