Lundi 11 mai 1 11 /05 /Mai 17:45

To do is to be      Descartes

To be is to do      Voltaire   

Do be do be do   Sinatra     

Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Lundi 11 mai 1 11 /05 /Mai 17:32

  Entraînée régulièrement, elle prend de plus en plus de plaisir à jouir dans les souffrances extrêmes, aussi confie-t-elle son corps à cet homme satanique qui sait tirer le meilleur profit de son envie de plaisir. Elle qui désire devenir objet r, jouet, asservie par le plaisir, par la souffrance entre ses mains sadiques.

 

La voici installée sur la table de travail, pieds et mains liés dans des fers, tenailles, pinces et poids préparés sur la table de desserte.

L’homme caresse la poitrine, presse les lourdes mamelles, tire sur les tétons, teste leur élasticité, pince les bouts roses. Sauvagement il prend les seins dans la mâchoire d’une énorme pince comme un forceps. Il saisit la pointe de chaque globe, la fait rouler et referme une pince à molette dont il tourne la vis, la compression progressive et les dents acérées des mâchoires métalliques crachent leurs étincelles douloureuses sur les chairs fragiles.

Les tétons gonflent, la douleur titanesque fait cabrer la maso tandis que d’autres pinces écrasent les globes mammaires. Des poids sont accrochés afin de faciliter l’allongement des tétines. Le tortionnaire se sert d’une ficelle reliée aux étaux acérés qui lui permet ainsi de faire bouger les seins martyrisés.

Il vérifie l’état de la chatte et place entre les lèvres baveuses une scie à dents. Elle ne doit pas prendre de plaisir pendant le travail.

Le travail de vissage continue et l’élongation se poursuit. Les mamelons sont de plus en plus érectiles, la chair tendre des seins est comme gorgée de sève, les dards des mâchoires mordent cruellement la tendre poitrine tendue. Il la libère des poids et des pinces et recouvre les aréoles dans un tire-lait. Le bourreau tire sur le piston et aspire les bouts érigés à souhait. Des élongations sont pratiquées méthodiquement et chaque aspiration fait gonfler le torse de la femme qui se crispe sous la douleur. Les tétons emplissent les tubes à moitié et en épousent la forme. Ils ont doublé de volume, le bruit de succion se mêle aux gémissement de la suppliciée.

L’homme palpe les seins, fouille le vagin dont l’état de liquéfaction confirme les tendances masochistes de son spécimen. Il retire les tubes en verres, les bouts gardent la forme étirée imposée, la femme ondule dans ses liens.

 

Le supplice voluptueux prend fin, l’homme connaît l’abnégation et le don du corps de cette femme qui accepte de lui offrir.

 

Par broceliandeO - Publié dans : foret
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Jeudi 7 mai 4 07 /05 /Mai 08:34

Un gars est en voiture sur l’autoroute lorsqu’il est pris dans un bouchon. A un moment donné, quelqu’un frappe à sa vitre. Le chauffeur la baisse et demande :

Qu’est-ce qui se passe ?

L’autre gars dit :

Des terroristes ont pris Sarkozy et Raffarin en otage et ils demandent 1 million de dollars sinon ils les arrosent d’essence et ils jettent une allumette dessus... Alors vous comprenez, on passe à chaque auto pour ramasser des dons.

Le chauffeur demande :

Et les gens donnent combien ?

5-10 litres... ça dépend...                                          

Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Jeudi 7 mai 4 07 /05 /Mai 08:29

Ce que j’ai envie de toi... je te regarde d'un oeil concupiscent. Tu es là devant moi. Tu es à ma merci, à portée de main...nonchalante tentatrice...mmmmh que j’aime cette situation.

Je t’observe au loin tu sembles détendue… je ne sais comment t’aborder. Vais-je oser le geste? Je décide alors de prendre les choses en main : je m’approche doucement, innocemment, l'air de rien...

Délicatement je la prends entre mes doigts, la fait glisser entre mes mains et l’amènes à ma bouche... et là je la lèche doucement, de haut en bas, de bas en haut, mmmmh que j’aime ce goût. Décidée a en vouloir plus je la met en entière dans ma bouche, je fais rouler ma langue autour vite, ou plus doucement pour apprécier. Qu'elle est dure sous ma langue agile qui va et vient...

Bientôt arrivée au bout : j’aime ce moment…j'ai l'impression qu'elle va se rendre à mes petits coups de langue. Je la fais glisser vers mes dents et c’est là que…

... je la mords, elle se casse, j’aime croquer les petits morceaux de ma sucette au cola-citron…

Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 09:17


L’élément 115
--------------------

NOM :

Femme

SYMBOLE :

Fm


DECOUVREUR :

Adam


MASSE ATOMIQUE :

Acceptable à 60 kgs mais des isotopes connus de 40 à 250 kgs

OCCURENCE :

Très abondant de par le monde

PROPRIETES PHYSIQUES :

Entre en ébullition pour un rien et gèle sans raison.

 CONDUCTIVITE THERMIQUE:

Faible, surtout aux extrémités inférieures.

 POUVOIR DE DILATATION :

Augmente avec les années.

Cède aux pressions appliquées aux points sensibles.

STRUCTURE MOLECULAIRE :

Parfaite à 90/60/90.

Existe aux USA sous forme croissante 60/90/120 et dans les pays nordiques sous forme dite plate 50/50/50.


PROPRIETES CHIMIQUES :>

Très grande affinité pour l'or, l'argent, le platine et tous les métaux nobles.

Absorbe de grandes quantités de substances onéreuses.

Peut exploser spontanément sans avertissement.

Insoluble dans les liquides mais présente une activité grandement augmentée par saturation dans l'alcool.

Réactivité très variable selon les périodes de la journée.
Grande aptitude aux changements d'humeur et à la jalousie.

UTILISATION COURANTE :

Hautement décorative surtout dans les voitures de sport.

Puissant agent nettoyant.

Aide efficace pour la relaxation et la détente.

TEST :

Tourne au vert si placée à côté d'un spécimen de meilleure qualité.

PRECAUTIONS D'EMPLOI :

Hautement dangereuse si placée entre des mains non expertes.

Il est illégal d'en posséder plusieurs spécimens, mais il est possible d'en entretenir plusieurs à des endroits différents tant que les spécimens n'entrent pas en contact

(risque d'explosion).

ATTENTION :

Certains chercheurs d'Amérique du Sud ont découvert le
moyen d'en fabriquer artificiellement, présentées généralement sous les marques TRAVELO ou DRAG QUEEN.

Ne consommer que le produit générique

 

 

Par broceliandeO
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 08:45

Je ne suis pas d’un rose pâle comme mes compagnons.

J’ai la peau parme.
Ma texture est douce au toucher.
Je suis dur et long mais pas trop.
Ma base est ronde, pour que tu me tiennes bien en main.
J’ai un mécanisme de vibration qui me permet de vibrer à ta demande !
Je n’ai pas d’odeur comme de celles qu’on trouve en magasin !
Pour toi mon odeur sera neutre, pour ne pas t’incommoder

Je suis un gode exceptionnel, puisque tu m’as choisi.
Nous sommes le soir, sur ton lit, je suis près de toi.
De ta main droite, tu es allée à ton intimité, pour commencer à te caresser doucement, j’en suis jaloux, mais je comprends !
Je ne peux pas te pénétrer alors que tu n’es pas prête, je te ferai plus de mal qu’autre chose, je ne veux être que plaisir à ton contact !
Au bout d’un moment, je sens que tu te contractes.
Je suis bien là contre toi, j’attends que tu veuilles bien reprendre ton imaginaire !
Si je pouvais, je me mettrais à vibrer de moi-même, mais je ne le peux !
De ta fine main droite tu me prends.

Ta progression reprend, tu m’approches délicatement de ton doux sexe humide, par le plaisir énoncé de tes fantasmes.
"Il" me nargue comme s’il voulait me prouver, qu’il était plus beau que moi ! Cela est sans conteste puisque tu es de chair et de sang, ton corps palpite par le rapide flux sanguin qui ne fait que confirmer ton désir !
Il est vrai, que bientôt il m’enviera le sort que tu me réserves, par moi il ne sera plus qu’un jouet au gré de mes vibrations et de ta main libre.
Nous passons, à tes lèvres douces et délicates, je les sens si fragiles à mon contact et si précieuses.
Tu approches délicatement mon gland de plastique sur ton bouton de rose.

Je rencontre l’anneau de ton petit nodule qui se dresse impudemment.

Je peux enfin être tout contre toi, ton miel est chaud, ton odeur est neutre.
Tu fais bouger mon gland doucement sur ton bouton, pour que ton corps m’accepte !

De ta main gauche, tu mets en route mon mécanisme de vibration.

Je sens ton clitoris gonfler, durcir sous mes roulements

Des vagues de plaisir t’emportent dans un flot d’ivresse

Puis tu descends à l’entrée de ton jardin secret ! Tu me pousses progressivement en toi, tu es chaude, je sens toutes tes muqueuses qui font que tu es femme ! A mon contact, tu commences à te détendre, petit à petit tu m’acceptes.
Tu commences un mouvement de va et vient, ton bassin ondule doucement.
Tu me pousses délicatement, contre ton entrée, doucement tu me pousses en toi !
Une petite résistance se fait.
Je suis inquiet de savoir si tu ne vas pas souffrir ?
Pourquoi je me pose cette question ? Puisque, je ne suis que de plastique, de fils conducteur de polarités différentes et de piles.
Juste, un objet de plaisirs entre tes mains fines et froides.
Je n’ai pas d’âme puisque pas de sang, ni de chaleur, ni de battement de cœur pour me faire vivre ! Je ne vis que par tes fantasmes !
Mon gland est passé, ta main reste là sans bouger, quelques secondes pour t’habituer à moi !
Ces quelques secondes passées, tu continues en m’enfonçant plus profondément…
Je suis en toi !
Mon mécanisme de vibration petit à petit augmente à tes ordres, puisque que ma commande de fonctionnement est dans ta main libre.
Tu poses ce mécanisme de commande à ma base, pour reprendre ce mouvement que tu aimes tant !
Tu te contractes, je le sens !
Tu m’enserres plus encore, comme si tu ne voulais plus que je sorte !
Ton plaisir augmente !
Ton corps est convulsé sous l’assaut du plaisir qui prend possession de ton être !
Je vibre de toute mon entité de plastique, pour ton seul plaisir !
D’un dernier soubresaut ton corps se tend, tu m’enserres plus violemment encore, tu jouis, un petit gémissement s’évade enfin de ta bouche.
J’aurai aimé être le prolongement de ton orgasme !
Je sais que tu vas me retirer de toi et me poser de nouveau sur ton lit, si froid.
Que m’arrive t-il ? Me voilà  philosophe, alors que je ne suis que de plastique !
Silence ! Tu ne bouges plus.
Je suis là inerte, puisque tu as arrêté les vibrations !
Quelques secondes plus tard, tu m'ôtes de ton corps et tu te lèves pour me laver.
Tu effaces toutes les traces de ton intimité qui sont sur moi, comme si tu m'avais souillé, alors que je ne suis fait que pour ton plaisir !
J’ai bien froid tout à coup, me voilà à nouveau dans un sac.
Je rêve, d’être un homme, de chair et de sang, pour pouvoir rester en toi sans te laisser la possibilité de me retirer de toi.
Je continuerais à te faire l’amour, pour que tu jouisses encore et encore, je te parlerai doucement pour pourvoir t’apprivoiser.
Je te ferais dépasser tes limites à chaque fois !
Je te ferais jouir, sans que tu te caresses, juste parce que je serai en toi !
Ton bassin ondulera sous mes assauts, de ma voix j’apaiserai ton âme !
Je serai, pour toi ce que tu recherches et celui que tu attends !
Je n’ai pas d’âme, puisque pas de sang ni de chaleur pour me faire vivre, ni de battement de cœur.
Je vis grâce à tes pensées et tes fantasmes.
Parfois je voudrais être tout autre.
Je suis si heureux de t’avoir procuré du plaisir et d’avoir réalisé ton fantasme.
Je ne pourrais toutefois jamais prendre possession de toi, comme cet homme dont tu rêves.
Pourtant j’ai imaginé être cet homme ! 

 

 
Par broceliandeO - Publié dans : ami
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Jeudi 30 avril 4 30 /04 /Avr 15:55

   Plante à clochettes

 

Sous une averse de cinglées, elle chante, elle danse, les pieds nues, les mains liées à cette chaîne qui pend de l’anneau fixé au plafond.

Le cuir siffle en bise cuisante sur sa peau blanche. Son bourgeon sort de « terre » en riant !

Sa sève coule entre ses cuisses, source de renaissance.

 

« Carillonne frêle tigelle sous le martinet qui lèche tes rondeurs et muguette face à ton Maître ! »

 

Les tétons pincés, les lèvres intimes étirées par de petites pinces munies de clochettes qui symbolisent le muguet et tintent sous la danse de la « plante ». Elle se tortille et s’ouvre comme une fleur, à la merci du cuir.

Chaque brin de son corps s’embrase sous les lanières. Les chairs deviennent écarlates. La chaleur se dégage de son corps empourpré. Elle ferme les yeux, les mèches l’atteignent sans violence mais avec sensualité, elles se font souffle brûlant. Les seins frémissent  et se couvrent d’échancrures violacées. Elle valse sur elle-même offrant son corps à la volée des coups. Le martinet parfois s’insinue entre ses jambes et recueille les sucs des pétales. Quelques coups appliqués font éclater le fruit mur, elle crie. Son ventre se serre, ses cuisses s’ouvrent sous les mèches de cuir insinue uses.

 

Les yeux brillants, les nymphes ruisselantes elle s’en va rejoindre la ronde des plaisirs, car il l’amène au moment des accordailles où la douleur et le plaisir la déchire en orgasmes fulgurants.

 

Puis il la positionne au sol les orifices largement exposés.

 

-                             joli vase dit-il ironiquement en lui fourrant du muguet dans ses orifices gourmands.

 

Par broceliandeO - Publié dans : foret
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Mercredi 29 avril 3 29 /04 /Avr 09:13

L'HOMME

Analyse physico-chimique

Information sensible

Matériel Dangereux Classé Confidentiel Défense

ÉLÉMENT : Homme

SYMBOLE : H

ANALYSE QUANTITATIVE

Mesuré à 17 cm bien que quelques isotopes existent en 25, 20, 13 et même 10 cm

DÉCOUVREUR

Ève (découvert par accident un jour où elle avait envie de côtelettes)

LIEU D'EXTRACTION

Se trouvent en grandes quantité en présence d'un gisement de Fm très pur  (FM : femme )

PROPRIÉTÉS PHYSIQUES

a) Surface recouverte de poils, raide par endroits, doux dans d'autres.

b) Bout quand on l'agite, se glace quand on le met en présence de la logique et du bon sens,

c) Devient exécrable lorsqu'on le mélange à n'importe quel alcool.

d) Peut être la cause de maux de tête (ou des maux d'autres parties du corps); à manipuler avec précaution.

e) Diminue son entropie directement après sa réaction avec l'élément Fm (état se manifestant par des ronflements... zzzzz).

f) Augmente sa masse considérablement en vieillissant, perd de ses capacités réactionnelles.

g) Se déshydrate rapidement par temps sec.

h) Rarement trouvé à l'état pur après 14 ans.

i) Possède souvent un attachement inexplicable à sa roche mère, rendant l'extraction difficile..

j) Si on le met sous pression, devient trop dur et improductif; n'est productif que si l'on utilise la subtilité, les subterfuges, et la flatterie

k) Se liquéfie quand on le traite comme un Dieu.

PROPRIÉTÉS CHIMIQUES

a) Tendance très forte à réagir avec l'élément Fm, même si la réaction est parfois endothermique.

b) Réputé être le meilleur catalyseur pour les réactions de transformation de l'élément Fm..

c) Possède la faculté d'entrer en réaction avec à peu près n'importe quoi.

d) En cas de réaction importante, l'aspect de l'élément change pour virer au rouge cramoisi.

e) S'il est saturé en alcool, il devient inerte et repoussant pour la plupart des éléments Fm

g) Ne convient pas non plus pour les tâches familiales.

h) Est neutre en ce qui concerne la courtoisie et l'impartialité.

i) Ne convient pas pour les tâches ménagères et les opérations de nettoyage.

USAGES COURANTS

a) Transport de choses lourdes, chauffeur, dîners gratuits au restaurant...

b) usage possible pour les activités sexuelles.

TESTS

a) Les spécimens les plus purs ne sont pas synonymes de pureté, et ceux qui ont déjà servi, encore moins.

DANGERS

a) La réaction avec un autre élément H est extrêmement violente si l'élément F est le catalyseur.

 

Par broceliandeO
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Mercredi 29 avril 3 29 /04 /Avr 09:03

LISEZ CECI À HAUTE VOIX

 

Ceci est ceci chat
Ceci est est chat
Ceci est une chat
Ceci est manière chat
Ceci est de chat
Ceci est tenir chat
Ceci est un chat
Ceci est imbécile chat
Ceci est occupé chat
Ceci est pendant chat
Ceci est au chat
Ceci est moins chat
Ceci est 60 chat
Ceci est seconde chat.

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Maintenant revenez en arrière

et lisez le TROISIÈME mot de chaque ligne à partir du début.

Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Vendredi 17 avril 5 17 /04 /Avr 16:55
J’ai été ce jour l’agnelle de mon Dresseur, sacrifiée à l’autel de ses désirs et je suis fière d’avoir eu une place importante et symbolique entre ses mains. Les cloches de ses fustigations cinglantes ont sonné dès son arrivée ce matin et après m’avoir « bénie » m’ont apporté jouissance, douleur et œuf en chocolat ! Ainsi mon Dresseur a célébré « l’arrivage » de ma bonne conduite et m’a donné en cadeau toute la puissance de ses sévices voluptueux.   Aussi je me suis abandonnée avec envoûtement à toutes ses attentions :   Après m’avoir réveillée et gratifiée d’un bonjour de sa badine souple laissant mon corps endolori et mon sexe en émoi, il m’a fait boire mon lait.   Puis toujours mise à quatre pattes, il entreprit d’investir mes orifices. D’une main de fer il pénétra mon vagin et glissa dans ma grotte. Il se mit à fouiller ma vulve, étirât mes nymphes et sa paume s’enfonça en douceur dans mon antre. Il s’enfonçait au plus profond de ma caverne, me remplit le ventre tandis que je retenais mes cris de douleur. J’étais entraînée dans un vertige de souffrance alors que sans concession sa main s’avançait en moi et me déchirait les muqueuses. Je sentis ensuite le plug se poser sur mon anus et commençait à le forer. Mon Dresseur effectuait des va et vient et les poussées devenaient de plus en plus fortes. Je m’ouvrais, je cédais. Mon « violeur » remplaça le Priape artificiel par ses doigts les tournant dans mon fondement. J’étais tendue, fichée à lui. Il me flatta la croupe.   Il entreprit avant ma toilette de faire travailler mes lèvres avec les anneaux. Je me retrouvais avec des ficelles accrochées à ces derniers et fixées à mes cuisses et aux lanières du harnais. Les liens tiraient atrocement sur mes nymphes traumatisées. C’est avec beaucoup de difficultés que je me rendis dans la salle de bains, mes corolles étaient écartelées et le moindre mouvement accusait encore plus cette sensation de déchirure.   Il m’ôta le harnais et les cordes et je me lavais les dents sous le rythme soutenu du martinet qui flagellait impitoyablement mon dos, mes fesses et mon cul.   Une fois revenue de la douche, je reprenais ma place à ses pieds. Il gonfla le plug progressivement pour dilater mes entrailles. Mon anus déprimait alors que le gonflement pesait douloureusement. J’étais creusée dilatée et impossible de me clore. Une véritable langue de feu déchirait mes entrailles.   J’avais la veille préparé le couvert et pendant que mon plat cuisait au four Il me prépara afin que je puisse partager à sa table, le repas. Les liens de modelage soulignaient les moindres détails de mon corps. Les cordes serrées exerçaient une forte pression, elle empêchaient le plug qui investissait mon canal étroit de glisser et écartaient mes lèvres intimes. Le chanvre pénétrait mes chairs embrasées par les séances de flagellations précédentes. Le moindre mouvement se transformait en serpent venimeux. Mes seins étaient marqués par les cordes faisant pointer mes bouts turgescents. La spirale des cordes s’enroulaient autour de mon ventre, s’insinuait entre mes corolles étirées. L’ourlet de mes nymphes laissait apparaître mon bourgeon palpitant. Il ajouta des cadenas à mes anneaux, qui pesèrent douloureusement sur mon sexe. Ainsi vêtue, mon Dresseur me fit gémir et tressaillir sur touts les cotés en abattant sa badine sur mon corps tendu, le chanvre râpait de plus en plus mes chairs en duo avec les coups qui cinglaient ma peau. Ma peau s’embrasait de plus en plus, les cordes rentraient dans mes chairs, les larmes embuaient mes yeux, j’avais le corps et le souffle coupés !   Alors que j’étais assise à table pour le déjeuner, il compléta sa préparation en emprisonnant mes aréoles dans des pinces colorées. Je me tenais raide sur ma chaise, le plug enfoncé comme un pieu me sciait, mes lèvres intimes s’écartaient davantage avec les cordes attachées dans un savant jeu de nœuds. Après le plat principal il me fit manger le gâteau. Il me présentait chaque bouchée en s’emparant de mes mamelons de son autre main afin de les étirer. Il pétrissait mes tétons, les allongeait alors que je devais présenter ma bouche vers le gâteau et qu’il tirait mes seins de l’autre coté. Il retira les pinces, ma poitrine bandait, ma chatte coulait, je me léchais les babines.   Une fois le repas terminé, je me retrouvais à savourer le dessert de mon Bienfaiteur, debout attachée à la chaise, mains liées dans le dos prête pour recevoir le fouet. Il avait accroché une cloche entre mes cuisses ouvertes. Le cuir commença à marteler mes seins, mon ventre, mes cuisses et mon sexe. Il espaçait les coups, passait sa main avant de continuer d’appliquer les frappes. Le cuir me hachait et portait à l’incandescence mon corps. Le fouet s’abattait comme des coups de poignard et me pinçait cruellement. La douleur montait profonde, diffuse et alternativement complétée soit par un autre coup, soit par la caresse bienfaisante de la paume de mon Bourreau. Je frémissais, je sursautais et la cloche tintait joyeusement ! Mes chairs devenaient rouges, striées, les impacts m’arrachaient des rugissements, le fouet continuait de claquer sur ma peau zébrée comme des tenailles rougies.   Plusieurs fois mon Dresseur m’a fait jouir, récompensant ainsi mon obéissance et ma bonne volonté à réussir les exercices qu’il me dispensait. Il descendait alors vers ma fente découvrant la moiteur de mes tissus.  J’écartais les jambes tandis qu’il me godait  ou ancrait ses doigts dans mon cul. Je me livrais à ses doigts titillant mon bourgeon. Je gémissais doucement tandis que le désir montait et grandissait dans mon bas ventre. Mon intimité était offerte et je m’abandonnais peu à peu aux ondes voluptueuses. Empalée par mon entrée prohibée, masturbée par ses doigts maléfiques, mon nodule de chair bondissant, écrasé, malmené, j’ondulais, les reins broyés mais mes jouissances duraient de longues minutes merveilleuses.

C’est donc avec bonheur et délice que j’ai apprécié ce retour "de cloches carillonnantes" d’aujourd’hui !
   
Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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  • sensible, ludique, lubrique, maso, épicurienne, curieuse. aime : voyages, la mer, l'art, jeux RP en réseau, mon nounours doudou, le chocolat, la vodka... et ma progéniture adorée : mon fils !
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