Mercredi 3 septembre 3 03 /09 /Sep 16:24

« L’INSOUCI-ANGE »

 

  

Entendez-vous la plainte émise par un ange

Se posant à genoux à vos pieds

Appelant la tendresse et hurlant ses louanges ?

L’avez- vous écouté ? N’est-il pas fidèle ?

 
Face à ses yeux dévoilant la détresse

Il n’y a que ces mains diaboliques

Pour dire son appartenance

Et que son âme lui est dévouée

 
Il brûle en ses mains, folie, détresse

Pour ainsi ne garder que l’espoir s’il en reste

Jouez aux sévices, riez de son humilité

Il vous sera toujours dévoué

 
Il ira cueillir les roses

Pour vous les offrir

Il insufflera sa vie

Pour s’épanouir auprès de vous

 
Cette femelle que vous posséderez

Cette femme que vous transformerez

Celle qui se donnera à vous

L’ange aux ailes liées

 

Par broceliandeO - Publié dans : sortilège
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Mercredi 3 septembre 3 03 /09 /Sep 05:54
La main potiche de guerre lasse
J'ai les doigts aux plaies du lit
Les comètes de satan aiguisent leurs tyrans
Nuit de planètes coups de poing
On détruit les liens
Malheur !
Le balayeur ramasse les coeurs
L'arroseur s'est suicidé dans leur sang
Comme il est sale ce mur
Le mur de crane au réveil
Le canon cloche aux église de sons
Le poignard hostie aux jésus anathèmes

Maiheuuuuuuuu... vous assure "z'ai" pas fumé la moquette
Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Mercredi 3 septembre 3 03 /09 /Sep 05:46


 

Par broceliandeO
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Mardi 2 septembre 2 02 /09 /Sep 19:02

Jouer avec les mots dans l'écriture, c'est pouvoir jouer avec les phrases sans avoir pour but de rendre une idée phraséologique.
Jouer avec les mots direz-vous alors, comme jouer avec les dés : sa chance !

Non.

Simplement, une succession de mots non préalablement pensés et classifiés, jetés pèle-mèle sur le papier, peut composer un ensemble d'idées maléables et adaptables à l'imagination, rendre l'idée par les mots, par les successions de mots, même sans cohérence ni mariabilité est tout expressif que dans la poésie à rendre l'idée dans une âme phrase.

Difficile de se faire comprendre alors ?  Non... si ces mots s'adressent à une personne attentive...

Je ne suis pas poète... mais je sais aujourd'hui que les mots, mes mots deviennent aujourd'hui l'expression nouvelle de "mon devenir poète nouveau"... je suis comme ce tout jeune enfant qui se fait compréhensible envers sa mère, avec des cris qui ne sont pas bien souvent des phrases...

Il y a désormais dans ma forêt, derrière un arbre... cette personne !

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Vendredi 29 août 5 29 /08 /Août 09:31
Pendant des années, j'ai mis cette fatigue sur le compte du manque de vitamines, de la pollution, du cholestérol, de la morosité ambiante, du bruit fait par les voisins, des embarras gastriques chroniques, enfin toutes sortes de choses qui vous font demander si la vie vaut la peine d'être vécue.

J'ai fini par réaliser qu'il n'en était rien. Je suis fatiguée parce que je travaille trop.
Il y a en France 60 millions d'habitants, sur lesquels 23 millions sont retraités, ce qui laisse 37 millions de citoyens pour faire le
travail...

Si l'on retire encore 23 millions d'étudiants et écoliers, les 3,8 millions de chômeurs, les 5,4 millions de fonctionnaires ou assimilés, les 525.000 corses, il ne reste que 4,275 millions de couillons pour bosser.

En soustrayant les 935.400 militaires, les 1.645.820 immigrés clandestins, les 937.690 personnes hospitalisées et les 756.088 taulards, il ne reste que 2 pauvres cons pour faire le boulot :

Toi et moi !
... Et toi, tu glandes là assis sur ton cul à lire ces conneries...
Pas étonnant que je sois surmenée !



Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Jeudi 28 août 4 28 /08 /Août 17:11
 Mario vous connaissez ???  mais peut-être cette version...    link

Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Mercredi 27 août 3 27 /08 /Août 17:24
Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Mercredi 27 août 3 27 /08 /Août 17:21

D

 

Des Di

Des dianes diaboliques qui dansent

Des divinités alitées qui désirent

Des divas adulées qui se donnent

Des dieux qui détestent les déesses sans délicatesse

 

Des Da

Des danaïdes timides qui défilent

Des dames vicieuses comme des madames délicieuses

Des dames bien qui se damnent sur le macadam

Des dactylos dociles qui divaguent

 

Des De

Des débuts de bustes débusqués

Des déshabillés de femme en flamme

Des demi-mondaines qui osent à toute heure

Des décadentes insolentes qui valsent

 

Des Do

Dominique unique

Des De

Deux sœurs

Des Da

D’aimer

Des Di

Dissociables mais « Duotistes »


Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Mercredi 27 août 3 27 /08 /Août 09:54

Un jour il m’emmena dans les collines, face à la lagune, là où les herbes ont le goût du sel.

-         Descendez de la voiture, mettez vous debout les jambes écartées, les mains dans le dos ! me dit-il sèchement

Je lui obéis sans broncher, inquiète.

Il m’entoura de ses bras et me caressa. J’étais sous ses doigts, sous ses lèvres comme une poupée. Sa main glissa sous ma jupe, passa sur mes lèvres, il plongea son index dans mon intimité à la recherche d’une humidité suspect.

Il me dit de me mettre devant la voiture penchée en avant, les mains sur le capot, jambes écartées. Il souleva ma jupe, je n’avais pas de culotte et je ne sais si c’était l’humidité de l’air ou de mon intimité, mes chairs étaient toutes frissonnantes.

Lentement derrière moi il me tourna la tête vers lui. Ses mains caressaient mes fesses mais peu à peu son toucher de douceur se transforma en toucher plus ferme, mais teinté d’amour. Il commença à me donner une fessée. Au début la fessée était légère et sans problème, je supportais les coups. La fessée devint plus robuste et les coups plus lents, à chaque fois que je recevais alors un coup, je ne pouvais m’empêcher de laisser sortir une plainte.

Ensuite sans avertissement, Maxime pris un fouet et les coups devinrent durs, rapides. Des coups et de la douleur intolérable, je retombais plus encore de ma stupeur que je me tordais sous la morsure de la lanière, et je sentais dégouliner ma jouissance entre les cuisses. Maxime me murmurait « je t’aime » que le vent emportait. Mes fesses étaient zébrées, il me prit avec tendresse dans ses bras, cueillit mes lèvres.

Le temps avait changé, le vent était tombé, le brouillard descendait, le froid aussi. L’eau de la lagune semblait morte. Les roseaux étaient immobiles, figés.

-         Il est temps que vous partiez

J’étais inerte, « désertée ». J’eus l’impression d’être visitée comme une maison abandonnée. J’étais une forme vide.

Je pris le chemin à travers la dune, le village, sans rencontrer personne en direction de la gare.

-         Vous avez de la chance me dit l’employé, c’est le dernier. A partir de demain la ligne est désaffectée.

Du côté des collines le ciel se couvrait, la lagune avait digéré Maxime.

 

Combien de temps plus tard, nul ne saurait le dire.

Le téléphone sonna.

-         Allo, j’arrive

Je raccrochais le téléphone que déjà la sonnette m’avertit de sa présence.

Il était devant moi, il me contemplait, je restais immobile.

-         Ode, je me sens si loin de moi que je comprends que je ne peux me passer de vous. J’ai honte de moi, j’ai faim de votre chair, de votre corps.

Mon cœur se mit à battre très fort.

-         Je vous aime, je t’aime pour votre appartenance, pour la difficulté que vous avez d’accepter mes ordres, mes désirs. Je vous suis reconnaissant de me donner ce bonheur intense. Je T’aime, je Te chéris, je Te respecte, Ode, ma Ode, ma soumise. Acceptes-tu de porter ma marque et je serai ton esclave.

Je baignais sous le charme de sa voix, de ses paroles, de cette déclaration d’amour. Je me sentie Femme complètement. J’étais heureuse comme je ne l’avais jamais été.

Depuis notre « union » est une union sans cesse renouvelée entre la créativité du Maître et les talents de l’esclave ou l’inverse. Chacun est en même temps le Maître et l’esclave de l’autre.


 

 

Par broceliandeO - Publié dans : foret
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Mardi 26 août 2 26 /08 /Août 14:34

Me voici dans une pièce vaste, la bibliothèque. Les boiseries, les clairs-obscurs de l’éclairage, l’immense lustre, les reliures de cuirs, les objets exposés dans la vitrine, m’inquiétaient et me fascinaient à la fois.

Il retira mes vêtements. Je ne savais pas quoi faire de mes mains. Il m’informa de les placer au dessus de ma tête.

- Je vais préparer votre avenir.

Il se plaça en face de moi tenant dans sa main mon premier objet de supplice, une badine.

-         Tu m’as fait attendre trois minutes au restaurant, tu vas apprendre à ne plus recommencer.

Je compris au tutoiement mon erreur et la punition que j’allais avoir pour ce manquement. Je frémis, d’impatience, de curiosité, de crainte, d’envie…

Il me caressait doucement le cou, les épaules, le long des bras, les mains, les cuisses, les mollets, le dos, les fesses, les seins, le ventre.

Premier coup, juste et fermement posé sur ma fesse gauche. Je sursautais, je poussais un petit cri. Il me demandait d’écarter les jambes. Je m’exécutais. Second coup, fesse droite. C’est ainsi que je découvris la chaleur cinglante et délicieuse de la badine.

Je reçus  une dizaine de coups sur chaque fesse pour l’avoir fait attendre et pour mon effronterie au serveur.

Il me voulait à genoux maintenant, droite comme un prie-dieu, mains derrière la tête. Je m’exécutais docilement, impatiente, le sexe dégoulinant.

Bruit métallique des pinces qu’il venait de fixer sur mes tétons. La pression douloureuse de la morsure de ces étaux me fit dresser le torse. Je savais que mes seins pointaient. Je mouillais encore plus.

Des frissons me parcouraient tout le corps tandis que Maxime me caressait l’entrecuisse. Je tressaillis lorsque ses doigts atteignirent ma vulve. La main qui pressait mon pubis m’obligeait à ouvrir un peu plus mes cuisses. Il promena un long moment deux doigts au bord de ma fente. Il pénétra mon vagin déjà bien mouillé. J’oubliais l’impudeur de mon attitude et me cambrais pour accentuer la pénétration. Il faisait sortir mon clitoris et le titillait du bout de son index, tout en faisant tourner son majeur à l’intérieur de mon vagin.

Je fermais les yeux, sentant la jouissance envahir peu à peu mon ventre. Je me mordais les lèvres pour retenir des gémissements de plaisir. Maxime accélérait les mouvements de son majeur dans mon vagin qui se contractait alors que son index appuyait sur mon bourgeon gonflé, je jouissais soudainement, tout mon ventre était agité par des spasmes violents.

Maxime sortit du sexe son doigt trempé par mes sécrétions intimes. Il faufila sa main et insinua un doigt dans mon sillon moite et profond. Un frisson violent agita tout mon corps lorsque son doigt força la bague du cul. Il faisait tourner le bout de son majeur et s’enfonçait.

Des vibrations intenses agitaient mes entrailles. Le plaisir se mêlait dans ma chair à la douleur tandis qu’il avait introduit un deuxième doigt et les remuait au plus profond.

Puis il alla s’asseoir dans un fauteuil, m’invita à poser mon visage sur ses cuisses. D’une main il caressa tendrement mon visage.

J’étais sereine, Reine, sa Reine.

-         Je vous fais confiance, à demain… Il me quitta sur cette phrase, je venais de signer le pacte qui m’unirait à lui.

Les jours qui suivirent Maxime me poussa dans mes derniers retranchements, je lui dévoilais tout. J’ai su alors que ce serait autour de la domination que je l’aimerai et qu’il m’aimerait.

A partir de ce jour là, il m’accueillait toujours dans cette pièce, il me donnait des ordres du regard, dès la porte fermée. J’ai commencé à devenir moi-même, j’étais certaine j’avais trouvais mon guide, je lui avais dit, il m’avait embrassé avec tendresse.

J’aimais son teint pale, ses cheveux blonds et ses lèvres minces. Ses yeux étaient froids et gris comme l’eau de la lagune.

Je lui avais redit toute l’émotion qui m’avait saisie quand il m’avait adressé la parole pour la première fois. Je m’ennuyais un peu, près du grand buffet, un verre de champagne à la main, quand il s’était approché de moi. J’avais aimé sa voix chaude et grave, ses yeux sombres, son ton ferme. J’avais été troublée par cet homme d’une quarantaine d’années, sur de lui au point d’en être presque odieux.

-         Vous êtes amoureuse, mais c’est plus de l’amour que je veux de vous. Je déteste les amours faciles.

J’avais reçu ces mots avec joie.

-         Si vous m’aimez reprit-il, il faudra vous donner, au sens le plus fort du MOI complètement.

J’avais le sentiment de renaître. Tout était plus fort, il m’avait fait découvrir de nouvelles sensations, de nouveaux plaisirs, plus violents. J’atteignais des sommets, découvrais la fabuleuse dimension érotique de l’attente, celle qui précède les explosions des sens. Celle qui ouvrent toutes les parcelles du corps à toutes les émotions, à tous les débordements, à toutes les endurances…Celle qui accompagne les préparations. J’aimais les plaisirs violents, même attisés par la douleur tant elle est sensuelle. Maxime était exigeant et tendre pas barbare.

Il avait commencé progressivement mon éducation anglaise, puis vint mon dressage intensif. Il me voulait prête pour lui. C’est ainsi que notre engagement a pris jour. Notre contrat!

Il m’attachait souvent en levrette sur une table basse. Puis il prenait soit la badine, soit la cravache et les coups s’abattaient sur mon corps offert et ma vulve. Les frappes rendaient alors mon sexe plus réceptif et beaucoup plus accueillant. Il me préparait à des orgasmes fulgurants.

Maxime forçait le rythme avec amour et patience pour que je commence à transcender mes tourments. Ce fut la révélation, j’en pleurais mais j’étais fière. L immensité de mon amour me permettait de surmonter l’épreuve. Le plaisir ardent dépassait la souffrance, me stimulait, me rendait belle.

-         Ode, veux tu devenir mon esclave ?

-         Oooo ! Oui répondis-je

J’avais rêvé de ce moment. Il avait continué, debout au milieu de la pièce.

-         A genoux devant moi ! M’avait-il ordonné et il m’avait passé un collier

Je savais que j’étais en sécurité. J’avais mon cadeau, j’avais mon collier.

Je me sentais grandir, devenir la propriété de l’homme que j’aimais, propriété absolue du Mentor. J’ai senti aux raffinements de ses coups que je venais d’acquérir mes lettres de noblesses. J’ai compris que l’amour qu’il me portait, tendait à l’infini.

Cette dimension cérébrale qui s’était établie, le plaisir qui m’avait envahi, ces envies, ces inquiétudes voluptueuses ne me quittaient plus, j’étais sienne, je m’abandonnais.

Il m’aimait, il était en quête d’absolu, il me consacrait son temps. Il agissait comme un seigneur quand il me châtiait, il était en symbiose avec moi, il me fascinait. Pour lui je  voulais être jour et nuit un objet d’agrément, un objet érotique, un objet de luxure.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
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