Dimanche 28 septembre 7 28 /09 /Sep 17:52

SOIREE CINGLANTE

 

Alors qu’il l’avait attachée à l’anneau du portique en suspension, les bras étirés au dessus de sa tête, elle frissonna lorsque l’homme posa sa main entre ses jambes pour s’insinuer sur sa vulve rebondie. Les doigts de l’homme écartèrent la lisière de ses corolles et atteignirent la chair frémissante de son intimité luisante. Elle écarta les cuisses instinctivement, elle avait été dressée pour cela ! Elle s’offrait aux doigts qui exploraient son sexe. Elle se cambra tandis que les doigts entraient dans sa fente humide et chaude, gémit lorsque ces derniers tournèrent dans l’entaille moelleuse et pressèrent son clitoris. Elle était toute mouillée, elle s’abandonnait au désir sous les caresses insistantes, elle sentait une vague de plaisir l’envahir, son bouton était tout gonflé, elle allait jouir mais l’homme s’interrompit, lui claqua sèchement les fesses et se recula.

-         vous allez être fouettée et nos amis vont pouvoir apprécier le spectacle dit-il en prenant son fouet.

Ces paroles la rappelèrent à la réalité, son Propriétaire avait convié ce soir un groupe d’amis, elle n’était là que pour agrémenter cette soirée. Les personnes avaient pris place autour d’elle, elle ferma les yeux, elle était l’esclave mais elle était fière, elle rouvrit les yeux, toisât l’assemblée après tout c’était elle « l’objet de convoitise » de la soirée !

Certains hommes palpèrent son corps, tripotèrent ses seins, d’autres investissaient ses orifices, la fouillant sans ménagement, on lui pinça durement les tétons… elle se cambra relevant la tête comme pour montrer son indifférence devant ces étrangers. Seul son Maître pouvait la faire réagir et elle était bien décidée à leur prouver…

Alors le fouet commença à partir sur elle, il s’enroulait sur son corps la fouettant méticuleusement. La flagellation la faisait tournoyer sur elle-même, elle offrait chaque parcelle de son corps à la lanière de cuir cuisante. Rapidement sa peau fut marquée par des traces rougeâtres régulières. La mèche tombait sur ses rondeurs et l’irradiait à chaque impact d’une brûlure mordante, elle mordait ses lèvres, elle ne voulait pas crier. Elle laissa échapper des gémissements alors que le fouet frappait sa poitrine. Le cuir alternait chaque mamelle laissant apparaître des lignes rouges puis s’abattait ensuite sur ses fesses. La flagellation continuait sur tout son corps et les zébrures couvrirent sa peau de manière harmonieuse.

L'homme prenait le temps de lui laisser reprendre son souffle et passait sa main sur les boursouflures. Les coups étaient donnés avec minutie, alternant douceur et intensité. L’esclave se tordait dans les liens et la corde qui enserrait ses poignets la brûlait. Son Tourmenteur la fouettait à la volée derrière et devant et les spectateurs se délectaient de la voir onduler sous les frappes.

Elle sentait sa chatte s’humidifier de plus en plus, la cyprine débordait de sa vulve, des larmes coulaient sur son visage. Le sifflement du fouet claquait parfois l’air la faisant frémir avant de s’abattre sur son dos en diagonal. Une brûlure traversait ses chairs immédiatement, les coups se croisaient, elle dansait de plus en plus. Les cinglées continuaient de pleuvoir, son ventre se serrait, involontairement elle écartait davantage les jambes. Son Propriétaire comprit et laissa s’égarer le fouet entre ses cuisses. La mèche du fouet frappa son sexe, tétanisa son clitoris ce qui déclencha un hurlement de douleur de la part de son esclave suivi d’un râle de plaisir, elle venait d’avoir un orgasme !

Elle pleurait, elle s’était abandonnée, son Maître passa sa paume sur son corps meurtri, recueillit une larme sur sa joue et lui murmura.

-         vous serez punie pour avoir joui sans mon autorisation !

Il la laissa pantelante dans ses liens tandis que les commentaires allaient bon train et que les convives prenaient un verre.

Puis il vint la détacher, la conduit en laisse dans un coin de la pièce. Elle était en boule à terre, la croupe relevée comme il le désirait. Il lui permit de laper l’eau de sa gamelle qu’il lui avait posée près d’elle. Elle lui lécha les pieds.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 26 septembre 5 26 /09 /Sep 09:09

« PREMIERE BOUM »

 

 

 

Il m’avait laissé un message sur mon répondeur : j’ai une surprise pour vous, rappelez moi d’urgence »

 

Nous étions vendredi soir. Je n’osais même pas espérer mais allait-il enfin me sortir ?

 

Le téléphone, c’est lui.

-         tenez vous prête pour vingt deux heures au feu rouge au bar près de chez vous. Vous aurez votre corset.

 

A peine a-t-il raccroché, que mon visage s’illumine… puis bien vite l’anxiété m’envahit. Où va-t-il m’emmener ? Saurai-je bien me tenir ? Je sentais déjà l’humidité naissante.

 

Je suis alors comme l’adolescente lors de sa première « boum » accompagnée par son grand frère. Fébrilement je passe un temps infini à me préparer. Ouf je me suis épilée ce matin. Côté vestimentaire je n’ai pas à  décider, il a choisi, comme du reste toujours il choisit, me guide, me protège, m’enseigne. C’est vrai que « Monsieur » O…, n’est pas mon Maître, il est plus c’est comme un grand frère, un référant qui me guide, me conseille et ce soir il sort sa « jeune sœur » dans la cour des grands. Alors plus de crainte, je suis en confiance, il me connaît.

 

 Très excitée à l’idée de sortir je me dirige vers le lieu de rencontre. J’ai pris soin de fermer mon manteau, cachant ainsi ma jupe moulante et courte, j’ai noué une écharpe pour ne pas laisser apparaître mon collier et je l’attends en retrait, de crainte qu’ainsi vêtue, maquillée un peu plus que d’habitude les voitures ne puissent me remarquer et supposer…

 

Une voiture ralentit, je ne puis deviner le visage du conducteur… j’hésite mais c’est bien lui.

 

Je me retiens de lui montrer mon enjouement mais après tout cela n’est pas nécessaire, il le sait bien …

 

Impossible de me souvenir de notre conversation durant le trajet, mon esprit vagabonde et une seule pensée, être digne de lui !

 

Youhaaaaaaaaaa le bonheur, pour cette première sortie, il m’emmène chez Cris et Chuchotements, savait-il donc que je le souhaitais tant ? Cet endroit magique, mystique, cette nuit j’évoluerai dans ce lieu.

 

Porte discrète, O… sonne, Jeff nous ouvre, je sais que c’est lui car O… a pris le temps de me donner quelques indications.

Nous sommes accueillis comme si nous étions attendus. Notre hôte se montre prévenant, il connaît bien mon chevalier servant. Mes yeux sont grands ouverts la porte passée, je suis plongée dans un autre monde. O… me présente.

-         voici BrocéliandeO, c’est sa première sortie. Dit-il d’un ton protecteur comme si il prenait son rôle de grand frère au sérieux !

 

Quelques paroles rassurantes, mise en confiance de la part de Jeff et je suis invitée à découvrir les lieux.

 

Je précède O…, qui tient à la main son fouet et descend l’escalier de pierre. La cave, première pièce, le salon, les lumières tamisées, je sais que des personnes sont assises mais tête bien haute mes yeux fixent le décor, de crainte de croiser leur regard me dévisageant.

 

 La visite commence, j’ai droit aux commentaires techniques. Les petites lumières dessinent au travers des ténèbres, une scène de théâtre mettant en valeur le décor.

 

Au fond, au bout de cette première salle, deux petites salles, comme l’autre, pierres apparentes, avec toujours cette lumière comme celle de chandeliers illuminant l’appareillage de chaînes fixées à la voûte des murs, la croix saint-andré. Je caresse cette dernière comme une enfant qui découvre enfin un merveilleux jouet jusqu’à alors tant convoité dans les catalogues.

Puis c’est au tour d’une table de fessée, le sling, un curieux tabouret, un fauteuil en suspension… je ne sais quoi encore…

 

O… me guide, matérialisant mon rêve. Progressivement, l’âme secrète, captive, suinte de ce lieu, et s’empare de mon esprit.

 

Je me retrouve debout, attachée à la croix. C’est délicieux. Il place les menottes à mes poignets et chevilles, je vacille dans les entraves rien qu’à l’idée qu’il va me caresser de ses lanières de cuir. Je suis offerte, écartelée, au rythme des cliquetis métalliques qui accompagnent ma crucifixion.

 

De l’extrémité de son fouet il caresse mon corps, ma respiration s’accélère. Esclave de mes rêves, de mes désirs.

Esclave de ses rêves, de ses désirs fous.

 

Je voulais voir ma jouissance mais Jeff me passe un bandeau. Je proteste mais en vain.

 

Je suis totalement sous l’emprise de mon « grand frère », je sais qu’il se recule, qu’il me regarde… moi sa captive d’un soir !

 

Il a son fouet aux lanières souples, doucement il entame la sonate de cuir, il me caresse du haut vers le bas, lèche en amples mouvements à gauche, à droite mes rondeurs, ponctue de coups plus vifs mon corps me faisant ainsi onduler sous les frappes délicieuses.

Il surprend ma fourche enchaînée de mes cuisses, me fait sursauter et frémir.

Il me semble qu’il joue ainsi longtemps.

Il ajoute à ma peur du noir, ces mots qui me troublent.

-         il y a là un homme qui vous admire depuis un moment…

 

La sueur perle sur ma peau et lorsque le cuir s’oublie sur mes seins, sur mes jambes, mes bras, mes doigts, des gémissements rauques feulent du fond de ma gorge.

Cuir noir et acier.

Aria fauve aux fragrances moites.

 

J’imagine dans la lueur pale qui baigne la cave, les froissements et les glissements, les claquements et les aplats mats, les soupirs et les murmures, les tintements et les résonances métalliques qui se mêlent en mode mineur dans une passion selon le plaisir.

 

Je vacille sur mes jambes, je dégouline de plaisir. O…  m’effleure et glisse sa main sur mon intimité.

 

Je tremble lorsque le fouet déchire l’air autour de moi. Je tressaute lorsque le cuir se fait insistant, peu à peu je sens le désir m’inonder, ouvrant ainsi la voie de mon plaisir…

Je m’abandonne alors en plaintes voluptueuses... Je parachève ma jouissance sous le rythme caressant des cinglées. J’exalte et laisse échapper mon plaisir. Je n’entends plus rien, je suis seule avec mon orgasme qui me ravage le ventre.

 

Puis plus rien. Mes membres sont engourdis, ma peau me chauffe, ma vulve pleure.

 

-         je vous la laisse.

 

 

Silence…

 

J’essaie de me ressaisir, de me redresser, j’entends le bruit d’acier, la crainte m’envahit…

-         inquiétant de ne pas voir mais excitant, non ?  cette voix rauque, un inconnu, je sens son souffle sur mon cou. Ses doigts me caressent. Il me questionne. Ai-je été sage cette semaine. Je me sens dans l’obligation de lui avouer, non sans une certaine fierté, la satisfaction de savoir que j’avais excité « Monsieur » alors qu’il se trouvait seul à l’hôtel.

 

Il me répond que c’est mal et qu’il me faut être corrigée.

 

Enfin le foulard est retiré, O… est là et se délecte de voir mon air inquiet et mes joues rougies de honte ou bien de plaisir ? J’hésite à poser le regard sur cet homme. O… me présente un verre avec une paille afin que je puisse ainsi m’abreuver, je suis rassurée de savoir qu’il est resté présent à mes côtés.

 

P…, c’est le nom de cet inconnu, me détache de façon asymétrique. Un vicieux celui la. Je dois donc finir de me détacher. Cela amuse les deux hommes.

 

Je reçois l’ordre de m’installer sur la table à fessée.

-         retroussez vous et prenez place ! prononce O… le ton est sec et sans appel

 

P… commence alors à me corriger. J’offre ainsi ma croupe, mon pubis et mon anus aux regards. Monsieur commente cette vue.

 

Il prend la relève et il faut dire que j’adore ses mains, le ballet qu’il exerce sur mes formes, il sait si bien jouer de ses paumes.

-         P… a une très belle vue sur vous chère « petite sœur ». Il décrit mon oeillet, obstrué par mon bijou rosebud et il précise que j’ai comme des petites lèvres en corolle tout autour de ce dernier.

 

Je ne suis alors qu’un morceau de chair à la vue de tous et j’avoue aimer.

 

Des frissons me parcourent alors que la paume de Monsieur me claque. Mes muscles se tendent, il me claque bien fort. Je dois avouer que j’exorcise ces jours de frustration et de désirs…

 

O… ne se prive pas de faire remarquer à l’assemblée que ma chatte est bien ouverte et baveuse.

 

Le fouet a marqué mon corps de belles stries régulières, la fessée a plus qu’échauffé et rougi mes globes fessiers. Mise en scène, moi au centre de l’arène sous les « projecteurs », où je me livre, où je me laisse emporter par le Maelström du plaisir des sens…

 

Je me remets difficilement de mes émotions tant la tension fut forte. Je me blottis près d’O…, j’ai besoin de tendresse.  Nous sommes maintenant dans le premier salon, le bar.

 

J’ai l’impression de voguer. Pascal le Maître des lieux, m’apporte un jus d’orange. Je me sens bien …

 

Ce soir j’ai vécu une forte expérience, une sensation torride, un brasier de sexualité dans cet antre.

 

Je répète ces images, ces instants passés, qui ont précédé le véritable désir, qui s’estompe dans les limbes.

 

Cette nuit là le plaisir a été un ouragan qui m’a emporté dans les abîmes du plaisir.

 

Je suis encore plus la petite sœur, heureuse de sa première sortie accompagnée par son frère et j’en fais part à Monsieur.

 

Les réverbères de la ville défilent dans mon regard, la nuit de l’asphalte s’engouffre sous les roues… les raies de lumière blafardes glissent… je me jette dans les bras de « mon grand frère » pour le remercier.

 

Quelle belle première sortie je suis fière d’avoir grandi !

 

 

 

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Jeudi 25 septembre 4 25 /09 /Sep 17:28

Comme crucifiée à lui, clouée sous des désirs ardents,

Je songe au plaisir qui est le notre.

Entre ses mains sataniques, je deviens archange,

Il me consume en sacrifices démoniaques

Ceinte à ses sévices,

Je plie, je me perds,

Sous ses entraves je m’abandonne,

Je le supplie, j’abdique sous mes cris

Afin qu’il les recueille…

                

Par broceliandeO - Publié dans : sortilège
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 24 septembre 3 24 /09 /Sep 17:43

Hier je me suis retrouvée à faire de la figuration pour canal plus (groeland magazine) et j'ai passé un super moment. C'était tres amusant et je me suis prise au jeu, même qu'il y a eut une prise de "vue" où j'embrasse la star !!!
L'ambiance était sympa, on a tous bien ri ...

Amy Winehouse c’est des poumons de chanteuse black dans un corps frêle(de petite anglaise 100% blanche. C’est une voix chaude et puissante capable de nous faire frissonner. Dans une certaine mesure bien sûr, on aime son look dégingandé, mi pin’up, mi rockeuse. On adopte son trait d’eye-liner, en plus fin tout de même, pour ne pas donner l’impression qu’on s’est « ratée ». Et puis on ose la choucroute, réduite de moitié.  

Elle abuse plus que de raison des substances illicites et de l’alcool.
Foire régulièrement ses concerts, laissant ses fans sur leur faim.

ainsi j'ai pu faire la connaissance de son sosie !!!  link

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 20 septembre 6 20 /09 /Sep 08:47
     link          cela m'éclate toujours !
Par broceliandeO - Publié dans : Délire
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 04:05
Je kiff le dernier album de kerry James.... ahhhhhhhhhh link   ainsi que link  un vrai régal !

Kery James est un rappeur français, né le 28 décembre 1977 aux Abymes en Guadeloupe, de parents haïtiens. Il est élevé par sa mère à Orly en banlieue parisienne, dans le Val-de-Marne.







Par broceliandeO
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 17:53

Il lui avait apporté du chocolat ! Chocolat… hum….

Cette douce friandise qu’elle léchait, croquait alors que le fouet s’égarait sur son corps. Comme ce mot chocolat convenait à ce moment, celui la même qui résonnait comme les coups qui s’abattaient sur le corps gourmand ondulant de volupté sous le rythme doux et soutenu des lanières de cuir. 

Les mayas connaissaient bien avant nous ce délice ! « Choco » pour le bruit, « ati » pour l’eau… l’eau des larmes, du plaisir, bruit... Allusion au fouet celui qui dissout et fait mousser le chocolat dans cette eau !

Les carrés curatifs adoucissaient les coups qui pleuvaient, masquaient leur dureté pour ne devenir que plaisir et laissaient ainsi déborder tous les sucs de sa vulve gourmande ! 

Ah mais je rêve… j’ai plus de chocolat à la maison… snif !

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 17:38

Etre maso ne me fait pas rejeter mes sentiments : mon désir d’aimer, d’être aimée… c’est même cela qui fera que je puisse m’abandonner totalement vers l’Elu de mon corps certes mais aussi de celui qui saura conquérir mon coeur !

 Et puis vous autres Dominant(e)s  ne réfutaient pas vos sentiments, ne pensez pas à tort que cela pourrait amoindrir votre « autorité » et songez que vous avez là une personne unique et si règles doivent être établies elles se doivent aussi d’être uniques comme les sentiments partagés !

 

Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mercredi 17 septembre 3 17 /09 /Sep 07:19
JJe vous recommande cet ouvrage

Les infortunes de la Belle au Bois Dormant d’Anne Rice

 

Plus connu pour ses livres sur les vampires, Anne Rice s’est adonnée également à la littérature érotique avec ce roman en trois tomes et met en scène le personnage de la Belle au Bois Dormant qui sera initiée à l’amour et au plaisir dans la douleur et assouvira les désirs et les fantasmes d’une bien étrange cour s’adonnant sans retenue aux jeux voluptueux de soumission et de domination.

 

Par broceliandeO
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 11 septembre 4 11 /09 /Sep 21:18

Les claques douces et puissantes sur les globes frémissants annoncèrent le début du « concert ». 

Anguille au pieds du Maestro, elle ondulait dans un état d’équilibre entre tension et plaisir, impudique, cul relevé, buste posé à terre, se trémoussant outrancièrement tandis que les doigts maléfiques caressaient son clitoris.

Doux supplice de sentir son petit nodule pointer son museau, cet insouciant petit organe de plaisir vibrant comme une corde de violon et se dressant au bord de l’apoplexie.Sous les flatteries machiavéliques elle partait totalement, était en transe. Chienne, elle sentait l’odeur de sa jouissance libérant comme une furie la chaleur de son ventre. Dévastée par les frissons jouissifs elle s’abandonnait en une danse frénétique suivant  la partition de cette musique symphonique.  Les doigts « pianoteurs » n’oubliaient pas les « cuivres » au fond de sa grotte et de son fondement, plaquant l’accord final.
Il la branlait de plus en plus vite, elle tremblait, elle bandait, elle chantait… véritable concert de volupté !

 Puis il installa « son instrument »pendu à l’anneau mural, les bras liés au dessus de la tête, sa peau était une page blanche sur laquelle le compositeur allait placer ses notes. Les lanières du harnais dessinaient les lignes musicales, parallèles et équidistantes telles une portée sur la partition vierge. 

Tel un métronome, il abattait son fouet sur le corps offert. Sous les coups sonores elle dansait, elle accompagnait chaque variation de claquement se balançant au rythme de la mesure imposée. Des zébrures colorèrent la peau blanche, la musique allait crescendo, elle gémissait et se tortillait sous les cinglées mordantes. Elle entama une sérénade à chaque impact qui laissait une belle strie rouge. Les coups léchaient ses rondeurs avant de les mordre et de graver les marques impudiques du plaisir et de la douleur mêlés. La fustigation devenait une suite de croches endiablées qui emportèrent cette « muse » dans une musique voluptueuse. Sous l’effet des gammes, elle devenait sonate. Les mesures s’emballaient, elle était le chœur de l’orchestre aux bémols douloureux et aux dièses jouissifs.

Pas de fausses notes mais une harmonie totale entre le compositeur et « son clavier ».


Symphonie de délice... 
link   A vous de "jouer"

Par broceliandeO - Publié dans : foret
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Février 2025
L M M J V S D
          1 2
3 4 5 6 7 8 9
10 11 12 13 14 15 16
17 18 19 20 21 22 23
24 25 26 27 28    
<< < > >>

Profil

  • Le blog de broceliandeO
  • broceliandeO
  • 05/02/1958
  • Célibataire
  • sensible, ludique, lubrique, maso, épicurienne, curieuse. aime : voyages, la mer, l'art, jeux RP en réseau, mon nounours doudou, le chocolat, la vodka... et ma progéniture adorée : mon fils !
  • Femme

Liberté

A comme...

Flash !

  • keryjames02.jpg
  • WOW.jpg
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés