Lundi 25 août 1 25 /08 /Août 16:56

Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Lundi 25 août 1 25 /08 /Août 16:54

Maxime se taisait pour goûter ma réflexion muette. Il me laissait imaginer des images et des sons sur tous ces mots. Très certainement des sensations diffuses se bousculaient-elles dans mon esprit. La finesse du vin et du dessert qui m’étaient maintenant servis provoquaient, eux aussi, une belle alchimie.

 

Il me présenta un petit sac.

-         vous allez sortir le contenu dans les toilettes, suivre les indications dans la lettre écrite à cet effet. Retour ici dans dix minutes, pas une de plus.

-         Bien Trop heureuse de pouvoir m’échapper un instant et naïve au point

   de croire à un présent.

 

La lettre :

L’objet noir, de forme conique s’appelle un plug, sa destination : l’anus

Les deux boules en argent ce sont des boules de Geisha, elles ont pour destination le vagin.

Vous disposez de dix minutes depuis le moment où vous avez quitté la table. Chaque minute de retard, vous recevrez une correction appropriée.

Maxime

 

Je m’enfermais dans une des toilettes, introduisis les boules de geisha facilement dans mon vagin tant j’étais mouillée. Je me servais de ma mouille pour le plug avec lequel je me « bagarrais ». J’avais mal, j’avais du mal, je me pliais, écartais les jambes… Ouf le voici en place et en légères pressions je vérifiais si il tenait.

 

Treize minutes plus tard, la démarche hésitante, pas très rassurée par la présence des deux objets en moi, je me présentais à lui, mis du temps pour m’assoire. Mes yeux brillaient, entre gêne et bonheur.

 

J’étais mal à l’aise.

Je ne mangeais plus rien, alors que le met était exquis. Notre conversation me troublait-elle au point de me couper l’appétit gastrique et de développer mon appétit charnel ? Pourtant, c’était bien moi qui avais demandé une glace parfumée aux fruits de la passion. Quelle imprudence !

 

-         votre dessert m’a mis l’eau à la bouche. Goûtez donc au fruit de la passion.

 

Je réalisais ce dont il s’agissait. Ma  main posa le verre, glissa sous la nappe, disparut sous la table…

 

-         Votre chatte est-elle enivrante ?

 

Pour toute réponse, je plongeais mon regard dans le sien avec un léger plissement des yeux. Très délicatement, avec des manières de bourgeoise, je lapais mes doigts comme s’ils étaient maculés de chocolat ou de crème.

-         Vous aimez ça.

 

Le garçon passa. Maxime le héla pour l’addition. Nous nous levâmes. Le maître d’hôtel nous demanda si le repas nous avait convenu.

 

-         C’était parfait, dit Maxime

-         Mais ce n’était qu’un hors-d’œuvre, ajoutais-je avec défiance.

 

Une bien belle insolence dont il me faudra rendre compte.

Le taxi nous déposa chez lui.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
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Vendredi 22 août 5 22 /08 /Août 10:16

20h30 J‘étais sur la place, le restaurant de la Dune en mire, j’appelais. Il me demandait alors de me rendre dans le restaurant et de le rejoindre en demandant la table de Monsieur Maxime.

J’entrais dans le hall le cœur battant. Le Maître d’hôtel s’approcha ;

            -  Bonsoir, avez-vous effectué une réservation ?

            -  Monsieur Maxime m’attend

 

Il me précéda et nous traversâmes la salle, je l’aperçus, regard sombre, il ne bougea pas, ne se leva point.

-    Prenez place Me dit-il d’une voix décidée.

 

C’est ainsi que je m’attablais, retirant mon manteau que je confiais au maître d’hôtel. Le serveur se présenta pour recueillir le choix des apéritifs.

Dans l’attente, nous devisions de tout et de rien quand, soudain, il se penchât vers moi pour me susurrer quelques mots à l’oreille.

-         Débarrasse toi de ta culotte et donne la moi.

 

Le ton était doux mais la voix ferme. J’étais aussi surprise que choquée.

-         je ne veux pas, répondis-je.

-         dois-je vous rappeler qu’un acte de désobéissance entraînera aussitôt la fin de notre entrevue ?

 

J’en convins et je lui dis que j’étais prête avant de me défiler en bredouillant :

-         je ne sais comment faire.

 

Il condescendit alors à m’expliquer que je devais commencer par faire glisser la taille de ma culotte avant de me trémousser discrètement jusqu’à ce qu’elle glisse le long de mes jambes pour atteindre mes chevilles.

Je devais alors prétexter la chute de ma serviette pour qu’il puisse la récupérer.

 

J’obtempérais enfin. C’est les joues rosies que je m’exécutais et nul ne doute que mon sexe devait être moite et pour tout dire, dégoulinant. (De honte à moins que ce soit d’excitation…)

 

Il était vrai que mon intimité était désormais nue et, ainsi, réceptive au courant d’air et aux caresses de l’étoffe de ma robe.

Je m’assis …mal.

 

-         Chère Madame, ne vous rappelez vous pas d’Histoire d’O ? Vous devriez savoir que la position assise est celle du « cul nu ». Le séant doit être directement en contact avec le cuir ou la paille afin que la fraîcheur du siège vous élance où que le  godemiché qui y a été disposé vous pénètre profondément et vous immobilise. Rectifiez donc la position.

-          

J’obtempérais enfin sans rébellion.

 

-         votre culotte ! me demanda t-il.

-          

J’étais interloquée, étonnée, interdite. Quoique, à la réflexion, si peu tant il est vrai que je n’étais pas finalement qu’une effrontée.

 

-         Donnez moi votre culotte, répétait-il avec plus de fermeté avec un froncement de sourcils.

-         Mais vous n’y pensez pas, je ne peux pas ? Pas ici, devant tout le monde. Que les gens vont-ils penser ?

-         Au pire que vous êtes une exquise femelle. Au mieux, ils ne se rendront compte de rien car ils ne verront pas votre culotte, celle-ci devant être minuscule et, ainsi, disparaître dans le creux de ma main ; si vous différez plus longtemps cette offrande, soyez sure que je prendrais mon temps pour l’escamoter, pis, peut-être la disposerai-je sur votre assiette avec interdiction d’y toucher jusqu’à ce que le serveur ne vienne.

 

J’obéis enfin. A temps car le loufiat déposait déjà deux coupes de champagne devant nous. 

-         Trinquons à votre prise de conscience d’objet érotique.

 

 

Je lui parlais de ma vie, mes déceptions, mes rêves. Il voulait tout savoir. Je parlais beaucoup mais j’apprendrai plus tard qu’il n’était pas mon « copain ». Et même plus rapidement que je ne l’imaginais.

 

Nous étions maintenant au plat de résistance dans nos assiettes et j’en convenais, au même stade, dans nos têtes.

 

-         Pensez à votre croupe…

   Elle est dégagée, offerte à toutes caresses et toutes pénétrations.

   La caresse d’un doigt, d’une langue ou d’un sexe pour l’instrument,

   un clitoris, un orifice, un œillet pour l’objet. Ne vous déplaise,

   mais nous  reparlerons de cela plus tard.

 

Mes joues s’empourpraient une nouvelle fois quand je lui demandais avec une crainte mêlée d’envie :

 

-         Une fessée ?

-         Ajoutez-y quelques griffures qui viendront agrémenter l’examen de leurs courbures car il me faudra aussi vérifier le galbe dont vous avez fait un argument.

 

Je ne  touchais plus à mon assiette. Nul doute que mon esprit vagabondait et que mon cul rougissait déjà d’aise.

 

C’est donc troublée que je remerciais le garçon venu me débarrasser.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
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Vendredi 22 août 5 22 /08 /Août 04:00
arfffffffffffff ce chat !!!
Par broceliandeO
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Vendredi 22 août 5 22 /08 /Août 03:52

-       Vous portez des bas, je souhaite les voir

-       Ici,

-       Oui, tout de suite, ici

Je le regardais droit dans les yeux, je descendais le long de mon corps mes avant bras, me trémoussant légèrement pour remonter ma jupe. Mes pommettes étaient roses, j’étais décontenancée d’obéir ainsi à cet homme et excitée. Une humidité m’envahissait.

-       Vous allez remonter votre jupe sur les hanches que je puisse juger de vos offrandes.

-       Mais,

-       Si vous ne respectez pas le moindre de mes propos, je vous laisse là !

-       Bien.

Je m’acquittais. Il était assis en face de moi, une de ses jambes vint entre les miennes, écarter mes cuisses collées. Je ne résistais pas, désormais mes genoux étaient largement ouverts. Pas un mot, juste des regards, j’étais « fascinée ». Il repris une conversation anodine. Le temps passait, la rosée de mes joues s’estompait, j’oubliais mon indécence. J’oubliais même l’exposition, les gens, l’espace, mon nom…

Il me proposa de me raccompagner et alla chercher mon manteau. Je pris l’initiative de remettre ma jupe en bas, il réprouva, je m’interrompis et enfilais mon manteau, qu’il me tendait. Nous primes un taxi, il me déposa à l’hôtel, me laissa une carte : Maxime – téléphone.

-       Appelez-moi à 19 heures précises.

Le taxi s’éloigna, je restais immobile sur le trottoir, une pluie fine tombait, mes cuisses ruisselaient pareille aux gouttes de pluie sur les cheveux et sur mon visage.

Ma rencontre avec Maxime fut une révélation. Je me sentais proche de cet homme. Je baignais encore sous le charme de sa voix et de ses paroles. Toutes les parcelles de mon corps étaient en émoi. J’étais intriguée. Je le trouvais beau, son charisme naturel y était pour beaucoup.

J’étais attirée par cet étranger. J’avais saisi qu’il aimait diriger, c’était sa façon d’aimer, de posséder. il me semblait déjà ne plus "m'appartenir"...

Je montais vite dans ma chambre, étourdie non pas par l’alcool, du reste je n’avais presque pas pu boire, ce sont ces paroles que j’avais bues. Je regardais l’heure, 17 heures, je décidais de prendre un bain.

Je laissais alors mes doigts s’aventurer vers mon entrejambe, lieu secret et « maritime », aux senteurs d’iode. Je saisissais mon bourgeon et je me caressais. Le rythme de mes doigts était doux, léger, je passais et repassais sur mon petit nodule de chair, j’écartais mes lèvres, je pressais mon coquillage, je m’aventurais dans les méandres de ma grotte d’amour ! J’étais une mer en feu, un raz de marée m’envahit, la jouissance m’emporta, je pensais à Maxime…

19 heures, je téléphonais. Il me semblait l’entendre sourire.

            - Bien vous respectez l’heure.

Je lui posais des questions, je n’avais pas de réponse, j’insistais sur mon trouble, je finis par demander comment je pourrais le revoir. Aucune réponse, juste un « appelez-moi ce soir vers 20h30- Vous devrez être sur la place devant le restaurant de la dune. »

Par broceliandeO - Publié dans : foret
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Dimanche 17 août 7 17 /08 /Août 08:29

HOTEL DE LA PLAGE
**************************** 

 

 

 

 

Je descendis du train à la nuit tombante. Il n’y avait personne pour m’attendre. Du reste je n’attendais personne puisque j’étais là.

Il tombait une fine pluie et la gare semblait boire cette eau froide. Le quai glacial, ruisselait et brillait sous le clair de lune du lampadaire. Le train s’ébranla et lorsque je ne vis plus le dernier wagon, le quai resta là, à pleurer le départ de la machine. Je pénétrais dans la salle de la gare, éclairée par une ampoule nue. Froid, tout l’était, ce quai, ces murs où pendaient quelques affiches de paysages clairs, un banc vide, un guichet triste avec un employé au regard absent.

Sérénité, calme depuis le départ du train, rien ne semblait troubler cette gare figée dans la nuit.

Je pris alors le chemin de l’hôtel de la plage où j’avais effectué une réservation pour la durée de l’exposition de peinture à laquelle j’avais été conviée par l’artiste lui-même.

 

Le jour suivant était aussi gris que la nuit précédente était noire. Je déjeunais face à la lagune avant de me rendre au vernissage. Le ciel était bas, le brouillard dense. Les mains enfoncées dans mes poches, le col de mon manteau remonté, je me rendis à la galerie où à peine entrée, je fus imprégnée par un climat érotique tant que les toiles aussi bien que le décor semblait avoir été chorégraphiés par un metteur en scène.

Je promenais mon regard sur les tableaux, troublée par l’émoi qui se dégageait des modèles peints. Je percevais devant ces toiles quelque choses non pas d’éloignée de la toile, des pigments ou de la forme mais justement le jeu du désir que l’artiste exprimait. Le peintre à travers ses modèles avait mis en scène mon désir de pénétrer la toile et devenir complice non pas comme la position de voyeuse mais celle d’actrice.

J’avais retiré mon manteau, j’étais vêtue d’une mini jupe, chemisier légèrement transparent, bas et cuissardes. Je n’avais pas de culotte car le simple contact de ma chatte sur un siège me plaisait. Ainsi j’avais compris très vite à la frotter discrètement. Je m’échauffais ainsi sur toute sorte de chaises, poufs, banquettes, canapés… Je sentais mes petites lèvres se déplier voluptueusement, frémissantes et humides au milieu de ma fente écartée. Je me dirigeais ensuite vers le buffet, c’est ainsi que cet homme sibyllin, (mon futur Mentor) m’a vue pour la première fois. C’était un soir de novembre, ses yeux étaient fixés sur moi et je ne sais combien de temps il m’a observée. J’ai senti sa présence, me suis retournée. J’ai vu ce personnage, grand, sombre. Sourires mutuels. C’est alors que maladroite je fis tomber mon verre. Je me baissais immédiatement pour le ramasser… Là, j’ai eu du mal à paraître naturelle… il venait de me murmurer à l’oreille :

      - « Si vous voulez…, un jour…, je pourrais la toucher. »

Il y a su saisir l’instant lié à ma provocation et me le faire remarquer avec courtoisie.

Il restait posé là en face de moi, moi les yeux sur mes bottes. Je sentis qu’il voulait mon regard, ma tête remonta vers son visage, mes yeux portés sur les siens. Je fixais quelques secondes son regard, me détournais et pris un petit four, gênée mais à la fois agréablement troublée. Je replongeais mon regard de nouveau dans le sien, le mien se détendit, le sien brillait.

-        venez ! allons dans un endroit plus calme.

Il m’entraîna alors vers le salon près du buffet, sans un mot je le suivis.

-        Moi c’est Maxime et vous ?

-        Ode

-        J’imagine que vous êtes seule ?

-        Devin

-        Non, attentif

Un long silence s’en suivit, il m’observait.

-        Vous portez toujours des tenues si peu habillées ?

-        Non, j’aime les filles en Jean’S Nike également, mais je reste tout de même féminine

-        Féminine ?

-        Oui, pantalon moulant sans culotte par exemple 

-        Pourquoi m’avez-vous suivi ?

-        Vous n’avez pas la tête d’un satyre et je commençais à m’ennuyer

-        Vous croyez ? Vous m’imaginez romantique ?

-        Je ne sais pas. Romantique peut-être pas. Directif certainement !

Long silence.

Mes doigts se faisaient nerveux, je jouais avec mon verre, me tenant bien droite sur le bord du fauteuil, jambes croisées.

-        Vous savez que les jeunes femmes que je fréquente ne croisent jamais les jambes ;

-        Ha ? pourquoi elles ne le font jamais ?

-        Pour me rester offerte

-        Comment ?

-        Pour rester offertes, elles montrent dans cette attitude une soumission

-        Soumission ?

-        Oui. Vous avez entendu parlé de femme soumise ?

-        Histoire d’O,

-        Histoire d’O, Des femmes soumises.

Long et pesant silence, je voyais des milliers d’images dans ma tête, mes yeux devaient trahir une pensée plus dérangeante qu’une autre.

-        Vous êtes un sadomaso ?

-        Pas exactement, plutôt un propriétaire.

S’engagea alors une conversation où je posais beaucoup de questions, il restait discret, sans vraie réponse, aiguisant mes questions.

Je pris congé quelques instant, le prétexte des toilettes. Il me fallait me rafraîchir, mes joues me brûlaient ou bien était-ce mes lèvres…

Lorsque je revins, je remis mes fesses sur le fauteuil, cuisses jointes et non croisées.

-        Voici un signe qui annonce un futur présent, très présent ma chère.

-        J’ai lu histoire d’O, j’ai bien aimé ce livre, mais je n’ai pas compris pourquoi cette femme fait des choses si peu agréables.

-        Regardez-vous, vous êtes revenue des toilettes, les jambes jointes, c’est moins confortable que vos habituelles jambes croisées, et pourtant vous le faites. Pourquoi avoir agis ainsi ?

-        Vous m’intriguez esquivais-je.

Je savais que j’avais eu le mot clé, celui qu’il attendait : « il m’intrigue ». A cet instant même j’     avais l’intuition que je serai capable d’oser, je n’avais pas fui devant ses révélations, son attitude, ma vie basculait, cet inconnu me fascinait.

Par broceliandeO - Publié dans : foret
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 22:18
link    en avant la zizique... clic et sois attentif !

                          
                                                                              
Par broceliandeO - Publié dans : Délire
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 20:39

Etre entre ses mains sadiques… laisser mon corps se marquer de ses envies… subir ses humiliations… accepter sa manière de se servir de moi… envie de sa fermeté… désir de sa tendresse… J’AIME !



Par broceliandeO - Publié dans : mon espace "moi"
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 19:39

Un pleur ?

Fillette

Un cri ?

Femme-enfant

Frivole en fellation ?

Femme friponne

Femme Esclave ?

Femelle à effeuiller

Ménade, mouilleuse à flairer la peau

Lubrique, ludique à effleurer la fesse

Quel bric à broc

Elle est tout en vrac

Femme folâtre, féline

Fruit défendu

Organe floral…

Je suis moi
Je suis la sienne..  
                                                 

 

 

 

 

 

 
Par broceliandeO - Publié dans : sortilège
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 19:27

WE

     BON WEEK END...
Par broceliandeO
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  • 05/02/1958
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  • sensible, ludique, lubrique, maso, épicurienne, curieuse. aime : voyages, la mer, l'art, jeux RP en réseau, mon nounours doudou, le chocolat, la vodka... et ma progéniture adorée : mon fils !
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